Champ Lexical De Verbes

media res » (en pleine action) due à l’explosion de l’obus Albert est saisi (l.1)Lexique de la stupeur (champ lexical des sentiments) + présent d’énonciationPrésentation du soldat à travers son prénom et son ressentiJe suis sous la terre, se dit-il ; (l.1)quand il se dit, je suis enterré vivant, (l.2)Je suis enterré, se répète-t-il en boucle, (l.7)Point de vue interne du personnage par la présence de verbes de parole rapportant du DIL.Nous comprenons que le personnage est enseveli et qu’il éprouve des difficultés

poème, nous pouvons desceller une référence à la musique qui jalonne tout notre texte. Celle-ci est visible par, la musicalité du texte et les jeux de sonorités. En effet, pour la musicalité, un champ lexical apparait dès la phrase liminaire avec « un air », terme anaphorique repris à la ligne 3. Ce champs lexical est aussi visible par le verbe d »entendre », ligne 5. Nous pouvons également trouver des références musicales comme les artistes : « Rossini », « Mozart » et « Weber » à la ligne 2. Le sens

Comme le titre indique, c’est une marche d’armée, ces termes sont même repris à la ligne 7. De surcroît, ils sont accentués du champ lexical de l’armée « armée ; soldats ; dégradées ; bagages ; tente », et de la métaphore «  ces lourdes et pesantes voitures de bagages qui passent » qui représente les canons. Les adjectifs péjoratifs «  dégradées ; pourris, obscurs et profonds ; » dénotent

4) Dans le poème de Paul Éluard, il utilise comme champ lexical celui du malheur « froid, faim, pauvres, affamés, pâleur, maigreur  » qui marque bien le désespoir. Il utilise la figure de style de l’anaphore qui donne un effet de répétition et rythme le poème afin de montrer la situation désastreuse de Paris lorsqu’il écrit : « Paris » vers 1, 2, 3 et 4 et « c'est » vers 8 et 9. Dans le poème de Robert Desnos, on retrouve le champ lexical de la douleur : « souffrant », « entorses », vers 3 et

Présentation d’une démarche encyclopédique - champ lexical des bruits nuisibles -comparaison tête et entonnoir - absence de qualité requis à un professeur insistance du ni I)2) Une Démarche pédagogique - Nombreuse qualité (écouter, corriger) - présence du verbe vouloir à plusieurs reprises montre la volonté du professeur - accumulation de nombreux verbes d’action (commençât, choisir discerner…) ces verbes insistent toujours sur la volonté du professeur

disparait (le «je») donc c’est un abandon du lyrisme romantique comme celui de Lamartine («je ... je ... je ... je ... je ...)  vers 5/6/7/8, champ lexical des sentiments comparaison de l’écriture à un sport de combat : l’escrime 1. l’éloge du soleil périphrase méliorative «père nourricier» vers 9 «éveil»...»rajeunis»... 2eme strophe --> verbes d’action les qualités du soleil --> pouvoir vivifiant / rajeunissant vers 13 caractère souverain du soleil «commander» pouvoir libérateur

d'invention se rattache toujours à un texte du corpus qui souvent indique le genre (théâtre, récit, argumentation, rarement poésie, ou une combinaison de ces genres ou de leurs sous genres) dans lequel devra s'inscrire l'écrit ; → Les mots clés (verbes d'actions ; substantifs ; adjectifs...) doivent être soulignés ou surlignés ; → Une fois les mots-clés repérées il faut bien cerner le sens en posant les questions suivantes : • "Qu'est-ce que cela veut dire ?" • "Qu'est-ce que cela suppose ?"

Dès le début de cet extrait on s'aperçoit que Georges est quelqu'un de brillant grâce à une énumeration de quatres verbes conjugués au passé simple: "souleva", "reprit", "agrandit" et "développa", cela nous démontre sa détermination. Madeleine de son côte est montrée comme une femme ambitieuse: "ayant allumé une cigarette", au 19eme siècle il n'y avait pas beaucoup de femmes qui fumaient c'était surtout les hommes donc cela nous donne un sentiment de liberté. Cette métaphore "des traits piquants

irrégulières, variantes irrégulières de certains noms et verbes, l’agencement des marques syntaxiques autour du nom (déterminants, etc.), du verbe (pronoms, etc.), de l’adjectif, de l’adverbe, et enfin de l’organisation des mots et groupes de mots dans un énoncé ou une phrase. Dans la langue française, tous les niveaux d’organisation langagière sont touchés de manière importante par la morphosyntaxe. On distinguera quatre niveaux de morphosyntaxe : lexical (racine des mots), flexionnel (terminaison des mots)

Plan du commentaire : I) Un texte qui se présente comme un incipit A) Evocations du commencement - Insistance sur le début, le commencement : Champ lexical « partir » (l.1) ; « six heures du matin » - jeunesse du personnage, départ dans la vie : Champ lexical « bachelier » ; « 18 ans »… - situation du personnage, embarquement, départ : Champ lexical « quai » (l.2) ; « matelots » (l.4) B) Un cadre spatio-temporel réaliste - Datation précise, cadre historique : Indices temporels « 15 septembre