Champ Lexical De La Prison

11) => son cerveau n'est plus qu'une toile d'araignée. | C- Une idée d'enfermement * La prison, d'abord extérieure au poète en proie au spleen, finit par être intérieure.* Le ciel est un couvercle qui enferme l'esprit à la manière d'un cercle .* La pluie dessine une immense prison, vaste (v.10) mais extérieure.* La prison finit par s'installer à l'intérieur de l'homme. De physique, la prison devient psychique; filet dans le cerveau, la météo montre un délire intérieur.=> Tous ces éléments

une certaine complicité avec le lecteur « crétin » « engueulade ». D’autre part, l’auteur mets en avant l’atrocité de la guerre. Celle-ci est assimilée à un feu qui ne veut pas s’éteindre « il n’était pas près de s’éteindre ». On relève le champ lexical du feu « brûlait, allumer, charbon, s’éteindre ». A travers ces mots, on a l’impression que le combattant est réduit à un simple « rôti ». La souffrance de la guerre est marquée d’une part par cette douleur physique et d’autre part, par la brutalisation

l’esclavagisme, le clergé et le fanatisme religieux, l’absolutisme et le droit divin… Il se battait pour la raison, la liberté, l’égalité, la vulgarisation des connaissances (cf encyclopédie des lumières de Diderot et D’Alembert), quitte à risquer la prison, l'exil, l'excommunions. Mais l’objectif des philosophes des Lumières était donc avant tout de souligner les abus et de remettre en cause la toute-puissance de certaines institutions pour éclairer les hommes et les voir progresser. Dans Candide

La place de Grève | Durée de séjour en prison | Six semaines | Le dernier jour | A partir du chapitre 18 | L’annonce du dernier jour | Six heures du matin | Heure de l’exécution | Quatre heures | Point de vue ou focalisation | Point de vue interne | Attitude des personnages | Indifférence à la souffrance du condamné | Champs lexicaux | Champ lexical de la mort, de la captivité, de la cruauté, de la laideur, de la souffrance… | La modalisation

enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ? Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement, Accroupis sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent.Tout est d’airain, tout est de fer. Jamais on ne s’arrête et jamais

poème écrit en 1736 par Voltaire (1694-1778), un poète du siècle des lumières. Il a toujours été contre l’éducation religieuse qu’il a reçut, et il adopte un ton insolent et un comportement libertin. Cette attitude lui vaudra plusieurs passages en prison ou en exil, ainsi que de très nombreuses censures. Il est également l’un des initiateurs de l’Encyclopédie. Le Mondain est un hymne de Voltaire à la vie et aux plaisirs qu’apportent les avancées scientifiques de son époque, et également un moyen

Déduction Repérage des illustrations Interprétation Idées principales et thèmes Procédés d’écriture Preuves textuelles Explication de l’illustration Dualité de Verlaine Il est confus et instable dans sa situation amoureuse. Son âme est prisonnière. Champs lexicaux Ivresse : « folle » (v.3) « ivre » (v.12) « immensité » (v.14) Dualité émotive : La situation affective du poète est contradictoire et démontre son instabilité. Tristesse : « amer » (v.2) « mélancolique » (v.7) « tristement »

célèbres, de ce faites il va lui-même rédigé des poèmes. Ensuite, il va rencontrer Rimbaud et le suit jusqu’en Angleterre mais leurs relations est très orageuses et en 1873 Verlaine blesse Rimbaud avec un fusil il sera condamné à 2 ans de prison. Puis sortit de prison il retombe dans l’alcoolisme et il tombe dans la grande misère. -Le recueil de Verlaine les fêtes galantes évoquent des personnages élégants tombant amoureux. De plus la musicalité dans les vers est très présente car la musique accompagne

« c'est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères ». Il se manifeste aussi par la souffrance et le sang qu'il verse. Les auteurs font allusion aux différentes exactions commises par les Allemands. Les partisans ripostent activement : « tue », « ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes », « tueurs » et « tuez vite ». Deux champs lexicaux sont présents : - La souffrance et la violence (« cris sourds », « prix du sang » et « prisons ».). - Les armes et la guerre (on peut

imaginer la ville ainsi que son étendue, qui ne peuvent être que du domaine du merveilleux puisqu'aucune ville réelle au monde ne se visite en 500 jours. On a alors l'impression d'une cité immense qui s'étend à l'infini. En outre, l'utilisation du champ lexical de la grandeur avec des mots comme : -grands, grandes places pavés, deux milles pas- nous rappelle et renforce l'impression de grandeur et de démesure de la cité. De plus, nous pouvons nous attarder sur l'hyperbole suivante qui est : « édifices