Cauchemar Fussli

pluriel de soleils indique que le paysage n'est pas à prendre au pied de la lettre, il s'agit d'un paysage rêvé, reflet d'un état d'âme. Le poème s'articule autour d'une double thématique, celle du rêve, vers 4 à 8 et celle beaucoup plus longue des cauchemars, vers 9 à 16. I-La tentation du paradis perdu - Le rythme et les sonorités d'une berceuse. Les 8 premiers vers se déroulent selon un schéma grammatical limpide, sujet, verbe, complément avec un parallélisme de construction entre les deux phrases

On passe notre vie entière à s'inquiéter de l'avenir, à faire des projets pour l'avenir, à essayer de prédire l'avenir... Comme si savoir à l'avance pouvait amortir le choc. Mais l'avenir change constamment. L'avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile... L'avenir, n'est jamais comme on l'avait imaginé. Si tu as un rêve, tu dois le protéger. Tu verras que les gens incapables d’y arriver feront tout pour

tout ce qu’il ressent. Dans le sonnet LI le désespoir accompagné du thème de la mort sont présentés : «Et rien plus que la mort ne me peut faire vivre», ce onzième vers montre le caractère fatal. Le «je» présente un état d’âme inquiétant, il vit un cauchemar : «Depuis incessamment je rêve à mon malheur». La comparaison au premier vers avec les Parques qui aurait «le teint plus heureux» et au second vers des damnés qui seraient «plus heureux» est tragique, ces deux figures étant respectivement celles

être, je n’en sais rien. Oui j’ai besoin de ça, mais rien ne vient, juste un grand silence parfois troublé de larmes. Eblouis moi,  je veux une décharge électrique qui me ferait t’oublier, un éclair, un court circuit. T’oublier, oui, un rêve, un cauchemar, un fantasme, un désespoir, une illusion. Car ce n’est pas ta beauté, ce n’est pas ton argent qui m’a charmée, non. Ce qui m’a charmée c’est ta modestie, ta clope négligemment coincée entre tes doigts, vibrant au rythme du métro hurlant, c’est ta

seuil de la nuit que le soldat affronte en entendant ce bruit qui sort de l’ordinaire, qui vient de la profondeur de la grotte. Le crépuscule est la frontière entre l’espoir et le désespoir, entre le possible et l’impossible, entre le rêve et le cauchemar. Le soleil se cache et l’homme peut se demander ce qu’il peut lui arriver, si jamais il reverra le matin. « Une profonde peur, encore augmenté par l’obscurité, par le silence et par les fantaisies du réveil lui glaça le cœur. » Ce n’est

l’accélération de leurs mouvements et actes. L’auteur parle d’une cadence soutenue. L’atmosphère de cette chambre semble intense entre danse, dialogues que le narrateur ne peut entendre et musique. Cette agitation est comme dans un cauchemar et peut faire peur. L’animation d’un objet comme la cafetière fait penser à la présence d’esprits et donc peut effrayer aussi. Ce qui m’a plu dans l’histoire c’est l’idée de vivre une scène comme dans un château des époques anciennes

pas demandé___ Mais elle est entrer __ Et ne veux pas me quitter_ Alors pour vivre plus simplementJe préfère arrêter à présent"_A ce moment je t'ai regarder__J e me demandais si c'était vrai___ Si tout cela était bien réelle____ Ou si c'était un cauchemar qui m'ensorcelle_____ Pui des larmes ont couler____ Mon cœur venait de se briser___ Je ne disais point de mots__ Ou cas où ce serait le mot de trop_ Et toi tu ne bougeais pasTu étais toujours là_ Tout venait de s'écrouler cet instant je l'avais

d'absence. C'est alors que je compris, que j'avais dû passé une soirée bien arrosée avec des collègues de travail. C'était une soirée en l'honneur d'une nouvelle expérience accomplie avec succès. C'est alors que je compris que j'avais fait un cauchemar où je perdais mon oreille. En quelques secondes mon doute fut levé, car par réflexe je touchais mes oreilles. Grand soulagement, mon oreille droite était bel et bien accrochée à ma tête ! C'était un mauvais rêve ! FIN

Un matin, Léo se réveilla à la sortie d'un rêve agité transformé en monstrueuse mygale. Sa figure se crispa à la vue de cette horreur incohérente qui le laissa sans voix. Il n'était ni en plein cauchemar, ni dans un autre monde, ce fait était bien certain. La réalité qu'il devait affronter était considérable. La prise de conscience ne fut pas immédiate. Il n'était plus du tout le même, tout avait changer. Méconnaissable, était approprié à son cas.. Sa taille conséquente différente des autres espèces

rêveraient aussi. Pour toute les autres espèces animales les chercheurs n’ont pas encore réussis à prouver qu’ils rêvaient ou pas… Les seuls pour lesquels les chercheurs sont sûrs qu’ils ne rêvent pas sont les fœtus de moins de 20 semaines. Et les cauchemars alors ? C’est un rêve qui tourne mal. Si on s’en souvient c’est parce qu’on se réveille juste après ce qui n’est pas le cas des rêves. Quelles sont les caractéristiques des rêves ? Les 5 caractéristiques sont la déformation du temps et de l’espace