Celine Fordisme

améliorations. On assiste à une création d'un nouveau mode de travail( fordisme), à la montée en puissance des syndicats qui se battent pour conserver ou faire avancer les droits des ouvriers. Ces améliorations ont un effet positif mais aussi un effet négatif. Ces multiples nouveaux "bonus" sont dus à l'amélioration des entreprises, au pouvoir d'achat beaucoup plus conséquents et aux récents acquis des ouvriers. Le fordisme n'est autre qu'un taylorisme plus poussé, il provient de l'industriel

mouvement ouvrier est alors important et fait des revendications salariales. Tous les salaires sont alors indexés sur le taux d’inflation, ne remettant jamais en cause le pouvoir d’achat. On remet de plus en plus en cause le modèle dominant qu’est le Fordisme, à savoir un travail déqualifié, parcellisé, répétitif. On lui reproche de faire disparaitre l’ouvrier au profit de la machine. L La production de masse entraine une consommation de masse qui dégrade le patrimoine et induit des coûts supplémentaires

www.profdeses.fr S.E.S. III. ORGANISATION DU TRAVAIL ET CROISSANCE Tle E.S. PLAN DU COURS : A. Organisation du travail, productivité et croissance. 1. 2. 3. La division du travail et les gains de productivité : taylorisme et fordisme. La crise du modèle tayloro-fordiste. Les nouvelles formes d'organisation du travail : le toyotisme B. Évolution du monde du travail. 1. L'évolution des contrats de travail. 2. Les mutations du travail et des emplois. NOTIONS À CONNAÎTRE : - Organisation

sociale des années 1960-1970 ont montré que la division excessive du travail peut se révéler être pernicieuse. Effectivement, la parcellisation des tâches n’apporte pas toujours de la motivation, élément essentiel pour être productif. A l’époque du fordisme, les ouvriers passaient le plus clair de leur temps à regarder défiler des pièces détachées, qu’ils manipulaient machinalement et inlassablement toujours de la même manière. La routine et l’harassement se sont installés, ce qui a favorisé le sabotage

DE LA SOCIETE INDUSTRIELLE A LA SOCIETE DE COMMUNICATION I- L’ère du fordisme triomphant 1945-1975 (« les trente glorieuses » ) 1- Une croissance sans précédent a- une croissance longue (1945-1973) et soutenue : Contexte de la reconstruction :  industries de base (rebâtir, recréer des réseaux de transport), = croissance soutenue de la production (biens de conso courante, d’équipement) et augmentation de la productivité. tx de croissance élevé du secteur industriel sur 20 années (env. 5% / an, moindre

l’activité économique par le biais de la politique économique qui lutte contre les déséquilibres !; Notion de carré magique : * Inflation * Chômage * Récession * Commerce extérieur En parallèle à cette régulation étatique, le fordisme se développe. Ce modèle est basé sur l’OST : * Séparation de l’exécution et de la conception * Mesure de tâches à accomplir * Simplification des tâches * Contrôle des salariés par les contremaîtres. Ford ajoute à cela l’intéressement

de moins en moins d'ouvriers. Cette hausse de la productivité permet une baisse des prix de vente. Mais à partir du début du XXème siècle, et surtout après 1918, une forte accélération des gains de productivité va être permise par l'application du Fordisme. Celui-ci du nom du constructeur automobile américain Ford repose sur 2 principes: - l'organisation scientifique du travail appelée Taylorisme ( standardisation, parcellisation des tâches, cadences de travail rapide, travail à la chaîne). - l'

Etude d’ensemble documentaire : le taylorisme et le fordisme. A la fin du XIXème siècle, le monde industriel et le monde de l’usine subissent des transformations profondes avec de nouvelles méthodes de production : le taylorisme et le fordisme. Quelles sont les caractéristiques de ces méthodes ? Quelle est leur efficacité, quels sont leurs résultats ? Tout d’abord, le monde de l’usine subit l’influence des théories de l’ingénieur Frederick W. Taylor (1856-1913), rapidement rassemblées sous le terme

2.4) Henry Ford Ford associe le travail a la chaine au standardisme. Le fordisme préfigure le keynesianisme (Keynes ca sert a rien de produire si personne n’achete) car il associe la production de masse et la consommation de masse. «L’industriel, ses employés et leurs clients forments un seul et meme groupe et a moins qu’une entreprise ne sache tenir ses salaires élevés et ses prix au niveau le plus bas, elle se détruit d’elle-même car elle reduit le nombre de ses clients » Henry Ford. Il crée

mutations de l’industrie mondiale ont contraint les leaders de l’industrie automobile à remettre en cause leurs systèmes de production. Différents modèles de gestion de production se sont succédé depuis plusieurs siècles. Après le Taylorisme et le Fordisme, le modèle qui émerge depuis le début du XIXème siècle est le « Toyota Production System » aussi appelé Lean management et plus précisément le Lean Manufacturing en Europe. Le Lean Manufacturing est gage de réussite et séduit de plus en plus d’entreprises