Cassation 5 Janvier 1956

...................................... 153 SECTION II – PERSONNALITE JURIDIQUE .............................................................................................................. 154 _________________ Copyright © 2013 Pré-Barreau 5 PARTIE I – LE COUPLE De manière générale, la notion de couple s’est fortement libéralisée. D’une part, la loi n’envisage plus seulement le couple marié (titre I). Le concubinage, d’abord ignoré par le droit, a été peu à peu reconnu par la jurisprudence

limitations sous réserve qu’elles soient proportionnelles au but d’intérêt public qu’elles cherchent à atteindre. Dans une décision du 16 janvier 1982, le Conseil Constitutionnel a admis la nationalisation de l’entreprise, sous réserve de l’indemnisation juste et préalable. Il a également admis que les libertés de communication audiovisuelles dans une décision du 27 janvier 1982 ne sont ni générales, ni absolues et ne peuvent exister que dans un cadre de réglementation instituée par la loi. 2 Les libertés

ouvrage contient l’ensemble des débats et allocutions qui ont permis de recenser les moyens et dispositions pris sur le plan national pour compléter et apporter une vision nouvelle sur ces problématiques. 3 • Premier président de la Cour de cassation du Liban Président du Conseil supérieur de la Magistrature Président de l’AHJUCAF Antoine KHAIR Allocutions d’ouverture Allocution de bienvenue de Monsieur Saliou ABOUDOU, président de la Cour suprême du Bénin, vice-président de l’AHJUCAF

et fin. Rev. sociétés RJDA RTD civ. RTD com. S Som. Supra T. Com article Bulletin rapide de droit des affaires Bulletin des arrêts de la Cour de cassation, chambres civiles Bulletin mensuel Joly arrêt d’une cour d’appel arrêt d’une chambre civile de la Cour de cassation arrêt de la chambre commerciale de la Cour de cassation commentaire Recueil Dalloz Droit des sociétés Dalloz Hebdomadaire Edition Formation Entreprise Gazette du palais ci-dessous informations rapides Jurisclasseur

Dans les rapports droit et morale, deux cas de figure se présentent. Le droit peut être en contradiction avec la règle morale. En droit, il existe des délais de prescription en cas de litige pour pouvoir porter l’affaire devant un tribunal de 5 ans. Passé 5 ans, on dit que l’action est prescrite, elle est irrecevable. Mais pourtant, on a encore des raisons valables d’utiliser le droit. Le droit peut aussi être en harmonie avec la morale. Les règles de droit ne peuvent pas faire abstraction des règles

fourniture d’une prestation (par exemple : le contrat conclut entre le concessionnaire d’une autoroute et le concessionnaire d’un restaurant, sous louant à la première, l’un des équipements de l’ouvrage public (décision du tribunal des conflits du 10/07/1956, société des steeple-chase de France). 2.Une consécration législative corroborant les caractéristiques objectives du contrat C ’est d’abord, la loi MURCEF, 11/12/2001, ? C’est ensuite le décret loi de 17/06/1938, qui vient affirmer que les contrats

droit transitoire. En effet quand bien mme lamendement du Gouvernement redonne comptence aux tribunaux de commerce et autorise expressment la Cour de cassation saisie dun pourvoi form contre la dcision dune juridiction civile de ne pas tenir compte de la rtroactivit, cela ne veut pas pour autant dire quelle octroi la possibilit la Cour de cassation tenir compte de cette rtroactivit pour valider les dcisions rendues par des juridictions commerciales. Autant dire que le dbat est loin dtre clos 3

214.31.34 - 31/10/2012 10h59. © P.U.F. Précisions sur le droit constitutionnel au procès équitable À propos de la décision du Conseil constitutionnel 2010-10 QPC du 2 juillet 2010 Consorts C. et a. DAMIEN FALLON Depuis son érection en janvier 2005 comme principe à valeur constitutionnelle1, le droit au procès équitable avait tout pour devenir un véritable « quasar constitutionnel », illuminant l’horizon juridique de ses multiples apparitions. Malheureusement, en fait de quasar ne se trouva

alii, Droit processuel. Droit commun et comparé du procès, Dalloz 2005 n°592. 2 C. com., art. L. 622-7 al. 2. Certes, la Cour de cassation a pu décider que la transaction aux termes de laquelle le liquidateur avait renoncé à l’effet extinctif attaché au défaut de déclaration d’une créance était nulle. Mais le fondement en est que « l’article 158 de la loi du 25 janvier 1985 ne confère pas au liquidateur, même autorisé par le juge commissaire, le pouvoir de renoncer à l’extinction d’une créance par

décent, réaffirmé par la loi du 6 juillet 1989 qui dit que le droit au logement est un droit fondamental. Initialement, c’était un droit virtuel. Les gens qui étaient sans logement, ne pouvaient pas faire valoir cette loi devant les tribunaux. Loi Dalo (5 mars 2007) : Toute personne qui a effectué une demande de logement et qui n'a pas reçu de proposition adaptée à sa demande, c'est-à-dire tenant compte de ses besoins et capacités, peut saisir une commission de médiation dans son département, puis exercer