CD8

injection d’Ac de déplétion : quand on fait des greffe sur des individus non traités, on a un rejet du greffons dans les 15j. Si on met des Ac dirigés contre CD8, de la même façon on a un rejet au bout de 15 jours -> CD 8 pas impliqué dans RI. Si on on enlève les CD4, on améliore le taux de survie, qui passe à 30 j et quand on ajoute des ac anti CD4 et CD8 en même temps -> temps de survie encore plus élevé Mise en évidence de l’importance de CD40L et CD4080/86 : injection dAc antagoniste dirigés contre

à un récepteur CD4 pour les lymphocytes T4 ou CD8 pour les lymphocytes T8. 2- Les cellules présentatrices d’antigènes Il y a 3 catégories de cellules : * Les macrophages : Ils détruisent les cellules étrangères. Ceux qui reconnaissent les macrophages sont les LT4. * Cellules infectées : Comme les macrophages, une cellule infectée présentes sur ses molécules CMH, des fragments protéiques étrangers, susceptibles d’être reconnus par les CD8. * Les cellules modifiées : Cellules tumorales

produits se transforme en LB mémoire, cellules non sécrétrices d’anticorps mais à longue durée de vie. C-La réponse immunitaire adaptative cellulaire : Pour qu’un LT CD8 naïf devienne un lymphocyte cytotoxique, plusieurs étapes sont nécessaires : • La reconnaissance de l’antigène ou sélection clonale Parmi les millions de clones de LT CD8, un seul est capable de se lier par son récepteur à l’antigène exposé par la cellule présentatrice. Ce clone est alors activé ce qui se manifeste par l’entrée en division

dans la moelle osseuse. Dans la moelle osseuse et dans le thymus, les lymphocytes vont apprendre à distinguer le soi du non-soi. De plus, la maturation entraîne une différenciation des lymphocytes T immatures en lymphocytes T CD4 et lymphocytes T CD8. Les organes lymphoïdes secondaires sont colonisés par les lymphocytes T et B matures mais «naïfs» (qui sont fonctionnels mais qui n’ont jamais rencontré d’antigène). C’est dans ces organes que les lymphocytes matures naïfs rencontrent pour la première

lymphocytes du sang périphérique chez l'homme). Il est ainsi possible de connaître soit le nombre absolu de lymphocytes T (CD2, CD3), soit le nombre de lymphocytes T correspondant à une sous-population donné: CD4 pour les lymphocytes auxiliaires, CD8 pour les lymphocytes cytotoxiques. III- LA TECHNIQUE D'ADHERENCE NON-SPECIFIQUE Les macrophages adhèrent au plastique, ce qui permet de les éliminer des suspensions cellulaires en incubant celles-ci dans des boîtes de cultures en plastiques sur la

corps. Ces cellules vont contrôler les réactions de défense dirigées contre un organisme étranger. Il existe plusieurs types de lymphocytes T, dont les CD4 et les CD8, qui se différencient par les récepteurs qu’ils possèdent à leur surface. Ces récepteurs définissent ainsi des fonctions différentes. Les lymphocytes T avec des récepteurs CD8 (ou T8), vérifient toutes les cellules du corps, pour détecter une infection par virus : lorsqu’ils détectent une cellule infectée, ils l’éliminent. Les lymphocytes

régulation avant la mise en place des LTCD4 au niveau des sites de privilèges immuns où il va y avoir des méca qui vont empêcher la mise en place de RI. III- Régulation au niveau des LT Tableau : HLA classe I = voie d'activation des LT CD8 HLA classe II = voie d'activation des LT CD4 présentation croisée : c'est le fait que des DC notamment vont être capable de présenter des Ag d'origine exogène par les molécules du CMH de classe I. → Rappels : Rôle des LTCD4 : chef d'orchestre

osseuse) vont reconnaître quand à eux le marqueur des CD8 où est fixé la protéine antigénique sur la CPA. Il y aura une sélection clonale de ces LT8 et grâce à l'interleukine produit par les LT4 et à ses récepteurs aux interleukines, ces LT8 vont se multiplier et se différencier, certains deviendront des LT8 mémoire et d'autres deviendront des LT cytotoxiques qui détruiront les cellules cibles (c'est-à-dire présentatrice du marqueur CD ou CD8 et de la protéine antigènique) par exocytose de perforine

HLA-G sont reconnus par des récepteurs inhibiteurs de la cytotoxicité des NK, appelés KIR (pour killing inhibitory receptor), exprimés à la surface des cellules NK. * La protéine sHLA-G semble jouer un rôle dans l’élimination des lymphocytes T CD8 activés au niveau du site d’implantation. * Elle peut aussi interagir avec les récepteurs des cellules NK ou des lymphocytes T CD4 pour contrôler la sécrétion locale des cytokines ou pour contrôler l’invasion du trophoblaste, notamment dans les

document 1a, nous présente les résultats d’une expérience réalisée sur des souris infectées par le virus de la grippe. Grâce au graphique, nous observons que lorsque la concentration sanguine en virus est élevée, le nombre de lymphocytes T cytotoxiques (CD8+) est faible. Mais au bout de quatre jours après l’infection, c’est le contraire, le nombre de lymphocytes T cytotoxique est élevé par rapport à la concentration sanguine en virus.Nous allons donc expliquer pourquoi les lymphocytes T cytotoxiques ont