Cession Clientèle Civile

jugement déclaratif Section 2 : La solution 1. Continuation de l’entreprise 2. Plan de solution Chapitre 3 : Les techniques du traitement Section 1 : Le redressement 1. L’apurement du passif 2. La continuation Section 2 : La cession de l’entreprise 1. Les conditions 2. Les effets Section 3 : La liquidation 1. Le saisissement et la réalisation de l’actif 2. L’apurement du passif Conclusion Partie 2 : L’organisation judiciaire de procédures Chapitre 1 :

les parties. Lorsqu’on aborde ces contrats, il y en a beaucoup car ils ont été essentiellement crée par la pratique, ils n’ont pas été abordé par le pacte civil (promesse unilatéral, pacte de préférence etc.) ils sont régit par la JP. Toutes les informations figures soit sous l’article 1101 du Code Civil ou soit sous l’article 1589 du Code civil. Il y a deux ou trois articles sur la promesse synallagmatique de vente ensuite tout est établit par la JP. On a l’accord de principe, dans quel cas on

de distribution et de service. Le droit des affaires s’applique donc à tous les acteurs de la vie économique, il s’applique non seulement aux commerçants amis aussi aux artisans aux agriculteurs, aux professions libérales et aux personnes morales civiles. Le droit des affaires englobe et prolonge le droit commercial. L’appellation « droit des affaires » permet également de rendre compte d’une matière éclatée. En effet en marge du droit commercial se sont développés des disciplines nouvelles qui ont

détermine ce qui est imposable. * La liberté d’affectation comptable au bilan de l’activité existe au titre des BIC MAIS contient certaines limites. En effet, certains biens doivent OBLIGATOIREMENT figurer à l’actif du bilan : le droit au bail, la clientèle, les créances et dettes d’exploitation, stocks. Cela joue également au niveau du passif (cf. étude thématique, Précis de fiscalité 2009/2010, Litec). * Cette séance est ciblée sur les conséquences de ce principe, notamment sur les immeubles.

la négociation. C’est une responsabilité civile délictuelle Deuxième conception : Les ruptures non abusives n’engagent pas la responsabilité de celui qui a rompu. Responsabilité contractuelle : repose sur l’article 1134 du code civil (la force obligatoire). Je dois montrer qu’il y a une faute, cad le non respect du contrat (faute), des dommages (matériel et corporel) et le lien de causalité. Responsabilité civile : articles 1382 et 1383 du code civil on retrouve la faute, les dommages et le lien

affaires est un peu une exception au droit civil, notamment le droit de la preuve. En droit civil, il y a cinq modes de preuves : L’écrit ⟶ preuve la plus importante en droit civil. L’écrit est imposé en droit civil pour tout acte dont l’objet est supérieur à 1’500€. En droit commercial, la preuve est libre, sauf en cas de procédés déloyaux. L’aveu Le serment Le témoignage Les présomptions Le droit commercial se situe en exceptions par rapport au droit civil, 2 approches : Branche autonome Droit

déplacer en signe de respect. Autre exemple, lors d’une vente c’est au notaire acquéreur d’établir le sous-seing privé de vente et à celui acheteur de rédiger l’acte de vente. Dans cette univers de tradition, les notaires tendent à fidéliser leur clientèle afin de connaître leurs besoins du mieux qu’ils le peuvent. C’est dans cet esprit que l’on peut constater que dans la majeure partie des cas, leurs clients le sont depuis plusieurs générations car un lien de confiance doit se créer. En effet, les

Par ailleurs, le résultat déficitaire d’un exercice ne peut être reporté sur les exercices qui suivent. 3°/- Régime du bénéfice forfaitaire : Le régime forfaitaire est applicable sur option. Il est déterminé par application au CA de chaque année civile, d’un coefficient fixé pour chaque profession. Le bénéfice annuel des contribuables ayant opté pour le bénéfice forfaitaire, ne peut être inférieur à un bénéfice minimum (B.M) déterminé par application à la valeur locative (VL) annuelle, normale et

La vente est un contrat par lequel le vendeur transfère la propriété d’une chose à l’acheteur moyennant un prix fixé à l’avance. Elle est la plus courante de toutes les opérations commerciales. Elle est aussi le contrat le plus usuel en matière civile. Le contrat de vente est ainsi un contrat consensuel qui ne nécessite guère un formalisme bien déterminé, il suffit de se mettre d’accord sur le prix et la chose vendue en vertu de l’article 488 du DOC (dahir des obligations et des contrats[1] qui stipule :

L'article 1108 du code civil enonce que l'ojet « fixe la matière de l'engagement » dans les contrats. Le contrat est conformément à l'article 1101 dudît code« une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s'obligent envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelques choses ». L'objet de l'obligation est constitué par le contenu de l'engagement, ce peut être un fait positif, une prestation; ce peut être aussi, plus rarement, un fait négatif, une abstention