Champ Lexical De La Prison

enfants sont donc des machines « qui produit la richesse en créant la misère ». Nous pouvons de même remarquer une gradation ascendante concernant cet univers infernal « prison, bagne et enfer », ce qui implique très fortement le lecteur dans ce monde d’esclavage que subissent les innocents. Hugo utilise aussi un champ lexical de l’usine et des machines afin de choquer le lecteur. « Sous les meules » vers 16, « Une machine sombre » vers 19, ou encore « tout est de fer » vers 22. Ce vocabulaire

Dans la première partie de Fin de partie, nous sentons une sensation de vide et d'absurdité de tout à cause d'un intérieur vide et grisâtre. En effet, le décor est présenté comme un intérieur vide et sans meubles sous une lumière grisâtre. Le champ lexical de l'ambiance s'apparente à un décor sans vie, dépressive car la présence de gris est prééminente mais aussi le plomb apporte la froideur et la lourdeur de la situation et la fumée donne une sensation étouffante. On se sait pas où se placer, on

Victor Hugo, auteur romantique connu pour ses engagements politiques, publie en 1832 Le Dernier Jour d'un condamné, un récit sous forme de journal intime qui raconte les derniers instants passés en prison d'un condamné à mort. La fiction devient ainsi une arme pour défendre une idée encore peu répandue à l'époque, l'abolition de la peine de mort. Nous nous demanderons donc comment Hugo, en livrant les pensées intimes de ce personnage, parvient à émouvoir et faire réfléchir le lecteur. Dans un premier

voir dans les quatrains un champ lexical lié a la confusion avec "confuse"v2 "se confondent"v5 "tenebreuse et profonde"v6 .Cette confusion est precise avec la repetition de on tres present dans le second quatrain avec "longs" "sons" "repondent" "confondent".Cette repetition est difficile a comprendre ,seul le poete c'est pourquoi il a evoqué ce phenomene d'accumulation de sons .Nous avons une antithese "vaste comme la nuit et comme la clarté "v7qui appuie ce champ lexical. Pour conclure,ces assonances

l’addiction à l’alcool, Il est d’ailleurs décrit comme un homme déchéant, alcoolique « plein du jus de la treille ». « avait laissé ses sens » On y retrouve par ailleurs le champ lexical de l’alcool « jus de la treille », « bouteille », « vapeurs du vin nouveau », « cuvèrent », « bière ». Il y a également le champ lexical de la mort : comme pour montrer que l’alcoolisme, le vice, le défaut en général mène à la perte de celui à qui il appartient. « tombeau », « mort », « corps », « un drap des morts »

un seul ne rit ? 1 Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement 5 Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. 10 Jamais on ne s'arrête

spectacle de l'autodafé : ironie ( la mort n'est pas un spectacle et dénonciation du voyeurisme mal sein) Ca n'a rien de divertissent, ce qui vont bruler sont pas à la fête. Infaïble : ironie. A petit feu : c'est une recette qui nous donne, champ lexical de la cuisine (intrusion) devant l'évocation d'une exécution capitale. Les victimes de cette recette sont des victimes purement arbitraire ( coupable bien fabriqué ; juifs, coupables innocents, sur mesure). Convaincu d'avoir épousé sa commère sous

narrateur mène une enquête sur le meurtre de Belle de Jour. En effet il va tous les jours sur le lieu du crime (canal) pour fouiller et chercher des indices c’était toi le policier -> description de la scène de crime -> champ lexical du crime ; « crime », « victime », « assassin », « prison », « meurtre », « suicide »… -> affaire close par la fusillade de Yann le Floc reconnu coupable => L’enquête ne porte pas sur l’Histoire avec un grand H, il n’y est pas non plus question de métarécit (récit sur la réalité

âme au bec.» (vers 4, 14 et 24). Ces vers mettent en parallèle l’oiseau et la mort puisque l’oiseau donne la mort en obtenant l’âme. Dans Les Corbeaux, de monsieur Nelligan, la fatalité mène aussi à la mort. Il désigne la mort en employant un champ lexical de la mort : «des vols funèbres», «Lugubrement», «des tombeaux», «nos ténèbres». Ces mots mettent en considération de l’ambiance et de la présence de la mort. Nelligan met aussi une métaphore qui fait valoir la fatalité : «Et flairant un régal

Droit civil Qu’est-ce que le droit ? Pour un néophyte (un non-juriste) le droit à a voir avec les tribunaux, les procès, la justice, ainsi qu’avec la police, les prisons. Donc droit = champs lexical de la justice et de la contrainte (le glaive et la balance). C’est aussi l’autorisation de faire quelque chose, le pouvoir d’exiger quelque chose ( ex: j’ai le droit de divorcer ou bien d’expulser mon locataire). On a le droit A quelque chose, c’est une prérogative accordée aux individus. Cette vision