Chambre Criminelle 19 Avril 2000

déroulant au stade de France une bagarre éclate entre deux supporters français, Aaron, jeune homme de 15 ans, présent sur les lieux film la scène avec son téléphone portable. Les policiers arrivent sur les lieux menottent et arrêtent Ben, jeune majeur de 19 ans, qu’ils estiment être a l’origine de la rixe qui a causé de graves blessures à l’autre supporter français, qui lui étant transporter d’urgence a l’hôpital de la Salpêtre à Paris. Les médias s’étant emparé de l’affaire ont, au journal télévisé de

8 Conclusion 10 Introduction Pour la réalisation de cette fiche de lecture, j’ai choisi de vous parler du livre « je vous demande le droit de mourir » de Vincent HUMBERT. Il s’agit du témoignage sincère et bouleversant d’un jeune homme âgé de 19 ans, dont la vie a basculé à la suite d’un accident très grave de la route. Il décide d’en finir avec la vie, ne pouvant agir par lui-même. Il se tourne vers Monsieur Jacques CHIRAC, Président de la République, pour lui demander « le droit de mourir »

Master recherche droit pénal et sciences criminelles Université Nantes : année 2004/2005 DROIT PENAL INTERNATIONAL M. Reynald OTTENHOF Dossier : EXTRADITION Sommaire : 1° partie [définition] : La notion d'extradition : une approche historique du fondement juridique comme enjeu de puissance entre les Etats-Nations. 2° partie [actualisation] : L'extradition concrètement : un état des lieux des conventions liant la France aux autres Etats ("le dessous des cartes" des relations extraditionnelles

1384 al.4 dispose que « le père et la mère, en tant qu'ils exercent l'autorité parentale, sont solidairement responsables du dommage causé par leurs enfants mineurs habitant avec eux ». Cet article a d'ailleurs été mis en application par la Chambre Criminelle de la Cour de Cassation dans un arrêt du 8 février 2005. En l'espèce, Grégory Z., mineur âgé de 13 ans; résidant depuis l'âge 1 an chez sa grand-mère en vertu d'un accord passé avec les parents de l'enfant; a provoqué un incendie volontaire

l’entreprise », D. 1998, chron. 256. - G. ROUJOU DE BOUBÉE, « Mise en œuvre du principe selon lequel nul n’est responsable pénalement que de son propre fait », D. 2000, somm. 113. - E. DREYER, « L’imputation des infractions en droit pénal du travail », Rev. sc. crim. 2004, n° 4, p. 813 et s. - Les étudiants du Master 2 « droit pénal et sciences criminelles » de l’université Toulouse I, « La délégation de pouvoirs : jusqu’où ira le juge pénal dans le contrôle de l’organisation interne de l’entreprise », Dr

relaxe au pénal, en principe, on ne peut plus agir en civil. Cependant, ce lien a été considérablement atténué par la loi du 10 juillet 2000. Désormais, avec cette loi, en présence d’une faute pénale intentionnelle ou non, la victime peut agir en réparation devant les juridictions civiles indépendamment de la procédure pénale. Dans l’arrêt de la première Chambre civile du 30 janvier 2001, la Cour de Cassation a déclaré qu’en l’absence de déclaration punitive, le juge pénal ne fait plus obstacle à

4 III. Qualification Juridique des Faits 5 IV. La procédure 6 V. La solution de l’affaire 12 VI. Index 14 Introduction Le 30 avril 1987 Patrick Dils a été inculpé d'homicides volontaires, sur deux garçons à Montigny-lès-Metz, en Moselle. Le 27 janvier 1989, il a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour meurtre. Le 24 avril 2002, son innocence est reconnue ; il aura passé quinze ans en prison, victime d'une erreur judiciaire pour laquelle l'État français lui a versé

fonction du juge d’instruction a été remaniée plusieurs fois. L’ancêtre du juge d’instruction est le lieutenant criminel, institué en 1522 par François 1ier et chargé de mener les investigations préalables au procès, selon le modèle inquisitoire. C’est l’ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539 qui crée l’institution du juge d’instruction. Jusqu’à la Révolution, le lieutenant criminel subsiste, en cumulant les fonctions de juge d’instruction et de magistrat participant au jugement des crimes4.

d’infraction dont la gravité attribue la compétence a la Cour d’ASSISE. Ex : le meurtre, l’assassinat, la violence aggravée ayant entrainée la mort sans intention de la donner, le viol, un notaire qui réalise un faux... Sanction : peine de réclusion criminelle. b) Les délits Sanction : emprisonnement avec souvent amende. On y trouve des infractions intentionnelles mais aussi des infractions d’imprudence et de négligence. Les infractions intentionnelles : le vol, l’abus de confiance, violences volontaires

de grande instance, prononce une ordonnance interdisant l’usage de banderilles agressives durant la manifestation. - A date inconnue, l’association Las Ferias interjette appel de l’ordonnance émise par le jugement de première instance. - Le 3 avril 2000, la cour d’appel de Toulouse, rend un arrêt infirmant l’ordonnance du tribunal de grande instance. - A date inconnue L’association Société national pour la défense des animaux fait grief de l’arrêt émise par la cour d’appel de Toulouse et forme