Champ Lexical Mélioratif

1) Dans ses tirades, Matamore a souvent recours au champ lexical de la destruction et de la violence ,comme le prouvent les exemples suivants : v.226 : mettre en poudre / v.234: Défait - gagner / v.236 : arme / v.238 : dépeuple / v.240 : couche d’un revers / v.241 : je réduis / v.243 : un second Mars / v.244: assassiner / v.274: conquérir la terre / v.329 : J’ai détruit Le lexique « technique » de la guerre est également présent : murailles (v. 233), escadrons - batailles (v.234) - La

«foudroyée» : Les éclairs et la tempête symbolisent la punition des dieu. Toutefois, Séverine est présenté, tout de suite après le meurtre, comme une victime innocente des pulsions meurtrières de Jacques. On observe par exemple la présence du champ lexical de l'innocence : «Fatalité du meurtre» «En inconsciente» «tendre et innocente». Tout ces mots connotent le caractère innocent de Séverine, qui s'oppose à la violence du meurtre, qui évoque une vendetta. D'ailleurs, Jacques semble, lui aussi,

travers le champ lexical de la beauté qu'on dresse un portrait physique : "regard suprême" vers 5, "beauté" vers 6, "la belle folâtre" vers 11, "la belle fille" vers 15. c) La répétition du mot "regard" insiste sur le jeu de regard qui s'installe entre les deux personnages : "je cru voir" vers 3, "elle me regarda" vers 5, "elle me regarda pour la seconde fois" vers 10, "je vis venir" vers 14. De plus nous avons un pléonasme vers 5 "elle me regarda de ce regard suprême" + champ lexical de la vue

Sauvage :def 1 état de nature(les fruits que nature) def 2 péjoratif le sauvage ne peut être civilisé. Ironique : ligne 28 « connaissance de vice » ligne 39 « plus grand maitre qu’eux » Champ lexical de la guerre : (arc, flèche, combat…) Champ lexical de la violence : déchirer par tourment, meurtrier… Lexique mélioratif= sauvage Lexique péjoratif= européen (25-27) Thème idées La relativité, l’ethnocentrisme des europeens, les dénonciation des guerres de religion argumentation Réfutation : (rien de

Argument : Métaphore filée de la santé et du corps humain. Tout d'abord la Paix représente la bonne santé et le remède, nous pouvons le constater par l'emploi du champ lexical du corps humain (Corps l.1 / Membres l.9 / Plaies profondes l.10) et de la santé (Santé l.2 / Vigueur l.3 / Guérir l.10) ainsi que des termes mélioratifs (Jouit l.2 / Vigueur l.3 / Favorise l.4). Nous pouvons aussi relever une métaphore filée entre paix/maladie (« Il n'est en santé, c'est-à-dire dans son état naturel, que

d'Iran Cette guerre se rapporte à la guerre de 7 ans entre la France et l'Angleterre principalement, de 1756 à 1763. Contexte de l'extrait : Candide qui a été chassé du château du baron est enrôlé de force dans l'armée bulgare. Il arrive sur le champ de bataille Te deum = chanson religieuse (chrétienne) Cunégonde = Fille du baron que Candide aime. Problématique : Comment Voltaire dénonce-t-il la guerre dans ce texte ? I) Admiration de la guerre par Candide a)

Pour évoquer la fidélité D.J utilise deus champs lexicaux : - Celui de la mort : “s’ensevelir, être mort, fini (...)”. - Celui du sommeil : “tranquillité, nous nous endormons (...)”. La fidélité est associée à un lexique péjoratif, ainsi D.J piétine les conventions morales et chrétiennes de la société. Par contre pour évoquer l’infidélité, D.J utilise le champ lexical de la vie : “réveiller, naissante, coeur (...)”. Le vocabulaire est mélioratif et le recours à l’hyperbole fréquent. Lorsqu’il

« parfaite » > grande beauté (le poète fait son éloge). B. réalise un portrait élogieux - champ lexical du corps : « teint » (v5), « le cou » (v6), « yeux » (v8), « brune » (v5) + - utilisation d'un vocabulaire mélioratif pour qualifier la femme : « belle » (v8), « charmes ignorés » (v4) - portrait flou de cette femme > « silhouette » décrite comme belle. 2) la femme incarne l'exotisme champs lexicale de l'exotisme lorsque le poète parle de cette femme : « créole » (v4), « la brune », « chaud »

la prise de conscience d'une contradiction « Deux choses presque inalliables s'unissent en moi" -> Problème exprimé par l'oxymore, et préciser ensuite par deux champ lexicaux. 1- Le tempérament avec "ardant", "passion", "impétueuses". Ici dans l'émotion, la sensibilité mettant le corps en mouvement grâce à un vocabulaire mélioratif. 2- Les idées: la Raison, l'esprit avec "lente", "embarrassée", "après coups" -> vocabulaire dégradant. Ces deux facettes peuvent illustrer deux esthétiques. La

il est bon. - On a dès lors une valorisation de l’objet par certaines qualités : Malignité, gratitude, force (renforcer par une allitération en r prouvant la dureté du matériel). On aperçoit même un défaut mais qui est bloqué entre deux termes mélioratifs ce qui permet de l’oublier et de garder le côté positif du fil de fer. - En fin du texte on relève des questions rhétoriques : « qui donc.. », « et que luimême.. », ce qui permet de montrer que grâce à la compréhension entre le fil et le l’artiste