Champ Lexical De La Fete

13), gagner (l. 15)… - Hyperboles chiffrées « six mille » (l. 4), « dix mille » (l. 6), « quelques milliers » (l. 8), « trentaine de mille » (l. 9)… + l’utilisation de pluriels + énumérations. • Une vision esthétique de la bataille. Une parade, une fête. - Termes laudatifs « beau, leste, brillant, ordonné » (l. 1) associés à l’intensif « si » de la première phrase. - Harmonie auditive : des instruments de musique associés au canon « trompettes, fifres, hautbois, tambour » et « canon » (l. 2, 3) -

plus d’effets que l’objet du rapport lui-même. Ainsi divers facteurs les ont donc réunis, notamment le ciel « quelque ordonnance du ciel » (l.12) l’auteur à travers cette expression vise à amplifier la notion de fatalité. Malgré une fête conséquente « c’était une grande fête et compagnie de ville» (l.14) le destin les as malgré tout rapprochés. Une immédiateté de l’amitié se forme, nouée dans le vif de l’action. De plus, une image de force qui les a conduits l’un

recréer l’effet d’une noyade ou d’une asphyxie dû au Spleen. Il utilise les termes « sourdes plaintes » et « fleuve invisible » pour faire ressentir au lecteur l’eau pénétrant dans nos poumons. - La toute puissance du Mal On relève le champ lexical du mal, « Satan », « démon », « diable », le mal est donc très présent. Baudelaire développe ici une esthétique satanique. La majuscule à l'épithète de «Satan Trismégiste » montre la toute puissance du diable. Il est décrit comme un chimiste qui

parle le passage ? 6- Quelle était la réaction de la mère à l’égard de cette nouvelle ? 7- Relevez du texte la réaction de Sidi Mohammed. 8- Comment le narrateur a-t-il trouvé son père ? et pourquoi ? 9- Quel est le champ lexical dominant dans le texte ? 10- Quelle nouvelle apporte Driss L Aouad à Maalem Abdessalam ? 11- Dans le texte relevez un élément renvoyant aux traditions marocaines ? 12- Comment se sentit le narrateur à la fin du passage ? Que fit-il

par l’emploi du pronom « je » (v 2, 6), du champ lexical de l’amour : « cœur » (v 1,3) ; « amour » (v 28) ; « Ami » (v 35) ainsi que de nombreuses ponctuations expressives : « ? » (v 14, 16, 26, 28, 40) ; « ! » (v 4, 8, 24, 32). Ces procédés vont traduire l’exaltation des sentiments ici l’amour. * Dans le texte B le lyrisme est présent par l’emploi du pronom « je » (v 6, 13), du champ lexical de la nature : « forêt » (v 1) ; « mer » (v 2) ; « champs » (v 5,10) ainsi que des assonances en « en

fin de la vie : la mort - De même pour le titre du recueil Les Feuilles d’Automne -> dégradation - Temps personnifié : vers 4 « pas du temps qui s’enfuit » - deux premiers vers se rapportent à la nuit + allitération en « s » et en « r » - champ lexical du temps : « soir » « nuit » « aube » « jour » Rythme dans le poème : - deuxième strophe : rythme 6/6 (césure à l’hémistiche) et répétitions -> caractère régulier du temps qui s’écoule - Enjambement dans le troisième quatrain -> écoulement du

superstitions pour attirer l'attention à ce point ,l'explication en détail vient après l’énumération » elle donnait dans les opinions nouvelles ; elle conférait avec des sulpiciens, des jésuites» et l'utilisation de champ lexical en lien avec le climat malsain qui s’installait dans le couvent la maison furent pleins d e troubles , de haines , de médisances , d’ accusations

bal est donné en l’honneur des fiançailles de Claude de France (fille du roi Henri II) et du duc de Lorraine. Toute la cour est donc rassemblée. C’est un moment privilégié, exceptionnel. -       champ lexical de la fête : bal/ festin royal/ parure : + 5 occurrences du verbe « danser » -       champ lexical de la cour et de l’aristocratie : prince L1/ la Cour L 2/ festin royal L 6/ le Louvre  L 6 (résidence royale). -       Les personnages sont tous des aristocrates (noms avec la particule DE) -      

Celle-ci prend possession de nous et nous fait descendre, . Baudelaire cherche dans ce quatrain à recréer l’effet d’une noyade. Il utilise les termes « sourdes plaintes » et « fleuve invisible » pour faire ressentir l’eau au lecteur. On relève le champ lexical du mal, « Satan », « démon », « diable », le mal est donc très présent. Baudelaire développe ici un esprit satanique. La majuscule à l'épithète de «Satan Trismégiste » montre la puissance du diable. Il est décrit comme un chimiste qui travaille

____________________________________________________________ ____________ Séance n°1 : découverte de l’oeuvre - Objectif : analyser et commenter le paratexte. - Notions : horizon d’attente, paratexte, première et quatrième de couverture, dénotation/connotation, champs lexicaux. - Activités élèves : lecture d’image et interprétation ; lecture de la table des matières ; écriture d’une courte synthèse à partir des éléments notés au tableau. - Déroulement : 1/ Observation de la couverture. Décrivez le recueil que