Champ Lexical De Verbes

phrases est parallèle. Le mot « pendant ce temps » ligne 83 nous indique qu’il y a une simultanéité des actions. Dans les autres paragraphes, l’auteur n’a pas utilisé de construction particulière pour introduire les deux personnages. - Les temps des verbes : Lorsque Thérèse est concernée, les phrases sont à l’imparfait (description) : « s’était accroupie » ligne 85, «  et cherchait » ligne 87, « qui pendaient » ligne 87. Il y a aussi un plus que parfait : « elle avait pris » ligne 86. Lorsque que

sort), et d’admiration(pour le héros qui se bat jusqu’à la fin). | Registre de langue soutenu-interrogations et exclamations- ponctuation affective- métaphores et comparaisons- figures d’opposition = antithèses, d’amplification, d’insistance- champ lexical du destin, de l’impuissance, de la souffrance, de la faute, de la mort. | LYRIQUE | Définition : expression des états d’âme et des émotions= joie + douleur de l’amour, désespoir, mélancolie, plainte, mélancolie, regret...Genres auquel il appartient=

les verbes qui se suivent: « On m'interroge: je nie », « se réunissent, m'exhortent, me pressent, me menacent: je persiste » et « On écrivit à mon oncle Bernard: il vint ». Rousseau utilise le présent de narration: cela rend le récit plus vrai et montre qu'il revit ces moments. Il utilise beaucoup de '':'' et '';'' → c'est pour enchaîner (sans mots de liaison) et ça rend l'expression plus dense. Le récit des faits est construit comme la mise en scène d'un procès. On retrouve un champ lexical de la

cuisine Bricolage Courrier Publicité Tracts Textes engagés Faits de langue caractéristiques - verbes - pronoms -vocabulaire -Temps : imparfait, passé simple, présent de narration -Verbes d’action et de mouvements -CCL et CCT -Pronoms 3ème pers. -Liens chronologiques entre les événements (schéma narratif) -Temps : imparfait ou présent (ds un contexte pst ou de vér.générale) - CCL - verbes d’état et de perception (les 5 sens) - situation ds l’espace -Temps : présent de vér. Générale

des verbes d’action ainsi qu’un champ lexical appartement aux émotions fortes. Ce qui caractérise le registre dramatique est la succession de péripéties qui maintient le lecteur en haleine (en suspense). 2.4) Le registre épique Nous entendons par registre épique, poème, texte théâtral, récit historique narrant des événements et aventures héroïques ou inattendus, en s’appuyant sur les verbes d’actions, les figures de styles telles que l’amplification, l’hyperbole, l’emphase... Le champ lexical du

les verbes. Dans cet extrait, nous pouvons dire qu’il y a beaucoup de verbes en passé simple de subjonctif, comme par exemple dans le vers 672 "sor moi verssa tot li estorz", ou dans le vers 694 "li chien me vindrent au devant". Le long de cet extrait des verbes on peut aussi observer des infinitifs, comme dans le vers 703 "hurter et batre et desconfire". Il y a aussi quelques verbes en présent d'indicatif, comme dans le vers 685 "Ja n'en soiez desconfortez". L'auteur utilise ce type de verbes parce

l’emploie qu’il fait des champs lexicaux du sinistre « L2 à 8 affreuse…. lieue », du corps « main, muscle peau… », La laideur « affreuse, noire, crispée etc.… », Provoquant dans toute cette première partie un sentiment de peur qui flotte dans l’esprit du lecteur. Le récit a une fonction esthétique qui est la marque de la nouvelle ou du roman, en l’occurrence dans cet extrait, la nouvelle fantastique, est totalement à dominante narrative car l’on peut relever des verbes au passé simple  «il tira » 

semblait pénétrer en elle, la jeune femme éprouva une 35 sorte de malaise. Elle eut un sourire forcé, et échangea quelques mots avec Laurent et son mari ; puis elle se hâta d’aller rejoindre sa tante. Elle souffrait. Axe Outils d'analyse Champ Relevé lexical « petit de l'enfance Laurent », Interprétation « des cajoleries Madame Raquin (mère) considère toutes maternelles » Laurent comme un enfant. Elle n'a pas du tout le même regard que Thérèse : elle l'a connu enfant. Discours direct

avoir des fourmis dans les jambes veut dire qu’on a des envies de voyager. 3-a-Les verbes harceler, traverser, briser, chercher noise, tourmenter et lancer sont au présent de l’indicatif. Il s’agit tout autant d’un présent d’énonciation qu’un présent de répétition. Elle subit ces assauts de façon répétitive. b-Le sujet de ces verbes est toujours le pronom « on ». c- Ces verbes appartiennent tous au champ lexical de l’agression. 4- Les pronoms désignant le locuteur sont « moi » vers 1, « me »

particulière et important registre élégiaque B) Un moment innexorable du temps qui s’en va Verbes de mouvement « Vienne, reviennent, venait, s’en va, passent » « passent ces jours ou passent les semaines Ni temps passé ni les amours reviennent »  passé évoqué "je me souviens" - champ lexical du temps -> rassemble les moments "jour", "nuit", "heure" qui reviennent avec le refrain - verbes "écoulement" : "vienne", "s'en aller" qui caractérise l'amour -> association entre fuite du temps