Champ Lexical De La Prison

Continents, tout ce qui respire". Il montre bien l'absurdité de certaines situations comme le fait de "se tirer dessus sans se VOIR ". Il pense que la guerre est une "horreur" et le dit. D'ailleurs, nous pouvons le voir dans ce texte car il utilise le champ lexical de l'horreur. Il emploie les mots : "mort", "meurtre en commun", "apocalyptique", "abomination", "fuite en masse", "assassinats", "horreur". Il utilise un vocabulaire péjoratif dans ses comparaisons "tellement plus vicieux" et ses hyperboles "croisade

Sagesse : Le ciel est par-dessus le toit Introduction : La liaison avec Rimbaud s'est achevé dans le drame. En juillet 1873, Verlaine dans un moment d'ivresse a tiré sur son ami à deux reprises. Condamné à deux ans de prison, il est incarcéré à Bruxelles , le temps de la prison devient alors le temps du repentir et de la tentative de la conversion religieuse et plus généralement de la sagesse d’où le titre du recueil. Le ciel est par-dessus le toit est le 6e poème de la dernière partie du recueil

poème nous montre le mal-être des êtres humains, sorte de fatalité propre à l’homme et à la vie. L’homme est étouffé par le monde qui l’entoure, et s’engouffre. 6. Champs lexicaux Tout au long de ce poème nous avons le champ lexicale de la claustration, de l’enfermement, du mal être et de la dépression. Ces champs lexicaux ont été choisis par l’auteur pour pouvoir nous faire entrer dans un univers noir, sombre où la solitude règne et le mal être est quotidien. Ils n’ont pas été illustrés au

poète parvient à révéler une théorie tout en l’appliquant? 1) Progression sensible 2) La défaite et capitulation de l’esprit 4) Développement I Progression sensible. a) Enfermement • champ lexical de l’enfermement : « couvercle », « cachot », « mur », « plafond », « prison », « barreaux », « filets », « longs ennuis ». • le ciel est un couvercle au dessus de la terre • verse ( liquide qui englobe toute la terre • chauve-souris vit dans les grottes

critique une justice partiale, il n’est pas coupable d’avoir tué Adraste. Il a aimé au dessus de sa condition. * Champ lexical de la terreur, l’horreur : « frémis », « triste aventure », « torture », « trépas », « funestes », « sinistres », « fatal », « mort », « se trouble », « s’égare », « peur », lecture des mandements du sénat, les fers aux pieds… * Champ lexical de la mort : obsédé par la perspective de la mort * Registre tragique : jouet de la fatalité/destin/sort

à une prison. Il se disait qu’il devait mener cette vie de forçat vagabond uniquement à cause de sa mère, car elle avait trompé son père. Cela contraste énormément avec le début de l’histoire où quand il se trouvait sur le quai en rêvant de voyager à bord d’un de ces bateaux voguant vers l’inconnu. On peut séparer ce texte en deux parties de description différentes, l’une se concentrant sur son mal être de partir seul et de laisser derrière lui toute ses connaissances en utilisant le champ lexical

le père de Jeanne a une grande influence sur l'éducation de cette dernière . La phrase « il avait médité tout un plan d'éducation pour sa fille » expose de manière explicite la planification de la vie de sa fille , également caractérisée par un champ lexical de la planification : « plan » ; « il était entendu que... » ; « voulait que... » . Les adjectifs « heureuse » ; « bonne » ; « droite » ; « tendre » montrent que le baron tient à ce que sa fille soit parfaite . Nous constatons par ailleurs que

narratrice sont tous les deux des habitants de la Nuit et qu'ils « disparaissent », ils sont « condamnés à mort ». Et pour cause, il existe différentes possibilités ou choix dans les moments de plaisirs où l'Homme se blesse avec l’énumération et le champ lexical de la drogue comme « la poudre d'étoile, peut-être l'opium, peut-être le vin, peut-être l'amour » (ligne 7) et l'oxymore « obscure blessure » (ligne 8) fait que nous nous assombrissons en cherchant mal la paix, et le bonheur. Dans le monde de

personnage. Ø Le lieu est personnifié par l’expression « mangé d’une lèpre jaune » qui met en valeur la misère du lieu et de celle qui le regarde. Ø Métaphore (compare deux éléments sans outil de comparaison) Ici : murs≠ murailles è Lieu comme une prison, comme un lieu d’enfermement. Conclusion : Les notes de Zola sont un élément clé dans la création de ses textes. Une fois le cadre posé, Zola invente pour faire une description plus forte, pour faire une atmosphère particulière qui reflète la vie

négatives. En prison, certaines sensations disparaissent, d'autres sont exacerbées. C'est le cas pour Albertine Sarrazin qui affirme avoir perdu son sommeil « Printemps étés automnes hivers/ Pour moi n'ont aucune berceuse » (v. 7-8), ne plus sentir son odeur « ma peau sans parfum » (v.11) , avoir vu son teint se ternir« que pâlit cette ombre cruelle » (v.12) , et ne plus avoir de désir amoureux « je suis nue et sans caresse / mais veux dormir » (v.24.25) . Par contre le champ lexical du son est dominant :