Césarée

« démobiliser / plus tard » : l'action se déroule dans l'entre-deux-guerres. Toutefois le lien entre guerre et poésie n'est pas explicité : il y a là une forme de mystère. Le lieu de la rencontre est lui-même indéterminé. Le seul lieu cité est « Césarée » dans un vers : lieu lointain existant mais qui se dématérialise et invite le lecteur à la rêverie. Les personnages, quant à eux, n'ont ni âge, ni identité, ni profession. 2) le portrait de bérénice D'abord le personnage de Bérénice est saisi de

les anciens n’ont pas manqué d’exploiter cette magnifique source des symboles. La symbolique chrétienne a adopté ce triangle. Trinité du Père, de Fils et du SaintEsprit. Aussi ne sommes nous pas étonnés de lire sous la plume d’Eusèbe, évêque de Césarée et confident de l’Empereur Constantin : « Le Nombre Trois, le plus parfait de tous, est l’image sensible de la dignité. » On trouve comme symboles de la Trinité divine, autres que le triangle : 3 Cercles enlacés, 3 Cierges, 3 Croix, 3 Soleils

son dernier roi, Ptolémée ; le second dut vaincre les résistances que ce meurtre avait soulevées). Elle fut divisée en deux provinces impériales dites, par les modernes, « de deuxième catégorie » : la Maurétanie Césarienne (dont la capitale était Césarée, Cherchel) et la Tingitane (dont la capitale était officiellement Tanger, en réalité Volubilis, ville plus dynamique) étaient administrées chacune par un procurateur ducénaire. Attention : ne parlez jamais de « Mauritanie » ; c’est un État moderne

deux fois vaincu puis tué à Dâthina. Fin juillet 634 le choc décisif à lieu à Ajnadayn entre l’armée du Calife commandée par Khalid ibn al Walid et l’armée byzantine. Le succès arabe est donc complet et toute la Palestine est occupée en 635 sauf Césarée et Jérusalem. En mars 635, Damas est assiégée et se rend en septembre 635 après des négociations qui lui garantissent de bonnes clauses de sauvegardes. Mais en 636 Héraclius lève une armée avec le Sasellaire Théodore à sa tête : Damas et Homs sont

donc( 5eme et 6eme siècle 2. Irénée messager des Chrétiens de Lyon auprès du pape Eleuthère (13ème évêque de Rome, mais premier à s’appeler évêque de Rome) (CF texte) On observe dans le préambule de l’histoire ecclésiastique d’Eusèbe Césarée ; que les événements se sont passés sous le pontificat d’Eleuthère pape174 mort 189 **Pape = évêque de Rome pas le chef de l’église mais le chef des évêques, c’est au près de lui qu’on va renseigner, décider. Dès le début supériorité sur

« démobiliser / plus tard » : l'action se déroule dans l'entre-deux-guerres. Toutefois le lien entre guerre et poésie n'est pas explicité : il y a là une forme de mystère. Le lieu de la rencontre est lui-même indéterminé. Le seul lieu cité est « Césarée » dans un vers : lieu lointain existant mais qui se dématérialise et invite le lecteur à la rêverie. Les personnages, quant à eux, n'ont ni âge, ni identité, ni profession. 2) le portrait de bérénice D'abord le personnage de Bérénice est saisi de

choses sacrées pour leur usage personnel, expose : « ceux qui emploient à un usage profane pour eux ou pour d'autres les vases ou les parements destinés au service extérieur du sanctuaire, tombent sous l'excommunication » 9° St Basile, évêque de Césarée (+ 378) déclare en sa première lettre sur les canons, face à ceux qui contractent trop de mariages : « Nous avons coutume d’imposer aux trigames cinq ans d’excommunication, sans avoir reçu pour cela une règle écrite, mais suivant la pratique de nos

documents suivants (soit le doc,1 et 2 soit le doc 1 et 3)Doc 1 : le document 1 est un récit des martyrs de Lyon qui sont un groupes de chrétiens qui ont subis le martyr à Lugdunum ( Lyon) en 177 , on retrouve ce récit dans l’ouvrage écrit par Eusèbe de Césarée vers la fin du 3ème/ début du 4ème siècle. Dans ce récit il parle de la violence que vivaient les chrétiens durant le martyr de Lyon a cause de la persécution par l’état romain. Il prend même l’exemple d’une jeune esclave chrétienne persécutée s’appelant

réduisent l'histoire à un rang d'auxiliaire de la théologie, les auteurs chrétiens tiennent néanmoins cette discipline en grande estime, et lui permettent de survivre à la disparition de l'empire romain d'Occident. En témoignent les œuvres d'Eusèbe de Césarée, d'Isidore de Séville, ou de Bède le vénérable. Parallèlement se maintient une histoire séculière sous la forme de chroniques, telle que celle d'Eginhard. Selon les époques et le rôle qu'a tenu l'histoire au cours des siècles, les champs d'étude

« démobiliser / plus tard » : l'action se déroule dans l'entre-deux-guerres. Toutefois le lien entre guerre et poésie n'est pas explicité : il y a là une forme de mystère. Le lieu de la rencontre est lui-même indéterminé. Le seul lieu cité est « Césarée » dans un vers : lieu lointain existant mais qui se dématérialise et invite le lecteur à la rêverie. Les personnages, quant à eux, n'ont ni âge, ni identité, ni profession. B. Un jugement dépréciatif D'abord le personnage de Bérénice est saisi