Champ Lexical Mélioratif

saison. Ceci est renforcé avec le champ lexical de la mort pour marquer l'esprit des lecteurs avec des mots comme ''meurs'', ''mourras''. Ainsi que celui de la tristesse avec '' larmes '' et '' pleurent ''. Ensuite Apollinaire utilise l'éloge de l'automne. Tout au long du texte on peut voir différend champ lexical qui contribue pour Apollinaire à faire l'éloge de l'automne, de décrire selon lui l'une des plus belles saisons. Puisque que l'on trouve le champ lexical de la beauté, en particulier la

Nelligan décrit le poète comme étant un être innocent. Effectivement, pour l’auteur, le poète est un rêveur qui ne se laisse pas influencer par la réalité, par le monde extérieur qui est vil et impure. Par exemple, Nelligan utilise des adjectifs mélioratifs tels que «angélique» (v.3), «printemps» (v.4), «pure» (v.5), «blancheur» (v.9), «céleste» (v.8) et «candeur» (v.15) pour attribuer une connotation positive au poète et à sa poésie en décrivant ceux-ci comme étant parfaits et immaculés. Ensuite,

- énonciation : pronoms et adjectif à la 1er personne = tournure anaphorique : égocentrisme mis en avant. - Champ lexical du pouvoir et de la destruction > Matamore fait son éloge - Opposition singulier/pluriel => Matamore se compare au monde entier (vers 320, 323 et 325), montrant sa puissance et sa supériorité 2 Ridicule de ses propos - Procédés hyperboliques : lexique mélioratif renforcé par la versification, terme élogieux à la rime. - Propos trop exagérés => ridicule et invraisemblables

femmes new-yorkaise. Apposition : ambiguïté entre la beauté de la ville et la beauté d'une femme "ces grandes filles" /(métonymie): mélioratif "d'or" pour blondes. Champ lexical du froid: "métal bleu", "beauté froide" => le premier abord de la ville est froid, et impressionnant (anaphore) de "Si timide" montrant que le poète est impressionné par New York). Champ lexical de la lumière : "or" (v1), "soleil" (v4), "lumière" (v5) = éblouissement du poète. Puissance de New York : "Les gratte-ciel qui

du registre lyrique comme la nature qui est un thème transversal aux trois poèmes. L'auteur montre la beauté de la nature grâce à un champ lexical développé, dans La branche d'amandier: « tige fleurie » (v1), « feuille à feuille » (v7), dans le poème Chant d'amour: « blanche tourterelle » (v34), « le gazon de la rive » (v77). Mais aussi par un vocabulaire mélioratif « délices » (v9), « calices » (v11) dans La branche d'amandier, ou encore « pont de verdure » (v9), « onde limpide » (v16) dans Le vallon

parties peut-on distinguer dans ce texte? 1. Ravages, destructions de la guerrre 2. Images de paix, d’innoncence 1. Ravages de la guerre Quels champs lexicaux sont prédominants ici ? Relever des termes. - Champ lexical de la destruction : ruine, deuil, sombre écueil, désert, murs noircis, ravage = destruction matérielle - Champ lexical de la tristesse : larmes, pleurs, chagrin Comment se met en place la description de la ruine ? - Passage du paradis au néant : la première strophe

genre romantique. On y retrouve l'attachement de Victor Hugo à sa fille lorsqu'il la met en scène avec le champ lexical de l'amour « désir, douceur, vertus » et celui de la beauté « purs, beaux lieux... » . Le poème évoque, Jeanne comme faisant partie intégrante de la nature. Elle est comparée à des beautés de la nature, telle que « L'aurore ». Elle est idéalisée avec des termes uniquement mélioratifs. Ces lieux sont purs, tu les complètes Ce bois loin des sentiers battus Semble avoir fait des

Types de registres : Registre Définition Caractéristiques Tragique Le personnage se montre impuissant devant les forces extérieur qui pèsent sur lui, l’accablent et le dominent. Ex ( Dieux, fatalité, destin mort…) Champ lexical du désespoir, de la mort, du destin, de la souffrance Comique     L’ironie       La parodie   L’absurde   La satire     Cherche à provoquer le rire aussi bien pour distraire que pour critiquer ou railler .   Repose sur le décalage entre ce qui est dit

roman survient lors de la mort de Cyprien et sa femme Georgina. Par conséquent, la tonalité de celle-ci se trouve à être de nature pathétique. En effet, l’auteur cherche à susciter les émotions du lecteur grâce à la narration et à certains procédés lexicaux. (not a good idea to talk in the first person, even if its not ‘’I’’) Débutons par la narration, car c’est grâce à celle-ci que Courtemanche réussit à introduire plusieurs détails concernant les personnages. «Cyprien entendit son sang couler comme

réalité journalière vécue par les mineurs chaleur et humidité la température montait jusqu'à 35 degrés, chauffait, son supplice s'aggravait, brûler le sang,= champ lexical de la souffrance la chaleur, métaphore = chaleur qui devient torture. Ruisselaient d'eau, grosses gouttes, continues, rapides et fumant d'une buée de lessive = champ lexical de l'humidité = le lieu devient étuve, précision très réaliste du tourment enduré elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient = rythme ternaire et