Celine Fordisme

affecté à une partie de la production [simple et répétitive]), ce temps est chronométré. Il y a d’autre part une hiérarchie: le contre - maître qui dirige les ouvriers, le staff (commandements, ingénieurs : conception). → H. Ford met au point le Fordisme, en 1913 il adopte la chaîne mobile, produit en série et standardisés (toujours le même modèle, pas de variante). La « Ford T » est la première à sortir de ce travail à la chaîne. Ils mettaient une journée à fabriquer une voiture. Ford propose d’autre

........................................................ 6 Fig.4 : Le Taylorisme ....................................................................................................................................................... 7 Fig.5 : Le Fordisme .......................................................................................................................................................... 7 Fig.6 : Le Toyotisme ...................................................................

une consommation de masse (fordisme). On recherche alors la stabilité de la croissance des revenus, on préfere la rigidité à la fléxibilité. Ce type de capitalisme nécessitre une intervention multiforme de l'Etat. Ce mode de régulation est devenu à son tour inadapté. Le capitalisme patrimonial s'impose depuis les années 1980, il est caractérisé par la prédominance de la logique financière. II . Les Mutations du capitalisme : Le capitalisme fordiste : Le fordisme avait pour base un cercle

européennes de 1873 à 1896, est relancée par de nouvelles énergies (pétrole, électricité) et de nouvelles industries (automobile, chimie, aéronautique). Les USA tirent profit de cette seconde phase et s’imposent comme modèle industriel (taylorisme, fordisme) gains de productivité. Les guerres ne sont pas les seules à enrayer l’économie : le crash boursier de 1929 à Wall Street provoque dans les années 30 une forte baisse du dollar et la faillite de nombreuses banques. Les USA, ruinés retirent leurs

Smith affirmait l’existence du cercle vertueux entre l’extension du marché, l’accroissement de la productivité et la baisse de prix. À ce principe fondamental correspond le modèle de standardisation, initié sous le nom de "taylorisme" et devenu "fordisme". Il se caractérise par une logique marchande "pure", un environnement stable, une production de masse de biens homogènes, une division du travail poussée, une décision centralisée, une culture de la fonction et de la "position sociale" et un système

de productions, dépossédé du produit de son travail mais également aliéné par un travail répétitif qui perd toute dimension intellectuelle. 2) Le Fordisme et le model japonais En cherchant à accroitre la productivité et la production de son entreprise, Ford a vu en l’ouvrier un consommateur potentiel. Le fordisme repose sur plusieurs principes : - la division du travail ; il à donc mis en place le travail à la chaine - la standardisation permettant la production en série

indéterminée et à temps plein. Quelques définitions : * Le taylorisme est une méthode de travail qui tire son nom de son instigateur : l'ingénieur américain Frederick Winslow Taylor elle préconise l'organisation scientifique du travail. * Le fordisme est un mode de développement de toute entreprise qui apparaît en 1908 inventé par Henry Ford (1863 - 1947), fondateur de l'entreprise du même nom, et reprenant les principes d'une autre organisation du travail, le taylorisme ou organisation scientifique

de croissance, sur lequel elles pouvaient à la fois faire des économies et être plus efficaces. Cette prise de conscience va prendre concrètement forme avec la naissance de nouvelles organisations de travail, telles que le Taylorisme ou encore le Fordisme. Ces nouvelles méthodes avaient pour but d'intensifier le travail, de le diviser pour être plus performant, de travailler plus vite et plus longtemps (doc.3). Le Taylorisme en est l'exemple parfait, il a pour origine l'ingénieur américain F.W Taylor

en opposition au salaire fixe. Le Taylorisme n’a rien à voir avec le travail a la chaine (principe du convoyeur : pièces qui se déplacent devant un ouvrier immobile), il va rendre possible le travail a la chaine Le taylorisme n’est pas le Fordisme (politique salariale mise en place par Henri Ford dans les années 20 et 30 qui vise a augmenter les salaires pour développer la consommation de masse, idée que les salariés puissent acheter ce qu’il produisent « Ford T ») Le taylorisme s’est développé

la manufacture d’épingles (1776). Il a inspiré l’ingénieur américain F. W. Taylor, puis l’industriel H. Ford. Cependant, cette organisation du travail est critiquée dès la fin des années 1920. DE L’ORGANISATION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL (OST) AU FORDISME Dirigeant d’une fonderie, Taylor a des difficultés pour faire travailler efficacement ses ouvriers. Les ouvriers qualifiés américains de la fin du XIXe siècle, originaires d’Europe occidentale, défendent leur statut (par la « flânerie ») et des