Champ Lexical Du Desespoir

très expressives qui montrent différents sentiments. « avec une tendresse inexprimable, et soudain jetta un cri d'horreur » «  il baignait de pleurs, et éclatait en sanglots » Alternances d’espoir et de désespoir  « Elle se sentit consolée, et s’étonnait d’être encore aimée », Champ lexical de l'émotion « pitié » « « attendrissement » « s'étonnait d'être aimée » C- De plus, comme au théâtre, c'est la parole qui donne vie « Moi, votre épouse !» : l'exclamation dynamisme la scène, fait réagir

(6 syllabes de chaque côté) Vers 1-2-3 : répétition du contre qui oppose les personnes au sein de la familleRejet du vers 3-4Vers 9-16 : Aborde ici les métiers, les classe sociaux-professionnelChamps lexicaux de la violence, de l’arme : Ronsard transforme les objets anodins en arme, (vers 15 : pique guerrière il fait de son râteau, vers 14 : dague, vers 13 : faux)Césure : vers 10 -> virgule, vers 11 -> virguleVers 17-39 : Parle de la religion et

et est composé de cinq strophes. A travers ce poème, Hugo cherche à démontrer les effets de l'exil sur la psychologie, la vitesse du temps qui emporte avec elle la jeunesse et ses bonheurs. Comment à travers son poème, Victor Hugo manifeste son désespoir ? Comment arrive-il à un certain apaisement ? Nous étudierons ce poème en évoquant tout d'abord la plainte du poète, puis le sentiment du vide et enfin la médiation angoissée du poète qui résulte finalement à un apaisement. Victor Hugo, à travers

l’exécution Quatre heures Point de vue ou focalisation Point de vue interne Attitude des personnages Indifférence à la souffrance du condamné Champs lexicaux Champ lexical de la mort, de la captivité, de la cruauté, de la laideur, de la souffrance… La modalisation Beaucoup d’adjectifs qualificatifs péjoratifs Sentiments du condamné Désespoir, peur et colère Visée du texte Visée argumentative : Plaidoyer contre la peine de mort Pourquoi le condamné écrit- il ? -Pour moins souffrir

suivre l’évolution du texte sans que tu fasses pour autant du ligne à ligne. Chaque début de partie doit présenter très brièvement ce que tu vas tenter d’expliquer. (par exemple: Ce passage de « Bérénice » est particulièrement révélateur du désespoir de Titus qui est dans l’impossibilité d’affronter le regard de celle qu’il aime.) L’introduction Il est judicieux de s’attaquer à l’introduction une fois que l’on connait son plan. Le correcteur va lire ta copie en se mettant dans la peau

nouvelle vie sur cette île. Cet extrait permet au romancier de montrer un Robinson Crusoé qui se lance dans l'écriture. Dans un premier temps, nous verrons que le naufragé s'occupe grâce à l'écriture. Premièrement, nous le remarquerons avec le champ lexical "en traçant ses premiers mots sur une feuille de papier" (l.13), "écrire" (l.15) et "log-book" à la même ligne. Nous verrons donc que grâce à l'écriture, "il lui semblait soudain s'être à demi arraché à l'abîme de bestialité où il avait sombré"

fin du texte suggère une sorte de fin du monde, une apocalypse : " Un vrai jour du jugement dernier, la fin des fins " : sorte de vision épique. Métaphore filée : " une musique de malheur ", " un air d'orgues aussi abominable " : connotation de désespoir. IIème axe : Une prise de conscience de la misère : Zola adopte la focalisation interne et nous vivons cette scène par le regard des Coupeau. Zola utilise aussi leur langage. - Une mise en scène concrète de la misère : Le lecteur a l'impression

de son comportement provoqué par la rage impressionnent. En effet, l’utilisation du champ lexical de la folie et du domaine médical (« convulsions de rage », « folle colère », « frémissements nerveux qui ont agité son corps») nous laisse imaginer des scènes terribles de cas d’aliénation. De plus, les différentes descriptions de son regard (« yeux ardents » , « regard brûlant ») sont caractérisées par le champ lexical du feu, ce qui renvoie à la destruction. De plus, les bruits qu’elle émet en respirant

amour et honneur mis en valeur par des oppositions ; le Héros est dans une situation de peur, de craintes et d’angoisses face a cette incertitude. Tout d’abord Don Rodrigue est dans une situation de peine et de crainte, on remarque le champ lexical de la douleur « Percé jusques au fond du cœur », « âme abattue », « peine », « malheureux », « tristesse », « mon âme égarée » cette douleur est renforcée par la métaphore hyperbolisante : « mon âme abattue/ Percé jusques au fond du cœur ». Cette

d' Automne » qui est le titre de ce poème, est une image. Ce chant représente toutes les sonorités évoquées dans le poème. En effet, les sons y sont très présents, que ce soit au niveau du vocabulaire ou des sonorités des mots. On retrouve le champ lexical du son avec « chocs funèbres », « bois retentissant », « J'écoute », ou encoure « écho plus sourd ». Au niveau de ses sonorités, on relève également de nombreuses allitérations, comme dans la première strophe, une allitération en « T » qui évoque