Cass Com 25 Février 1986

amoureuse qui pourra, éventuellement, évoluer vers une situation de concubinage (en ce sens CA Aix-en-Provence, 19e ch. corr., 30 sept. 2009 : JurisData n° 2009-015772. - CA Paris, 20e ch. corr., sect. A, 13 févr. 2008 : JurisData n° 2008-357713. - Cass. crim., 1er févr. 2006 : JurisData n° 2006-032376). Et cette distinction n'est pas sans conséquence puisque, cette circonstance aggravante faisant défaut, la peine encourue par le prévenu n'est que de trois ans d'emprisonnement et la peine plancher

d’un engagement de remboursement du capital confié majoré d’une rémunération. L’octroi du crédit est fondé sur la confiance du créditeur préteur, sur l’aptitude du crédité emprunteur à rembourser. Le contrat de crédit est un contrat commercial[25] conclu intuitus personae[26], la confiance réciproque se traduit par un devoir de loyauté. Toutefois cette confiance est parfois ébranlée suite à un changement dans la condition du crédité lequel crédité présenterait dès lors un risque d’insolvabilité

DES ABREVIATIONS al. art. Ass. Nat. Bull. civ. Bull. COB Alinéa Article Assemblée Nationale Bulletin civil de la Cour de cassation Bulletin de la Commission des opérations de bourse 3 Bull. com. B.C.N.C.C. Bull. Joly Bull. Joly sociétés C. C.A. Cass. Cass. 1è civ. Cass. 3è civ. Cass. com. C. civ. C. com. Ch. Coll. D. D.aff. D.Cah.Dr.des affaires Doctr. Dr. et patrimoine Dr. sociétés Gaz. Pal. JCP. JCP. éd. E JO L. L.G.D.J. Bulletin commercial de la Cour de cassation Bulletin du Conseil national

restaurants est né. En 1992, leur rêve se concrétise : « La Route des Saveurs » ouvre ses portes à Bordeaux ; une société à responsabilité limitée (SARL) au capital de 50 000 F (7 625 €) détenue par Nicolas BERTRAND pour 75 % des parts et Pierre CONSTANT pour 25%, Nicolas BERTRAND étant le gérant. Saveurs et épices, décor exotique : le dépaysement était garanti. Le succès est immédiat: très rapidement la fréquentation dépasse 220 repas par jour avec une équipe de 22 personnes (cuisiniers, serveurs, commis…)

le caractère réel de ce contrat, ce qui avait pour conséquence que les parties n’étaient pas engagées au moment de l’accord des volontés mais seulement au moment de la remise de la chose prêtée (Cass, Civ 1, 20 juillet 1981). La cour de cassation, face au scepticisme des auteurs, a produit un arrêt (Cass, Civ 1, 28 mars 2000) dans lequel elle procède à un revirement : « le prêt consenti par un professionnel du crédit n’est pas un contrat réel. » Et, la première chambre civile de la cour de cassation

PERSONNEL 1 : Intérêt des personnes physiques 2 : Intérêt des personnes morales SECTION IV : UN ACTE ACCOMPLI INTENTIONNELLEMENT A : LA NOTION D’ELEMENT INTENTIONNEL B : LE CONTENU DE L’ELEMENT INTENTIONNEL 11 15 15 16 16 17 18 19 23 24 24 25 26 26 27 28 28 28 CHAPITRE II : LA REPRESSION DE L’ABUS DE BIENS SOCIAUX SECTION I : LES ACTEURS DE L’ABUS DE BIENS SOCIAUX A : LES PERSONNES INCRIMINABLES 1 : Les auteurs 2 : Les sociétés concernées 3 : Les complices 4 : Les receleurs 31 31

consommation ainsi que l’article 1641 et le premier alinéa de l’article 1648 du code civil (voir l’encadré en page 10). Important : l’existence d’une garantie contractuelle ne dispense pas le vendeur de son obligation légale de garantie des vices cachés (Cass. civ. I, 11 mars 2003, pourvoi no 01-03 676). Il en est de même pour la garantie légale de conformité. Garantie commerciale ou garantie fabricant ? Le plus souvent, la garantie commerciale est proposée par le vendeur du bien, qui en fait d’ailleurs

6e numéro – janvier/février 2010 SOMMAIRE ACTUALITES L’OHADA et les autres législations communautaires : UEMOA, CEMAC, CIMA, OAPI, CIPRES etc. Me Mamadou KONATE (P 2) ETUDES Droit d’auteur sur l’œuvre architecturale en OAPI : « Observations à la lumière des droits issus de la civil law » Me Bérenger MEUKE (P 8) CHRONIQUES La responsabilité du banquier dépositaire des fonds destinés à une augmentation du capital en OHADA – Note sous Arrêt CCJA 29 juin 2006 (COBACI – STCA – SHAFTESBURY – BENA TH

chiffres : .97% des affaires devant les juridictions du travail = litiges individuels. .65% des contentieux sont liés à la rupture du contrat de travail. .75% des affaires traitées par les prud’hommes : contestation d’un licenciement pour motif personnel. .25% de taux de recours (nombre de contestations/nombre total de licenciements). .Dans ce taux : 2.6% pour licenciements économiques. 26% pour licenciements pour motif personnel. .50% des affaires prud’homales ne vont pas jusqu’au jugement. En 2003 le taux

légèrement, puisqu'il n'est jamais descendu en dessous de 42% du PIB. Cela reste un taux très élevé. Il n'y a guère que les États scandinaves et le Bénélux qui fassent mieux. Dans les États développés, le taux de prélèvement obligatoire n'est jamais sous les 25% du PIB (27% aux USA). Ces taux globaux correspondent à des réalités différentes d'un État à l'autre. Certains États privilégient la cotisation sociale à l'impôt. C'est plutôt le cas de la France, puisque seuls 60% des prélèvements obligatoires correspondent