Champ Lexical Du Temp

dédoublement du poète,ainsi que dans la dernière strophe. Dans le 1er Alexandrin, on a l'évocation de ses amours réels, atroces et énormes. La dernière strophe du poème contraste par sa tonalité avec ceux qui précèdent. On remarque un changement des champs lexicaux et l'abondance des connotations négatives « atroces », « énormes » et « peur » "femmes atroces" >> périphrase pour désigner les ouvrières. Peuple"habile" >> donc blason ?... v23-26 : éloge des ouvriers. Le temps des verbes puisqu'ils alterne les

exemple sur le plan moral. Ainsi La Fontaine nous instruit-il ou bien écrit-il des fables uniquement pour plaire ? Baudelaire écrit-il des poésies pour communiquer ses impressions ou bien également pour nous éveiller à un champ de correspondances qui nous élargie notre champ de possibilité ? Répondant à une question d’un journaliste sur la meilleure valeur d’une œuvre, Camus affirme qu’elle est surtout liée à sa part de vérité ; Balzac quant à lui revendique la nécessité pour le romancier d’être

pipe sous des portes cochères, et les passants allaient d’un pas accablé, le front nu, le chapeau à la main. Quand Georges Duroy parvint au boulevard, il s’arrêta encore, indécis sur ce qu’il allait faire. Il avait envie maintenant de gagner les Champs-Élysées et l’avenue du bois de Boulogne pour trouver un peu d’air frais sous les arbres ; mais un désir aussi le travaillait, celui d’une rencontre amoureuse. Comment se présenterait-elle ? Il n’en savait rien, mais il l’attendait depuis trois

légère » ne fait qu’amplifier l’hypothèse que cet homme est excédé. Pour finir, le personnage semble être pris dans un réseau. On a l’impression que tout se passe devant lui comme s’il ne pouvait rien y faire, rien changer. La phrase « […] vos tempes crispées, à la peau tendue et comme raidie en plis minces, vos cheveux, qui se clairsèment et grisonnent […] » met en évidence cette idée puisque le narrateur décris quelque chose qui se passe normalement au fil du temps et que l’on ne voit pas d’un

remplit-elle ses fonctions ? Voici quelques questions à vous poser pour guider votre étude : OBSERVATIONS (relevé de citations) ENONCIATION Qui parle ? à qui ? quand ? où ? INTERPRETATION (effets de sens) THEME(S) MAJEUR (S) Réseaux lexicaux Emploi dénoté ou connoté du langage (sens littéral / sens métaphorique) REGISTRE DOMINANT Quelle est l’intention de communication ? Quelle réaction de lecture ce texte suscite-t-il ? ENJEUX DU TEXTE Place du texte étudié dans l’économie

coupait, au dessert, le bouchon des bouteilles vides, il passait après manger, sa langue sur ses dents, il faisait en avalant sa soupe, un bruit à chaque gorgée, et, comme il commençait d’engraisser, ses yeux déjà petits, semblaient remontés vers les tempes par la bouffissure de ses pommettes. » Emma ressent du dégout vis-à-vis de son mari : bien loin de la jeunesse, de la beauté que présentent les personnages d’Emile Zola lorsqu’ils sont amoureux. Mal poli et sans manière, Charles de Bovary n’es pas

temps du récit, de la narration) ? [pic] Quels sont les différents interlocuteurs du narrateur (réels et personnifiés) ? Comment sont-ils désignés ? Quelle est la place accordée au lecteur ? [pic] Comment le « dehors » est-il évoqué ? Relevez le champ lexical de l’intériorité heureuse (mais douloureuse) et de l’extériorité dangereuse. [pic] Quel est le ton des deux premiers paragraphes ? Comment évolue-t-il dans le troisième ? Comparez les différents registres de langue utilisés. Comment l’auteur-narrateur

élèves répondent à l’oral, seules quelques questions de synthèse demandent une rédaction de la part des élèves. I. Un être en souffrance 1. Quels sont les états successifs et contradictoires dans lesquels se trouve Lucien ? 2. Relevez les champs lexicaux qui vous ont permis de répondre. (les élèves surlignent de deux couleurs différentes sur le texte). 3. Avez-vous une connaissance de la situation par d’autres yeux que ceux de Lucien ? 4. Qu’est ce que cette façon de raconter produit sur le

l’Espace, à « l’intelligence » si développée qu’il a peur de mourir… pardon, d’être débranché. Mais l’ordinateur paraît être une machine capable de tout faire. Pourtant, les ordinateurs ont beau sembler repousser toujours plus loin les limites de leur champ d’action, il ne faut pas oublier qu’en réalité, ces fiers-à-bras ne sont toujours capables que d’une seule chose : faire des calculs, et uniquement cela. Eh oui, ces gros malins d’ordinateurs sont restés au fond ce qu’ils ont été depuis leur invention

voisin ; Marnai (collègue). - 2ème # : premières indications sur le personnages, « homme habitue au long voyage ». - 3ème # : l’âge du personnage, 45 ans - 4ème # : description des parties du corps du personnage qui complètent son portrait (yeux, tempes, peau, cheveux…) + apparition d’autres personnages, de l’entourage de l’homme (Cécile, Henriette et les enfants) - 5ème # : personnage travaille dans une entreprise, Scabelli, et son collègue s’appelle Marnai - 6eme # : encore des descriptions physiques