Champ Lexical Du Desespoir

devenu ton passe-temps » Le champ lexical utilisé par le groupe est celui de la révolte La gueule, les poings, ton sang froid, écraser. Trust montre à quel point l’homme doit être/est révolté contre la société Différentes figures de styles sont utilisées : « Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle. » C’est une hyperbole .Elle est utiliser pour accentuer le fait que la société devient dangereuse et pour montrer l’insécurité. « Dans ton désespoir, il reste un peu d'espoir » Il

avec la réalité. Ses aspirations dépassent largement ses capacités, ses rêves sont inaccessibles et ses souffrances sont continuelles. Le champ lexical de la souffrance est très présent dans cet incipit comme l'indiquent les différentes occurrences du verbe" souffrait", les verbes "torturaient ","pleurait" ainsi que les substantifs "regrets", "chagrin", "désespoir", "détresse". Sa souffrance est liée à la privation suggérée par de multiples négations : "Elle n'avait pas de dot, pas d'espérance, aucun

du pronom « tout », exclamations, interjections, antithèses : impulsivité personnage, agitation, démesure, exagération amour et haine mêlés « trop épris » = hyperbole (mise en valeur allitération en « p ») montre la force des sentiments d’A. *champ lexical guerre ; image chaîne, ne peut se libérer de son amour. * ses paroles blessent C. qui veut supprimer les sentiments qu’elle ressent à son encontre : « je devrais d’autre part », « je suis sotte », « allez, et de tels soupçons… » b. Incompatibilité

registre tragique ». - A partir de cet instant, vous devez justifier votre réponse en vous aidant des textes que vous avez sous les yeux. Pour travailler de manière organisée et rapide, le mieux est de faire le tableau suivant : Textes Procédés Champs lexicaux Exemples Texte 1 Exemples Texte 2 Exemples Texte 3 Figures de style Ponctuation expressive Pronoms personnels – possessifs Temps verbaux et valeur Question rhétorique Apostrophe Procédés d’écriture propres au genre

dévoué, il ne peut vivre sans penser à elle « Traîner de mer en mer ma chaîne et mes ennuis. » (vers 7). La force de son amour en mit en évidence par la violence de son désespoir lorsqu’il apprend qu’Hermione est destiné à un autre «Enfin, quand Ménélas disposa de sa fille en faveur de Pyrrhus …» (vers 4 et 5 ), « tu vis mon désespoir… »(Vers 6) et que cet amour n’est pas réciproque « Hermione à Pyrrhus prodiguait tous ses charmes » (vers 13), « voulant en l’oubliant punir tous ses mépris » (vers

hyperboliques y fait beaucoup «  idole, plus parait amour ». II- Un héros pathétique A. L’appel de la mort Tout au long du texte l’idée de la mort de Manon est présente, ce qui dramatise l’enterrement est le champ lexical de la mort en opposition avec celui de l’amour.　 " Fosse, ensevelis, la mort avec impatience, les yeux avec le dessin de ne jamais les ouvrir". Malgré que la mort de Manon soit réel, celle de des Grieux n’existe que dans son désir, il souhaite

Valjean apprend la situation et se demande s’il doit se dénoncer ou pas. Nous allons voir comment Valjean se comporte face à ce dilemme inquiétant, nous allons expliquer les conséquences auxquelles il devra faire face s’il se dénonce et son passage au désespoir face à ce dilemme. IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Dans un premier temps, C’est la phase du dilemme : Jean Valjean est épouvanté devant la décision qu’il doit prendre, le dilemme

classicisme ? I. Une fable conforme à nos attentes 1) A.M.L.C.D.B : A Monsieur Le Comte de Brienne Lettre adressée au Comte de Brienne (au début du texte on peut le voir) qui est le protecteur de La Fontaine. On observe plusieurs relevés lexicaux : - proliférations – pronoms possessifs - marque de vouvoiement montrant le respect du destinataire - présence physique du narrateur par le « je » => Discours direct On est alors dans la sphère du discours. 2) Est-ce qu’il y a plusieurs

révolution française du 19e siècle, l’exil des aristocrates ont inspirés de nombreux écrivains romantiques, tel que François-René de Chateaubriand. Publié en 1802, René, son œuvre autobiographique représente bien la douleur d’un peuple ravagé par le désespoir. À l’aide de l’extrait « Levez-vous vite, orages désirés », nous démontrerons que le héros René, souffre d’un mal de vivre. Nous expliquerons à quel point la nature déchainée s’accorde parfaitement avec l’état du héros ainsi qu’à son désir de fuir

"je" du poète et possédant une tonalité triste, le sonnet développe un parallèle entre les sentiments amoureux de la poètesse et son inspiration poétique au moyen d'effets de répétitions et d'échos marquées par la contradiction où se mêlent espoir, désespoir, mais aussi le temps passé des regrets, le prèsent favorisant la création poétique et le futur conduisant à la mort. Nous verrons donc comment ce sonnet constitue le lieu d'expression de la pensée élégiaque où l'anéantissement des sentiments