Cassation 5 Janvier 1956

quel est le juge compétent. Pour trancher ces dif- ficultés, le Tribunal des conflits a été créé en dehors de l'ordre administratif comme de l'ordre judiciaire (Section 1). De ses décisions et de la jurisprudence du Conseil d'État ou de la Cour de cassation, désormais complétée par celle du Conseil constitutionnel, se dégage une clause générale de compétence des juridictions administratives (Section 2). Pourtant, même en matière administrative, les juridictions judiciaires interviennent dans un certain

la SEM doit remettre les ouvrages à la collectivité après leur achèvement, les actions en responsabilité décennale devront être formées contre les collectivités publiques etc. (v. CE 30 mai 1975 Société d'équipement de la région montpelliéraine ; TC 5 juillet 1975 Commune d'Agde). C'étaient des SEM locales qui étaient en cause. Cette solution caractérise bien leur rôle, qui est celui d'outils à la disposition des collectivités locales qui maîtrisent en réalité l'ensemble des opérations

Maleville, Bigot de Preameneu et Portalis. -Tronchet (président du tribunal de cassation) -Maleville (juge du tribunal de cassation) -Bigot de Preameneu (commissaire de gouvernement au tribunal de cassation) -Portalis (commissaire de gouvernement du tribunal de prises) En 4 mois, ils ont rédigé le code civil, et Portalis a rédigé un discours préliminaire signé par les autres membres.Le projet a été soumis au tribunal de cassation, et la procédure a duré 4 ans pour le faire promulguer le 21 mars 1804

------------------------------------------------- FICHES DE DROIT ADMINISTRATIF (S3) CE, GIRY, 1956 : Il arrive que le juge civil applique le droit administratif, cas où il y a une inversion, l’ordre de juridiction ne délimite pas le périmètre du DA. Deux points de vue organique et fonctionnel : * Organique : vise à définir un concept du point de vue l’organe. * Fonctionnel : on ne regarde pas le statut de la personne mais sa fonction. L’administration du point de vue organique désigne

conception classique 6 B) La loi du 3 janvier 1968 ou la responsabilité civile des personnes privées de discernement 7 Section 2 La responsabilité du fait des choses 1 Paragraphe 1 Les régimes particuliers de responsabilité du fait des choses 1 A) Les animaux (art. 1385) 1 B) Article 1386 du code civil 2 C) L’article 1384 du code Civil : l’incendie 3 Paragraphe 2 Le principe général de responsabilité du fait des choses 4 A) Le nature de la chose 5 B) Le rôle de la chose 6 Paragraphe

préliminaires . . . . . 1.1.1 Le Droit objectif . . . . . 1.1.2 Les droits subjectifs . . . . 1.1.3 Les sanctions . . . . . . . 1.1.4 Remarques . . . . . . . . . 1.2 Les différentes catégories du droit 1.3 Nature et classification des lois . 4 4 4 4 5 5 6 6 8 8 9 9 9 10 11 12 12 12 12 14 14 15 16 18 18 18 19 20 23 24 24 24 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

recommandation, de réglementation, de sanction. Le conseil constitutionnel a validé la pratique qui consiste à donner ces autorités un vrai pouvoir réglementaire. Cette délégation de pouvoir doit être limitée. Cette décision du conseil constitutionnel est du Janvier de 1989 qui s’appelle « liberté de communication ». ce sont aussi des autorités administratives et agissent donc au nom de l’Etat et ce sont des autorités indépendantes mais leurs budgets est accordé par l’Etat ce qui les rend quand l’Etat le veut

comprendre et de vouloir son acte. Il faut donc s'assurer de son existence. Arrêt de la chambre criminelle donne définition : liberté de comprendre et de vouloir = l'intelligence = possibilité de comprendre, possibilité de vouloir. Arrêt du 13 décembre 1956 toute personne pénalement responsable même dans le cadre d’une infraction non intentionnelle, la personne doit être doté d’intelligence et de volonté. Il faut distinguer l'imputabilité de la notion de capacité pénale = capacité de subir la sanction

code pénal à l’article 121-1 énonce « nul n’est responsable que de son propre fait ». C’est le principe de la responsabilité individuelle qui n’avait pas été inscrite dans le CP de 1810 mais qui avait été depuis longtemps affirmé par la cour de cassation. De l’affirmation de cette responsabilité vont découler des conséquences : * Une personne ne peut pas voir sa responsabilité pénale engagée si elle n’a pas participé elle-même à l’infraction. Ce principe exclut la responsabilité pénale du fait

demande formulée par une concubine suite au décès de son concubin. (Arrêt de 1959). La doctrine processualiste a critiqué cet arrêt, estimant que la jurisprudence confondait la recevabilité de l’action et le fond du litige. Par la suite, la cour de cassation a renversée cette situation en donnant raison à la concubine, lui reconnaissant ainsi, un intérêt légitime juridiquement protégé. Cet intérêt doit être né et actuel. Et l’appréciation est faite de la naissance de cette actualité à la date de son