Chambre Criminelle 16 Decembre 1997

221-5 du Code Pénal dispose que « Le fait d'attenter à la vie d'autrui par l'emploi ou l'administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement. L'empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle. Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est commis dans l'une des circonstances prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par

dissolution d’une société, des amendes, majorations et intérêts fiscaux dus par ceux-ci. A. – Les dispositions et leur interprétation Le IV de l’article 1754, dans la rédaction qui était soumise au Conseil, résulte de l’ordonnance n° 2005-1512 du 7 décembre 2005 relative à des mesures de simplification en matière fiscale et à l’harmonisation et l’aménagement du régime des pénalités. Cela étant, la loi du 31 janvier 1944 portant réforme de certaines dispositions du code général des impôts directs

terrorisme. Ces faits ne sauraient être couverts par les immunités ou privilèges traditionnellement accordés aux dirigeants d'Etat et de gouvernement, leur responsabilité pénale individuelle pouvant alors être engagée. Tel est le sens de l'arrêt de la Chambre d'Accusation de la Cour d'Appel de Paris du 20 octobre 2000 qui se fonde, à bon droit, sur l'absolu respect des droits de la personne (jus cogens) et sur le fait que l'immunité juridictionnelle ne résulte d'aucun texte écrit. Avec cette décision capitale

rendre coupables de corruption passive tant le préposé que le commis voire même le contractuel. [15] La possibilité d’une condamnation d’une personne morale elle-même, bien qu’elle ne soit pas exclue, semble toutefois se limiter au domaine théorique.[16] Une autre modification apportée par la loi du 10 février 1999 a cette fois, étendu le champ d’application en prévoyant qu’est assimilée à la personne qui exerce une fonction publique, « la personne qui s’est portée candidate à une

judiciaire du Royaume (B.O. 17 juillet 1974) (rectif. B.O. 16 octobre 1974). Vu la constitution et notamment son article 102. Titre Premier : Des juridictions et de leur compétence Chapitre Premier : Dispositions générales Article Premier : (modifié, Dahir n° 1-91-226 du 10 septembre 1993 - 22 rebia I 1414, Dahir n° 198-118 du 22 septembre 1998 - 30 joumada I 1419 portant promulgation de la loi n° 6-98, 1er alinéa modifié par la loi n° 16-06 promulguée par le dahir n° 1-07-04 du 17 avril 2007

British Library Public Catalogue.......................................13 2.1.5. Library of Congress.......................................................15 2.2. ELECTRE.................................................................................16 2.3. FRANCIS (CDRom)....................................................................17 2.4. DIALOG..................................................................................18 2.4.1. Base 39: Historical Abstracts......................

§1. La notion de commencement dʼexécution Imaginer la commission comme un processus : lʼinter criminis. A. Ce que nʼest pas le commencement dʼexécution - 1. Le point de départ cʼest la pensée criminelle, elle ne marque pas le départ du commencement dʼexécution. Parfois la résolution criminelle peut être punissable parce que le législateur aurait érigé la résolution en tant quʼinfraction. Cʼest rare, mais exemple de lʼarticle 412-2 qui vise lʼinfraction de complot, on a une référence à la résolution

indéterminée par l’employeur, hors rupture en cours d’essai et les cas de force majeure et de mise à la retraite lorsque les conditions légales sont remplies, constitue un licenciement en vertu d’une jurisprudence rendue par la chambre sociale de la Cour de cassation en date du 14 octobre 1997 ( n°94-42.604P). Effectivement l’employeur qui entend se séparer d’un salarié ne peut recourir qu’au licenciement. De ce fait, l’employeur ne peut que procéder à un licenciement. Aussi l’employeur ne peut demander en

en parfaite violation de la loi. Cette situation devrait provoquer de vives réactions de la part des acteurs du monde judiciaire et notamment du conseil national de la magistrature, mais il n’en est rien : le récent film de Raymond Depardon, 10ème chambre, instants d’audience, a ainsi pu être projeté en sélection officielle lors du festival de Cannes, sans que jamais la question de l’illégalité de l’enregistrement des audiences n’ait été soulevée. Le paradoxe est donc immense entre une justice globalement

d’inclure des biens incorporels Cette extension du délit d’abus de confiance aux biens incorporels a longtemps été discutée Néanmoins, il y a 2 arrêts qui sont venus clore le débat en confirmant l’extension du délit aux biens incorporels : Chambre criminelle, 30 mai 1996, Tuffier, rendu sous l’empire du code de 1810 dans lequel la Cour juge que l’inscription en compte de valeur mobilière incorporelle constitue un écrit qui entre dans le champ d’application du délit d’abus de confiance La CC se