Champ Lexical Du Regard Apparition

comme une apparition » introduit le personnage de Mme Arnoux. Q. Le terme « apparition » vous fait penser à quoi ? R. Le terme apparition, qui introduit Mme Arnoux, appartient au vocabulaire religieux. Il était souvent employé dans les journaux pour évoquer la première apparition de la Vierge à Lourdes en 1859. L’emploi de la comparaison (comme une apparition) situe la rencontre dans un monde divin : un être irréel apparaît à Frédéric dont le regard est aveuglé. Q. Pouvez-vous relever le champ lexical

passante » de Charles Baudelaire, poème XCIII, « Tableaux parisiens », Les Fleurs du mal , 1861. I) Apparition de la passante dans le cadre urbain et réaction du poète sidéré/fasciné (Q1 etQ2) 1) Apparition de la passante dans le cadre urbain (vers 1 à 5)• Le cadre urbain…Poème bien issu des « Tableaux Parisiens » : univers urbain évoqué de manière □ laudative OU □ dépréciative ?Cadre spatial

I- L’organisation même du récit permet au narrateur de créer un cadre et d’y faire paraître des nuances sociales. 1 .1- un début de roman : quelles sont les pistes suggérées au lecteur ? importance du cadre et des décors / regard arrêté au détails de « second plan » : « le soleil dardait d’aplomb » présence de personnages : Frédéric / Mme Arnoux, son mari dialogues qui ont pour fonction de donner une idée des personnages : mise en place et déclenchement du récit, par justement la rencontre

cent sous » (l. 1) + verbe au passé antérieur , « eut rendu », qui indique une action antérieure à une autre, « sortit » (l. 1), au passé simple cette fois-ci · apparition du personnage avec l’utilisation immédiate, ligne 1, de son nom , « Georges Duroy » : dans les œuvres réalistes, les noms des personnages ont souvent une signification particulière

l'alliance de la misère et du vice dans la ville moderne et désigne aussi l'abandon - "abri sécrète" représente la misère sociale (pauvreté) et la misère morale. - "Persienne", "secrète" est le champ lexical du secret. Elle est le lieu de secrets gardés. Ainsi cela montre que la ville est vide et à l'abri des regards. - “secrètes” “luxures” représente une hyperbole (les luxures sont généralement secrètes au public), la débauche est cachée. - les persiennes est en rejet sur le vers suivant mets en valeur

Chateaubriand : c’est son œil qui dirige son travail beaucoup plus que son esprit. C’est sa vision qui nous intéresse plus que sa réflexion -> « au bout de chaque avenue apparaît l’image en perspective sur son piédestal » -> extrait de « Promenade – Apparition de Combourg ». Avant d’évoquer Combourg, Chateaubriand se plaît à présenter ce souvenir déterminant du chant de la grive : - C’est cet événement qui l’a amené à reprendre l’écriture de Les Mémoires d’outre-tombe abandonnée depuis quelques années

Annoncer les axes de lecture : Ainsi, le récit met en parallèle les portraits de deux personnages que tout oppose, une femme de l’aristocratie, un homme misérable au point de devoir voler un pain pour manger; l’histoire se résume à un jeu de regards impliquant ces deux personnages et le narrateur; le texte est construit à la manière d’une argumentation qui, s’appuyant d’abord sur un exemple emprunté à la réalité, amène progressivement le lecteur jusqu’à l’idée que l’auteur veut démontrer.

I – L’expression de la souffrance : - champ lexical de la souffrance : le verbe souffrir ( 2 fois au vers 4) ; le verbe éprouver (2 fois au vers 5) ; le verbe pleurer (vers 2) et son double complément insistant sur la profondeur du désespoir : « trois jours amèrement » (vers 2). - champ lexical de l’horreur : terrible (v.6) ; « horrible » (v.7) ; un peu plus loin l’oxymore « affreux rêve ». A ce champ lexical, on peut ajouter l’impression violente produite par la précision crue du vers 6 qui

détachait sur la coulée de fleurs avec le contour tendre et comme aérien que donne la réverbération d’un champ de neige. » l. 8-9. Ces détails rendent la scène plus réelle et ont pour intention de faire de cette rencontre un moment magique. Nous avons ici le champ lexical de la nature : « la coulée de fleurs » l. 8, « un champ de neige » l. 9, « la reine du jardin » l. 13, « la vallée » et « les champs de fleurs » l. 16. La beauté des lieus est constamment mêlée à la description de la femme : « Dans le

Roland tourne sa tête vers l’Espagne et regarde avec regret les païens : « tourna la tête vers la païenne gent » v6. Ces répétitions renforcent aussi le pathétisme de la scène, et permettent de rendre compte de l’état d’esprit de Roland. Il n’est pas près à abandonner la vie, il voudrait retourner au combat et finir sa guerre sainte. De plus, il est important de noter qu’un autre fort symbole, construit encore sur une dualité commence à faire son apparition dans le récit. Le narrateur prépare la