Cassation 31 Mars 2009

2011 CEDH FABRIS c.France La loi du 22 janvier 2002 sur l’accès aux origines.  La loi du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale vient compléter et parachever l’oeuvre commencée en 1987 et en 1993 visant à instaurer définitivement et complètement les principes fondamentaux de co-parentalité et d’égalité des parents comme des enfants dans les relations familiales. L’apport essentiel de la loi du 4 mars 2002 réside sans aucun doute dans la suppression de la distinction entre enfant légitime et

groupe bancaire d'envergure internationale, multimétier (banque, assurance, immobilier…) et multi-enseigne. Le Groupe a entamé un processus de fusion avec le Groupe Banque populaire qui aboutira sur la fusion définitive des deux holdings début août 2009. La nouvelle entité, dont le nom est BPCE, devient le deuxième groupe bancaire français[1]. Au sein du nouveau groupe, les deux enseignes commerciales, Caisse d'Épargne et Banque populaire, subsistent. |Sommaire

associées Introduction Depuis la première application de l'inédite procédure de contrôle de constitutionnalité à la française au printemps 2010, le Conseil Constitutionnel et les deux juridictions suprêmes, que sont le Conseil d'État et la Cour de Cassation, doivent de manière régulière, quasiment de concert, en affiner la procédure et apporter de nettes inclinaisons à certaines pratiques judiciaires, voire en rappeler les principes conducteurs. Une dominante néanmoins attendue : la question prioritaire

délinquante. L’accent est ici mis sur les mesures éducatives plutôt que sur les peines. Idée de rééduquer le délinquant. Par principe, le juge prononcera des mesures éducatives, et non pas des peines. Le nouveau code pénal de 1992 entré en vigueur le 1er mars 1994 est un compromis entre ces différentes conceptions. Les peines ont toujours pour objet de réprimer l’infraction mais il n’y a plus de peines minimales. Le juge peut ainsi adapter la peine à la personnalité du délinquant dans la limite maximale

Cour de cassation Bull. civ Bulletin de la Cour de cassation ; chambre civile BJS Bulletin Joly sociétés BJB Bulletin Joly Bourse C. Code CMF Conseil Monétaire et Financier CBV Conseil de Bourse de Valeur C. civ. Code civil C.com Code de commerce tel-00719575, version 1 - 20 Jul 2012 C/ contre Cah. Cons. Const. Cahier du Conseil constitutionnel Cah. Dr. Aff. Cahier de droit des affaires Cah. Dr. Ent. Cahier de droit de l’entreprise Chron. Chronique Cass. Cassation Cass

proposition, les parties s’en remettent au juge qui dispose en l’espèce d’un pouvoir d’appréciation et donc de qualification de la proposition. C’est le cas dans cet arrêt rendu par la chambre sociale le 15 décembre 2010. En l’espèce, par lettre datée du 31 juillet 2006, la société Compagnie antillaise de matériel automobile (CAMA) est venue proposer à M. X… de l’engager au plus tard à compter du 1er octobre 2006 en qualité de directeur adjoint. En contrepartie, ce dernier percevra une rémunération mensuelle

sont évidemment des biens communs ; il en est de même des fruits et des revenus des biens propres. Après une longue opposition doctrinale, et des hésitations jurisprudentielles, la Cour de cassation a pris clairement partie en faveur de la qualification d’acquêt. Dans le célèbre arrêt Authier, en date du 31 mars 1992, la première chambre civile a jugé que « les fruits et les revenus des biens propres sont affectés à la communauté ». 2. Quelques applications d’acquêts mettent en évidence un besoin

employeurs ou encore des magistrats, la HALDE joue également un rôle conséquent dans le paysage judiciaire français. Pour cela, elle dispose de très nombreux outils, en partie explicités dans la loi du 30 décembre 2004 et modifiée par la loi du 31 mars 2006. a. Un rôle d’assistance aux victimes Une fois saisie par courrier, mail ou par l’intermédiaire d’un correspondant local, la HALDE peut apporter une véritable aide aux victimes de discriminations dans leurs démarches judiciaires.

constitution. Le juge judiciaire ou administratif doit sursoir ( remettre à plus tard ) à statuer et soumettre la question à la cours de cassation ou au conseil d'état. La cours de cassation ou le conseil d'état servent de filtre pour éviter les abus des justiciables. Si effectivement un problème de constitutionnalité de la norme applicable se pose, la cours de cassation ou le conseil d'état va saisir le conseil constitutionnel à cette question. Le contrôle de la légalité. Assuré par les juridictions

public se pourvoit en cassation. Thèses en présence : Le demandeur : le ministère public demande la cassation de l’arrêt de la Cour d’appel, et donc, le refus de l’adoption par Madame X. Ses moyens sont repris par la Cour de cassation, le contrat ayant pour objet l’abandon d’un enfant à sa naissance, pour permettre l’adoption par un autre couple, porte atteinte aux principes d’indisponibilité du corps humain et à l’état des personnes. Il constitue également Cass, Ass plen, 31 mai 1991 un détournement