Champ Lexical De La Prison

relationnelle. L’anaphore « Le maître de… » souligne tout le paragraphe des lignes 293 à 300 et renforce le dédain qu’il porte aux athées qui f ouillent les moindres détails de la Terre et des Hommes. L’inconnue présente l’athéisme comme une porte de prison, une cage où sera enfermé l’homme mais lui seul détiendra les clés « Vous expliquerez l’homme par l’homme, et la vie par la vie » (l.318). Le jeune homme se demandant « quel est le sens de la vie (l.313) déplorera sa naissance, son existence si aucun

Sud. 3. Graviter : évoluer autour de. 4. Firmament : ciel.  5. Arcanes : mystères. 6. Éthérés : qui a un rapport avec les espaces célestes. 7. Azur : ciel.  8. Linceul : pièce de toile, souvent blanche, dans laquelle on enveloppe un mort. 9. Geôle : prison. 10. Nécropole : grand cimetière. Partie 1 Questions 1h 15 pts I. Un poète prisonnier 1 a. À quel genre littéraire ce texte appartient-il ? 0,5 pt b. Justifiez votre réponse à l’aide de trois indices. 1,5 pt 2 a. Qui dit « je » dans ce texte 

noires et lugubres symbolisant la mort, celle-ci sont de plus en plus sombres au fil des vers. Ainsi la crise de démence du poète monte en puissance. Enfin, Baudelaire rend les armes, s’avoue vaincu. L’angoisse peut donc triompher. Le champ lexical de l’enfermement, la tristesse, les images macabres et les figure de style funèbre traversent tout le poème ; ainsi Baudelaire dépeint un climat inquiétant et pesant qui montre bien son état de spleen. Ces conditions sont tout de suite présentes

est incarcéré à la prison de la Santé du 7 au 13 septembre en 1911 pour complicité de vol. De ce triste épisode il a tiré une suite de six poèmes intitulée « A la Santé ». C’est de la poésie carcérale. Apollinaire est influencé par la poésie symboliste. Il est l’inventeur du terme « surréalisme ». Dans « A la Santé » d’Apollinaire, le poète raconte son incarcération à la prison de la santé de façon chronologique. Il commence par raconter son arrivée à la prison, pour finir par son

en œuvre pour restituer une description frappante, vivante mais fidèle à la réalité ? En quoi défend-t-il la condition humaine ? Je vous présenterai tout d’abord les engagements humains de ce reporter dans ce reportage, nous verrons ensuite le champ lexical utilisé pour donner aux lecteurs une description percutante voir choquante. Nous finirons ensuite par étudier les procédés utilisé afin de rendre le récit vivant. Albert Londres a fait de nombreux voyages dans le monde entier et n’a cessé de défendre

du 17eme dont la production littéraire est d’une grande variété même si ce sont ses fables qui lui apporteront la considération. Dés 1658 il est sous la protection de Fouquet, surintendant de Louis XIV, mais en 1661 Fouquet est disgracié et mis en prison, La Fontaine s’éloigne alors de la capitale. De retour à Paris quelques années plus tard sa carrière reprend avec la publication des Contes. Il publie par la suite le premier recueil des Fables, empruntant des sujets à Esope ou encore Phèdre. Il enrichit

réfugie dans l inaction • on se refuse à vivre le présent : on construit toute notre vie autour d’un passé qui n’est plus. • absence d’engagement envers soi-même et envers les autres : absence de responsabilité. > Le souvenir peut être comparé à une prison • si on y entre, il serait difficile d’en sortir. • nous empêche de savourer ( de goûter ) aux plaisirs du présent. > Le souvenir d’une époque révolue peut amener l’homme à mépriser (détester ) son époque. Donc, il vaut mieux vivre le présent

travailleurs. Plus loin, dans le même chapitre, il dénonce la bureaucratie. I, Les horreurs de l’industrie -Vian détaille avec nombre de détails l’environnement et les souffrances des travailleurs à l’aide d’adjectifs et des champs lexicaux de la violence, de la machine et de la prison : |Violence : |Machine : | |-le frappa (p257 l.5) |-pièces métalliques

totale ». Il s’agit de faire croire aux bienfaits des sacrifices réalisés (tuer pour sauver de la ruine). 2. Un rituel. - Description de ce rituel. Costumes portés par les personnages (avec des symboles) + défilé + discours + spectacle musical (champ lexical de la musique) = parcours par lequel les personnages sont menés au lieu de la sanction. - Rituel organisé, car le maître et le disciple portent le même costume (« san-benito » + « mitre ») mais avec des symboles inversés de l’Enfer (griffes, queue…)

fait de son histoire, un texte réaliste mais aussi pathétique puis tragique. I/ Le registre réaliste - Les lieux cités sont réels. Exemple : L'histoire se déroule vers le 19ème siècle. « Bicêtre » (l.11) ; grand édifice servant d'hôpital et de prison, situé en France. - Quelques détails ça et là de la vie courante, des activités, des souvenirs, etc. Exemple : « des jeunes filles,... des marronniers » (l.12, 15). - Une routine contre des souvenirs Exemple : Utilisation de l'indicatif, temps