Champ Lexical De Verbes

aucune emprise sur le temps. Le champ lexical du temps qui passe le démontre: «coulez» (vers 26), «Le temps m’échappe et fuit» (v. 30) et «S’envolent» (v.39). Tous ces verbes expliquent le fait que personne ne puisse arrêter le temps. De la même façon, la métaphore «le temps n’a point de rive», au vers 35, compare le temps à une rivière qui coule sans cesse. Dans la première partie du poème, alors que le narrateur énonce les effets du temps, la plupart des verbes sont à l’indicatif, ce qui vient

angoissante Dans ce poème nous pouvons remarquer le champ lexical de l'obscurité avec « noir » vers quatre, « nuits » vers quatre, « chauve-souris » vers six. Nous trouvons aussi le champ lexical de l'enfermement « couvercle » vers un, « cachot » vers cinq, « prison » et « barreaux » vers dix. Mais nous pouvons aussi relever le champ lexical de l’animalité : « infâmes araignées » vers onze, « chauves-souris » vers six, « geindre » vers seize. Ces champs lexicaux se complètent les uns avec les autres dans

de la ville (L'ekphrasis est ainsi la description d'un objet, méticuleuse au point de le rendre présent sous la forme choisie par l'auteur. ) - Contraste : Ville touristique et calme puis on passe à une ville bruyante - Champs lexical de la : nature, de l’industrie, du bruit et du travail - Espace ouvert - Narrateur

tableau Il y a une montée du fantastique car b. Relevez quatre adjectifs qui soulignent le caractère étranges des phénomènes.(2 points) Les quatre adjectifs sont: 5.a. Relevez les verbes pronominaux dans les lignes 29 à 41. Indiquez si les sujets sont animés ou inanimés.(3 points) Les verbes sont: |Verbes |Sujet | |S'allumèrent

« trouva » l.16-17  nombreuses actions courtes et de second plan Verbes d’actions ex : « gratta », « entra » l.18-19 Intensité du rêve - Champ lexical du sommeil  ex : « sommeil », « somnolence » l.5-6 II- Un être perturbé et impuissant 1) La culpabilité d’un personnage - Verbes au conditionnel passé  ex : « aurait voulu » l.36 ; « eut échappé » l.32 Remords, regrets et culpabilité - Champ lexical de la mort sommeil  ex : « Morgue, verdâtre, atrocement défiguré »

BREVET N°3 Les discours de la narration I. Discours direct Le narrateur rapporte les paroles d'un personnage directement, telles qu'elles ont été prononcées, sans modification. On remarque la présence des guillemets précédés de 2 points et de verbes introducteurs comme demander, répondre, dire ... Exemple: Fatouma dit à Alizé : « Ne t'en vas pas! Tu vas te faire gronder! » II. Discours indirect Le narrateur rapporte les paroles des personnages indirectement, en les insérant dans le récit

un titre et comporte un début et une chute. Ensuite nous constatons que le poème est construit de 7 paragraphes. Le premier et le dernier sont semblable à travers la répétition des mêmes termes et le parallélisme de leur construction : Impératif + verbes + adverbes + lexique de la chevelure, ils correspondent l 'un comme l'autre à une imploration, à une demande faite à l'être aimé. Les 5 paragraphes intérieurs mettent en valeur tout ce que le poète découvre dans la chevelure «  si tu pouvais savoir

apparences à travers un « masque » l1 ou encore les « apparences » l3.Balzac explore le 3ème dessous de la société, les coulisses de cette comédie, aux delà du regard superficielle l11= ils ne s’apercevaient pas, ou encore « admiratives » (l15). Champs lexical ici de l’observation avec « observation » l8. Le but est de lever l’énigme qu’est cette scène de bal, jeu social. 3. Typisation d’un jeune Dandy A la ligne 2, le personnage a un semblant de futur héros mais il n’a pas de nom. C’est un homme

restant en mouvement avec la nature. Ce poème se présente bien en étant un poème en mouvement ; tous ses composants bougent, soit l’auteur et le jardin. Dans le premier quatrain et le premier tercet, on retrouve les verbes d’actions du poète : « poussé », « promené » vers 2, ces verbes montrent bel et bien son mouvement dès son arrivée; il bouge, retrouve son jardin, le découvre encore une fois et essaye de se familiariser avec à nouveau. L’allitération en (P) fait référer aux bruits de pas de la

espérances de Mme de Rênal qui est ,par conséquent, heureuse. On le distingue grâce au champ lexical du bonheur et de la joie : « A sa grande joie » à la ligne 36, « la gaieté folle » à la ligne 20, « bonheur » à la ligne 21... On en conclut que le chagrin de ces deux personnages se transforme en une joie commune. Cette rencontre aussi surprenante pour l'un que pour l'autre les perturbe, on le constate à l'aide du champ lexical de la timidité, à la ligne 25 : « timidement », à la ligne 36 « l'air timide »