Champ Lexical De La Prison

linéaire : I] La mise en scène de la rencontrre Cette rencontre tant attendu avec les hommes se situe à l’avant dernier chapitre. Le narrateur a mélangé l’attente du lecteur. a) -« étonnement, inexplicable » (sur le fait que les hommes parlent)/champ lexical de la découverte : dramatisation par des manifestation d’impatience -« Insecte invisible… de l’infiniment petit/apostrophe long avec de nombreux assonances : solennité du discours de Micromégas adressé aux humains Dernière phrase du 2ème paragraphe/mode

succinct de Manon : accent mis sur son charme dont la signification est double : jolie mais aussi ensorceleuse. « sagesse, retenue » ≠ « enflammé tout d’un coup jusqu’au transport » Phrases négatives, champ lexical de la timidité (déjà esquissé avec « innocence » ligne 1) et champ lexical de la passion  contraste Hyperbole pour le sentiment amoureux. Le texte repose sur un balancement avant/après la rencontre : on passe du jeune homme timide à l’amoureux transi. « me parut, moi, moi

dans ces poèmes sont : - le champ lexical de la mort : LXXVIII « corbillards » v. 17, « gémissant » v. 2, LXXVII « mourant » v. 6, « cadavre » v. 17, LXXVI « morts » v. 10, « cimetière » v. 8, LXXV « défunts » v. 14, « fantôme » v. 8 - le champ lexical de la maladie : LXXV « enrhumée » v. 10, « galeux » v. 6, LXXVI « boiteuses » v.15, « l’ennui » v. 17, LXXVII « très-vieux » v. 2, « malade » v. 8, LXXVIII « geindre » v. 16 - le champ lexical de la souffrance : LXXV « se lamente »

raconte à sa mère son combat pour la liberté, pour la paix. Après une réference à la guerre d'Espagne, elle évoque la lutte contre l'envahisseur. Elle dénonce dans un langage simple, les actes de torture, de barbarie infligés dans les camps et les prisons (deuxième strophe). Le poème est à la fois écrit à la première personne "je" et on retrouve également à plusieurs reprises "lui et moi", "on a rêvé", "on a perdu", "ils vont nous tuer". On sait aussi que le narrateur et "lui" sont jeunes; "c'est

nombre de victimes innocentes ( Les 4 condamnés – si l’on compte la fausse mort de Pangloss ( mal pendu ) – et les victimes des deux tremblements de terre ). I. L’autodafé comme spectacle rituel : 1. La mise en scène : a) Un spectacle : -Champs lexical du spectacle -Cadre spatial fonctionnant comme un décor -Concentration des effets et rapidité des actions/rythme de la narration -Absence d’analyse psychologique -Narrateur spectateur et spectateur lecteur -Les variations d’éclairage : les

décrit les conditions dans lesquelles sont accueillies les futurs galériens. Le mot « boue », employé dans la première phrase du passage et l’expression qui le suit «  les pavés inondés », montrent toute la saleté et l’insalubrité de la cour de la prison qui contribue notamment à rendre fragile le moral les forçats. Vient ensuite le travail des deux forgerons avec leurs énormes « enclumes portatives » qui consiste à fixer le « collier » que les prisonniers auront sur eux le temps de leur détention

atrocités de la guerre. Pour cela, il utilise un vocabulaire cru et réaliste comme le montrent les expressions « le cavalier n'avait plus sa tête, rien qu'une ouverture au-dessus du coup » (l.76), « le colonel avait son ventre ouvert » (l.79). Les champs lexicaux de la boucherie, avec les mots « viandes », « sang », et de la cuisine, avec les références à la « marmite », la « confiture » et les « glouglous », accentuent le dégoût du lecteur, qui comprend que les cadavres ne sont plus que des carcasses

France Comme, avant lui, ses père et grand-père ; son rôle, Il le connaît. Il meurt. La terre prend l'obole De son corps. Aérée, elle reprend confiance. Le poète, vois-tu, est comme un ver de terre Il laboure les mots, qui sont comme un grand champ Où les hommes récoltent les denrées langagières; Mais la terre s'épuise à l'effort incessant ! Sans le poète lombric et l'air qu'il lui apporte Le monde étoufferait sous les paroles mortes J'ai besoin d'aide Où j'en suis : Mon commentaire

sorte de prison, de labyrinthe inquiétant avec sa foule de recoins et son architecture bizarre. Enfin, il est personnifié avec l’expression « leur front sourcilleux » ; d’ailleurs le narrateur fait lui même référence à Mistress Radcliffe, auteur de roman gothique. La mise en valeur du portrait Le portrait est mis en valeur avec une opposition entre l’ombre et la lumière. Cette mise en valeur rappelle le procédé du clair-obscur en peinture. On relève donc dans le texte deux champs lexicaux opposés

de bruit et de lumières, et puis encore des filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. L2: Voilà 5 semaines que... L14: Dans mon imagination. L4: Autrefois L15:(...) dans un cachot. L16: Mon esprit est en prison dans une idée. L25: Se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot. L28: Dans mes rêves. L33: Sur la dalle mouillée et suantes de ma cellule, dans les rayon pâles de ma lampe de nuit, dans la trames grossières de la toile de mes vêtements