Cass Crim 17 Decembre 2002

Université Panthéon-Assas Ecole doctorale de Droit international, droit européen, relations internationales et droit comparé Thèse de doctorat en Droit international soutenue le 8 décembre 2011 Le transfert international de siège social Thèse de Doctorat / Décembre 2011 Auteur: Muriel AZENCOT Directeur de recherche: Monsieur le Professeur Georges KHAIRALLAH, Université Panthéon-Assas (Paris 2) Membres du jury : - Monsieur François AMELI, Rapporteur maître de conférences à l'Université Panthéon-Sorbonne

contenu dans le livre 2 di code pénal intitulé : « des infractions et de leur répressions en particulier » (art. 101ter ( 566). Le droit pénal spécial se trouve également dans des lois complémentaires comme par exemple le loi du 12 mars 1958 sur les crimes et délits portant atteinte aux relations internationales et aussi dans des lois particulières qui sont soit des lois pénales (cf. loi de 1870 du code militaire), soit dans des lois civiles, commerciales, fiscales, administratives, qui contiennent

côté des règlements et des directives : *Directive du 22 septembre 1994 qui crée le comité d’entreprise européen et une procédure de consultation et d’information des travailleurs dans les entreprises de dimension communautaire. *Directive du 11 mars 2002 qui établie un cadre général relatif à la consultation et l’information des travailleurs dans le cadre de l’UE. On met l'accent sur le vivre ensemble. La charte des droits fondamentaux de l’UE contient des dispositions relatives au droit du travail

pour les victimes du terrorisme, victime de la transmission du sida, victimes d’aléa thérapeutique). Dans le cadre de l’aléa thérapeutique, le médecin ne peut pas être considéré comme responsable car aucune faute n’a été commise de sa part. En 2002, le législateur a créé un fond d’indemnisation que l’on peut demander à l’Etat pour réparer ce préjudice. Il n’y a pas de fautif mais on ne veut pas laisser une personne qui a subi un dommage sans indemnisation. On voit au travers de ce mouvement

Pariset .................................................................................................. 9 CE, 13 décembre 1889, Cadot.................................................................................................. 10 CE, 21 juin 1895, Cames.......................................................................................................... 11 TC, 9 décembre 1899, Association Syndicale du Canal de Gignac ......................................... 12 CE, 29 mars 1901, Casanova

novembre 1875, Pariset 9 CE, 13 décembre 1889, Cadot 10 CE, 21 juin 1895, Cames 11 TC, 9 décembre 1899, Association Syndicale du Canal de Gignac 12 CE, 29 mars 1901, Casanova 13 CE 10 janvier 1902 Compagnie Nouvelle de Gaz de Deville-lès-Rouen 14 CE, 18 avril 1902, Commune de Néris-les-bains 15 TC, 2 décembre 1902, Société immobilière Saint-Just 16 CE, 11 décembre 1903, Lot 17 CE, 10 février 1905, Tomaso Grecco 18 CE, 4 août 1905, Martin 19 CE, 21 décembre 1906, Syndicat des contribuables

Université Robert Schuman Strasbourg III Année 2002-2003 DEA de droit des affaires Les groupes de sociétés confrontés à la théorie des actes anormaux de gestion Sous la direction de Monsieur Philippe Marchessou Matthieu Desfeuillet -1- SOMMAIRE INTRODUCTION ........................................................ 4 TITRE I : L’APPROCHE TRADITIONNELLE DES OPERATIONS INTRA-GROUPES. ....................... 13 CHAPITRE I : LE MAINTIEN DU PRINCIPE DE L’ « EGOÏSME SACRE » .......

électriques, tuiles) sont considérés comme des immeubles en raison de son incorporation au sol. En revanche, une construction qui n’est pas incorporée, notamment parce qu’elle n’est rattachée au sol que par son poids, n’est pas immeubles mais un meuble (Cass. com. 10 juin 1974). Ce critère de l’incorporation se retrouve dans le Code, à l’article 519, ce sont les moulins à vents et à eaux, à la condition qu’ils soient fixés sur pilier pour qu’ils fassent parties du bâtiment. On retrouve cette idée à l’article

.................................................................. 17   c -   Le rôle de la coutume .......................................................................................................................................... 17   3.1.3   La jurisprudence .................................................................................................................................................. 17   a -   La définition de la jurisprudence ..................

exceptionnelle, puisque notre Code civil connaissait le principe du divorce   par   consentement   mutuel,   mais   ce   divorce   était,   jusqu’en   1972,   à   ce   point   émaillé   de conditions 8 - les lois des 1er juillet 1974 et 2 décembre 1982 qui instituent la possibilité pour un des   époux   d’obtenir   la   dissolution   du   mariage   sur   la   base   de   l’existence   d’une   séparation de fait de 10 ans (1974), puis 5 ans (1982) ; les lois des 30 juin 1994 et 20 mai 1997