Champ Lexical Du Regard

vivaient de festins, à l'abri de toute misère ; ils mouraient comme s'ils s'endormaient. Et toutes richesses leur revenaient : la terre qui donne la vie, d'elle-même, leur tendait ses fruits abondants ; la joie et le calme présidaient aux travaux des champs, à leurs grandes richesses riches en bétail, chéris des puissances divines ! [...] » Une autre traduction des Travaux et des Jours (vers 109 à 201). ____________________________________________________________ ____________________________ Site

Instructions aux assemblées de bailliage (1789) * Journal des amis de la Constitution (1790-1791) * De la Guerre et de la paix (1795) Le texte : I) Le récit d’une éducation a. une éducation personnelle Il y a le champs lexical de l’éducation est toujours suivi par une marque de la 1ere personne du singulier. « Je me suis travaillée », terme utilisé pour les matériaux, elle se construit à tous les sens du terme pendant son éducation. Il n’y a pas d’aspect humain,

Elle éprouve enfin la «joie cuisante» de la vengeance qu'elle se promettait alors. Cela explique que l'évocation de son regard sur la mort des deux complices encadre le paragraphe qui rend compte de leur suicide. On relève dans ces deux paragraphes un champ lexical du regard : «yeux», dans la première et la dernière phrase, «contemplant», «regards», qui trouve son écho dans le regard de pardon échangé entre Thérèse et Laurent. Mais les yeux de Mme Raquin sont, dans le premier paragraphe, «fixes et aigus»

rencontre une femme mariée dont il tombe instantanément amoureux. On assiste à la naissance d'une passion pour une femme mariée que le jeune homme idéalise directement. Comme toujours chez Flaubert, on trouve une description qui se fait à travers le regard de Fréderic et le narrateur se joue avec ironie de son personnage et de sa médiocrité bien réelle, sous ses idéaux de jeunesse. On a donc une focalisation zéro, puisque le narrateur glisse des remarques. Le roman s’inspire d’une expérience personnelle

dans l'incipit et dans l'excipit II-Le cadre dans l'incipit ou l'excipit Déroulement Axe 1 |Procédés |Interprétation | |Champs lexical de l'armée |→ nous présente Duroy comme un militaire avec toute ses qualités, un | | |être presque sans défaut.

à Flaubert de critiquer le sentimentalisme du romantisme. I. La mise en scène de la rencontre a travers le regard. Les deux premiers paragraphes sont construits comme une scène de film avec un effet de gradation. Le premier est consacré à la vue du paysage vu du bateau. Flaubert emploie le champ lexical technique pour marquer sa volonté de réalisme et le champ lexical de la nature, il fait ainsi des références au calme pour donner une impression de tableau, d'arrêt sur image. Des indices

La croyance des voleurs Plan : Texte symbiotique Dualité d’un regard Écart entre simplicité et complexe Figuration du texte à partir d’une vision d’enfant Construction symétrique Champ sémantique La syntaxe Microcosme / macrocosme La mise en relief sur la relation entre la nature et la culture Symbiose thématique Imbrication lexical L’agencement lexico-syntaxique Un rendue descriptif global Dichotomie Domination La domination de la culture sur la nature La domination de la

les rimes, assonances et allitérations telles que traitres et tendresse aux vers 1580 et 1581 qui montre également une antithèse entre ces deux termes ; il y a évidemment une rimes au niveau du son « esse ». * Le champ lexical * On voit nettement s distinguer le champ lexical de l’amour ou des sentiments, qui est aussi une caractéristique du lyrisme d’ailleurs on peut retrouver les termes suivants : « paix, petite, tendresse, amour, aime-moi, complaire, pauvre petit bec, amoureux, heureuse

citation, Stendhal aiguille son lecteur vers une scène de rencontre amoureuse ce qui crée un effet d’attente chez le lecteur. Les premières lignes du chapitre 6 accentuent cet effet d’attente puisqu’elles sont constituées du champ lexical de la beauté («  vivacité  », «  grâce  », «  naturelles  »). Les nombreux compléments circonstanciels de temps, de lieu et les expansions du nom sont

l’incapacité de pouvoir venir en aide à son ami : « Rieux jugea impossible de les ouvrir » (l.3), « il ne pouvait rien contre ce naufrage » (l.9), « les larmes de l’impuissance » (l.10), « sans armes et sans recours » (l.10). De plus, la présence du champ lexical du naufrage contribue à mettre en relief l’impuissance du héros face à la situation. Tout d’abord, Tarrou est comparable à un marin face à une tempête. La corde du voilier rompu, il fait naufrage, incapable de surmonter la nature : « Tarrou dérivait