Chaine De Valeur De Nike

propositions lucratives. Privée ou publique, humanitaire ou commerciale, il est impossible de ne pas trouver au moins une célébrité dans l’histoire publicitaire de chaque secteur d’activité. Marcel Bleusteinblanchet (publicitaire) explique « ça donnait une valeur formidable à la publicité, ça l’enrichissait. Les gens aimaient entendre ces vedettes dans leur rôle. Lorsqu’elles faisaient de la publicité, elles le faisaient à leur manière, et c’était un succès parce que les gens étaient un petit peu crédules »

BAILLY Hadrien! FUNDP 09-10! 2e Baccalauréat Information et communication Marketing Management - Travaux pratiques Marketing management Travaux pratiques Séance 1 I. ETUDE DE CAS : NIKE (KOTLER ET DUBOIS, 12E ÉDITION, P.75) II. QUESTIONS RELATIVES AU CHAP. II III. EXEMPLE DE QUESTION D’EXAMEN 2 Séance 2 IV. ÉTUDE DE CAS : DELL (KOTLER ET DUBOIS, 12E ÉDITION, P. 203) V. QUESTIONS RELATIVES AU CHAP. V VI. EXEMPLES DE QUESTION D'EXAMEN 5 Séance 3 VII.ÉTUDE DE CAS : STRATÉGIES DES

Groupe est centrée sur le développement de la marque Oxbow, porteuse de valeurs d’authenticité et de liberté attachées aux sports de glisse, et dont la notoriété est soutenue par des efforts de communication récurrents et une exigence permanente de qualité des produits. Le Groupe a développé un modèle économique efficace, fondé sur l’externalisation de l’ensemble de la fabrication des produits, complétée par la maîtrise de la chaîne logistique, et qui permet au Groupe de se concentrer sur les éléments

OPTIMISATION DE LA CHAÎNE LOGISTIQUE ET PRODUCTIVITÉ DES ENTREPRISES MARTIN BEAULIEU JACQUES ROY Septembre 2009 Créé en 2009, le Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal a une double vocation. Le Centre se veut d’abord un organisme voué à la recherche sur la productivité et la prospérité en ayant comme objets principaux d’étude le Québec et le Canada. Le Centre se veut également un organisme de transferts, de vulgarisation et, ultimement, d’éducation en matière de productivité

influenceurs, fournisseurs). Consiste à évoquer l’entreprise elle même. Informer sur son fonctionnement, moyens de productions, résultats économiques… (Communication d’entreprise) Et à la faire valoir à travers ses opération extra-économiques, ses valeurs (sport, culture, citoyenneté) → mécénat et sponsoring (communication institutionnelle). Ex : René Lacoste, tennisman Sponsoring d’événements sportifs, Roland Garros. Lacoste fait aujourd’hui de la mode et plus des vêtements de sports. David Guetta

des technologies-clés et les technologies émergentes dusecteur – La gestion de la qualité dans l’entreprise à tous les niveaux (en particulier au niveau de la GRH et au niveau organisationnel). – La maîtrise des coûts tout au long de la chaîne de valeur, depuis laconception jusqu’à la distribution. CHAPITRE2 : L’analyse stratégique . 1-Diagnostic interne et externe : IL y’a deux modèles d’analyses qui sont : Le modèleSWOT et le modèle selonPORTER. 1-1- Modèle SWOT : Il s'agit d'une appellation

l’entreprise P. Drucker considère que la maximisation du profit ne peut pas être le seul objectif de l’entreprise. La création de richesses pour les parties prenantes de l’entreprise est également une nécessité de long terme : – les clients attendent une valeur du produit (bien ou service) vendu par l’entreprise ; – les salariés travaillent pour une rémunération ; – les actionnaires sont intéressés aux résultats grâce aux dividendes ; – les fournisseurs réalisent un chiffre d’affaires en vendant les matières

propositions lucratives. Privée ou publique, humanitaire ou commerciale, il est impossible de ne pas trouver au moins une célébrité dans l’histoire publicitaire de chaque secteur d’activité. Marcel Bleustein- Blanchet[3] explique « ça donnait une valeur formidable à la publicité, ça l’enrichissait. Les gens aimaient entendre ces vedettes dans leur rôle. Lorsqu’elles faisaient de la publicité, elles le faisaient à leur manière, et c’était un succès parce que les gens étaient un petit peu crédules »

l’entreprise P. Drucker considère que la maximisation du profit ne peut pas être le seul objectif de l’entreprise. La création de richesses pour les parties prenantes de l’entreprise est également une nécessité de long terme : – les clients attendent une valeur du produit (bien ou service) vendu par l’entreprise ; – les salariés travaillent pour une rémunération ; – les actionnaires sont intéressés aux résultats grâce aux dividendes ; – les fournisseurs réalisent un chiffre d’affaires en vendant les matières

transaction et de communication. La division du travail entre riches pays industriels et pays en développement exportateurs de produits primaires, a succédé une forte imbrication de ces deux types d'économies, qui s'appuie notamment sur un partage des chaines de valeur ajoutée, ainsi cette nouvelle répartition des taches est très assimilable avec du progrès technique. A L'image de la célèbre manufactures d'épingles présentée par Adam Smith dans « La richesse des nations » publié en 1776. En effet dans cette