Champ Lexical Mélioratif

l'éteindre » , «  Les ombres que tu crées n'ont pas droit à la nuit ». Il veut lui faire comprendre que la passion qui le submerge est trop forte, qu'il ne peut résister. Il évoque le champ lexical de la nature: « pluie des vallées », « le ciel de terre », « les oiseaux » et « des bois et des ruisseaux ». Grâce à ce champ lexical il met en place implicitement un cadre romantique. La troisième oeuvre de Paul Eluard, « Nous avons fait la nuit », écrit en 1936 qui provient du receuil Les yeux fertile est

éloge lyrique de l’automne. Dans un premier temps, Henri de Régnier nous dépeint l’atmosphère particulière du mois de septembre à travers la description de ce mois puis en détaillant la vie de ce mois. Tout d’abord, il décrit ce moi avec un champs lexical de la nature très présent tout le long du texte avec par exemple les termes « fruits » l.2, « feuilles » et « forêt » l.6 ou encore « eau » l.7, de plus, il exprime la présence de couleurs vives « sang » l.3,  « or » l.6 ainsi qu’une oxymore l

• Annonce problématique • Annonce plan Plan détaillé : I. La description de l’île utopique 1) Caractéristiques de cette île : C’est un lieu retiré : champ lexical de l’île l.1-3, l.4, l.9 ; l.11 ; l.19. C’est aussi un lieu difficile d’accès : champ lexical du danger : l.6 à 9 et l.12 ; champ lexical de l’eau et champ lexical de la sécurité (c’est un condition pour la tranquillité des habitants). On trouve aussi les caractères symétriques de l’île, avec des indices spatio-temporels

éloge du travail de la forge en décrivant la beauté du comportement de Goujet et le décrit comme un héros mythique. Zola veut montrer la noblesse du travail manuel, en décrivant ce métier par les yeux d’une femme. En effet, nous trouvons un champ lexical des qualités du métier de forgeron : « il ne se pressa pas », « avec une science réfléchie », « à grandes volées régulières ». Cela nous montre la maitrise des gestes soignés mais aussi une régularité dans ces mouvements. On peut comprendre qu’il

bien cette impression l'on a puisque la guerre est décrite comme un spectacle séduisant. En effe l énumération d adjectifs renvoi a des critères esthétiques, de grasse, de bonne organisation qui vont de paire avec le terme armorie donc ces termes mélioratif associés a la reprise anaphorique de "si" augmentatif donnent a la guerre un caractère de divertissement agréable, le rythme par ailleurs introduit par l'anaphore "si" crée un tempo qui est renforcé par la présence des instruments de musique mais

part, on remarque que le personnage principal peut apparaître sous forme de héros. On relève alors le champ lexical du héros dans l'extrait de Bel-Ami « joli garçon », « élégance » , « beau soldat ». On relève également ce champ lexical dans l'extrait de la Princesse de Clèves par exemple « beauté », « admiration », « grâce », « charme ». Tous ces termes constituent un vocabulaire très mélioratif du personnage principal. Par ailleurs le héros est moins mis en valeur dans certains extraits comme La

qu’Homme malsain. Cela est représenté par le champ lexical de l’attirance « appas »l.2 « attraits »l.7 Tartuffe n’étant «  pas un ange » l.5 séduit Elmire sans aucun scrupule et aucune gêne tandis qu’elle est marié à Orgon ce qui montre bien son hypocrisie relayé à sa perversion. Après, Tartuffe fait une tout autre proposition à Elmire, qui nous prouve bien sa malice, il lui suggère d’avoir une liaison méconnu du reste de la famille, grâce au champ lexical du mot secret, «  discret »l.30, « secret »l

sont propres au sonnet. Ce sonnet fait l’éloge d’une femme défunte. En effet, on relève la présence du féminin "t’a tuée" (v11).De plus, on relève le champ lexical du deuil "obsèques","larmes","pleurs" (v12).Cela montre que ce texte parle d’une femme défunte. Pour montrer que ce sonnet fait un éloge, on relève la présence de vocabulaire mélioratif " belle jeunesse" (v2), "la grâce de sa feuille"(v5), "embaumant "(v6), honoraient "ta beauté" (v10) et "sa vive couleur" (v3).Egalement la femme est comparée

I. Une description d’un lieu : * Un site en bordure de mer * Champ lexical du littoral : « la mer » (l.3) « en pleine mer » (l.38) « île » (l.2) «le port » (l.35) et la métonymie « quelques voiles » (l.36)   * Situation géographique du lieu : « l’île » (l.2) « la Méditerranée » (l.9 et 26) « espagnole » (l.16 et 25) « campaniles » (l.23) « palmiers » (l.38) ile située au beau milieu de la Méditerranée * Un monastère * Terme qui renvoie au monastère « ce monastère »

la tristesse, la douleur et le déchirement du poète, avant d’embrayer sur l’éloge de Marie. Tout d’abord, le poème est profondément pathétique. Celui-ci suscite en nous la compassion de la mort de Marie. En effet, nous pouvons relever le champ lexical, abondant, de la mort (« repose », « pleure »,  « larme », « battue », « meurt »,  « La Parque », «  tuée », « cendre », «mort ». Nous relevons également des antithèses telles que « vif » opposée à « mort » ou bien « meurt » contre « déclore »