Champ Lexical De La Memoire

genre littéraire a comme tout genre des buts pour l’auteur. La première intention de Rousseau par rapport à l’autobiographie est de se dévoiler et donc de se montrer tel qu’il est ou tel qu’il se voit. En effet, on peut tout d’abord observer le champ lexical du regard avec des termes comme : «  Je veux montrer » (l.2) ; «  j’ai vus » (l.4) ; « J’ai dévoilé mon intérieur  » (l.13) et «  tu l’as vu toi-même » (l.13). Ces mots ou expressions prouvent bien que le but de Rousseau est de se révéler maintenant

point)      b. Que constatez-vous dans le rythme de ces phrases ? (1 point)      c. Quel effet l'auteur cherche-t-il à produire ? (1 point) 2) a. De "Oh! Réminiscence..." à "...c'en est au moins un.", relevez deux termes appartenant au champ lexical de la mémoire. (1 point)     b. Quelle différence de sens faites-vous entre eux ? (1 point) II - LE ROLE DE LA PHOTOGRAPHIE (3 points) 1) a. A partir de "et qu'importe ...", par quel détail de la photographie le regard d'Anny Duperey est-il arrêté

trois fois à Beaucoup de lectures de textes à Multiplicité des paragraphes u Le maître est consacré à l’élève • L’élève est l’objet de tous les soins : à Participe passé = passivité du maître à Pronoms (im)personnels • Le dialogue à Champ lexical de la parole à Toutes les lectures sont suivies de commentaires à La parole du maître attentionnée montre la proximité avec l’élève • La récréation ; à Même pendant la récré l’élève apprend= Education ludique à Apprendre dans la liberté

5) -> lieu isolé (Fantastique ?)  Voyage dans le temps et l’espace « Un vieux flacon jauni qui se souvient » et « ils pénètrent » -> personnification -> Le parfum, matière volatile, non concrète se rend solide pour agir « vieux, jauni » -> champs lexical de la vieilles -> décrit rapidement  Le contenant n’est pas le plus important. « Armoire, coffret, flacon, maison » -> registres réalistes La serrure -> personnification et allitération en r « grince » -> angoissante « Une âme qui revient »

reçu les Dix Commandements, Moïse interpelle ainsi le peuple Hébreux afin qu’il n’oublie jamais les dix Commandements. Primo Lévi place son œuvre dans une double perspective : une perspective juive, mais surtout comme Moïse, dans un devoir de mémoire : ne pas oublier cette époque. Il la place dans une perspective pédagogique : faire apprendre aux générations futures ce que furent ces horreurs afin de ne pas les oublier et de ne pas les renouveler. Ce poème se présente comme une préface dans laquelle

passe. IMITATION DES ANCIENS: des le debut, en regardant le poeme de plus pres, on peut remarquer qu'il ya un lien, une signification entre le titre ''voeu'' et la forme en italique qui represente l'ex voto. Le Voeu fait afin de se rappeler a la memoire de la divinité invoquée. le voeu de ronsard se situe dans une ambition extraordinaire, il a choisi la forme exigente du sonnet, il a aussi choisi de mettre aux lecteurs un poeme qui soit une preuve de virtuosité, et ainsi devenir immortel grace a

anaphore) au début de la 2ème strophe  "nous" v. 7 / "tu" v. 1 et 7 / "moi" v. 4 et 5 - champ lexical du secret (intimité) : "ensevelie" v. 1 / "refermé" v. 3 / "en moi" v. 4 et 5 / "sous la terre" v. 13 / "masque" v. 13 et 14 / "silence" v. 15 B) La mémoire d'un passé vivant - champ lexical du commencement (un passé plein de promesses) : "aurore" x2 v. 2 et 4 (= anaphore) / "matin" v. 2, "mai" v. 2 - champ lexical de la sérénité : "beau matin" v.2 / "claires" v.4 / "contente" v. 6 / "aimions" v. 6

Il s’agit, ainsi, de solenniser toute la scène qui suit, mais aussi d’en souligner le caractère tragique et de lui donner une valeur d’expiation (« rigoureux jugement ») qui oriente la perception du lecteur. 2) Le champ lexical de la « parole » est développé dans le 2e paragraphe : « mots », « récit », « raconte », « exprimer ». Après un 1er paragraphe qui commence le récit au passé (passé simple et imparfait ou plus-que-parfait), le narrateur intervient

dernière occasion que j’aurai de parler de ceux qui souffrent à cause de moi. Je sais que mes mots sont dérisoires, mais je dois les dire. Leur dire que leur souffrance ne me quitte ni jour ni nuit. Je sais qu’ils me refusent le pardon mais en mémoire de Florence je veux leur demander pardon. Il ne me viendra peut-être qu’après ma mort. Je veux dire à la maman de Florence, à ses frères, que leur papa est mort des suites de sa chute. Je ne leur demande pas de me croire, parce que je n’ai pas de

frères morts se faisant un passage, Et de sang tout couvert échauffant le carnage." vers 1001-1002 résume tout le tragique, tout le pathétique aussi, de cette tirade. Le champ lexical de la terreur est dans ce monologue très fourni : funérailles, ensanglantant, étincelnts, frères morts, sang, cris des mourants, horreurs. Ce champ lexical peut aussi justifier le registre pathétique présent là. Ce registre-ci est employé pour provoquer un sentiment de forte pitié. Il jouera sur les thèmes de l'injustice