Champ Lexical Mélioratif

étonnante » vocabulaire mélioratif pour parler des brésiliens, ce qui enlève leur infériorité par rapport aux occidentaux, ce qui va contre l’opinion commune. De plus, Montaigne émet une description objective, sans marque de jugement afin d’étudier les mœurs des brésiliens, ce qui donne un côté positif pour eux. * L 2/3 « n’ayant d’autres armes que » négation restrictive. Ils combattent presque sans armes mais avec leur force et leur courage. Appuyé par un champ lexical de l’élément naturel « tout

l'effet de vraisemblance, effet réaliste. 1) Le lieu: → il décrit le décor théâtral avec des démonstratifs pour créer une atmosphère L'atmosphère menaçante : - avec métaphore grotte vivante / monstre prêt à nous dévorer - avec champ lexical de l'obscurité, absence de lumière → obscurité est associée au danger avec références à la mort hyperboliques. atmosphère inquiétante comme l'entrée des Enfers, on n'en revient pas. les impératifs accentuent cette idée de danger. Allusions

La Nature, dont voici le champ lexical, est omniprésente dans l’extrait du texte : « la plaine […] toute rousse » (L4) ; « les blés » (L5) ; « l’air, le ciel, la terre » (L5) ; « le fleuve vert et gras » (L24) ; « des bosquets de peupliers » (L25). Cette Nature paisible (les éléments sont dits « immobiles et calmes » (L5) où pour l’eau « coule en se balançant » (L24)) contraste avec la guerre meurtrière. Ces deux champs lexicaux s’opposent : le premier est mélioratif (avec par exemple « un beau

tableau, ce qui est confirmé lorsqu’elle est comparée à une « Vénus grasse » évoquant certains tableaux illustres tel celui de Botticelli, ce qui la place dans la lignée des déesses mythologiques. Le vocabulaire pour la décrire est extrêmement mélioratif et met en évidence la vigueur de son corps, assimilé à celui d’une « cavale » (l. 26) (« flancs tendus », « reins solides », « muscles forts » aux lignes 2021), vigueur qui s’entend dans les allitérations en [d] et [g] de « gorge dure d’une guerrière

nouvelles dénonciations. Problématique : dénonciation de voltaire, laquelle ? comment ? 1) L'AUTODAFE TOURNER AU RIDICULE : Présenté comme une fête, un spectacle : « fête de taureaux » (l.101), « joie » (l.89), « défilant » (l.105) => terme mélioratifs Famille royale contente de l'acte (l.119) : « de quoi la famille royale parut extrêmement édifiée ». Ironie : procession = Moine qui défile : comique et ridicule Antithèse de la description détaillée des moines (l.105/106) : blancs – noirs

dont j’arpentais la circonférence pour y trouver la porte”. Car il s’agit avant tout d’un homme adulte qui parle de lui-même lorsqu’il était enfant. Ainsi, l’auteur attire l’attention du lecteur sur le temps qu’il a passé avec son père grâce au champ lexical de la tristesse et de la nostalgie, notamment composé de l’expression : “ depuis qu’il est parti, je me sens une moitié, une moitié de moi-même qui court après une ombre qui ne reviendra plus” qui insiste sur les liens entre le père et le fils

», « quelques milliers », « dix mille », « trentaine de milliards ». - Des chiffres considérables qui évoquent un conflit de grande ampleur. 2) Une vision esthétique - Termes laudatifs pour décrire les armées : accumulation d’adjectif mélioratifs précédé par l’adverbe « si » en anaphore. - Harmonie auditive : • allitération en « s », en « b » (1ère phrase) • assonance en « i » • accumulation d’instruments de musique. - Cela

universel et réaliste. Lors des funérailles d’Honoré de Balzac, Victor Hugo prononce une oraison funèbre. Ce discours tend essentiellement à forcer le respect envers « M. de Balzac » dont la dénomination initiale témoigne. Par ailleurs, le champ lexical de l’excellence: « premier », « grand », « haut », « meilleurs », qui lui est associé souligne sa grandeur. Grandeur renforcée par la construction en chiasme et les hyperboles qui participent à la valorisation excessive de l’homme, le plaçant au-dessus

poète souligne l’origine divine de la nature en faisant ressortir son aspect mystique et spirituel (« Avec le doux rayon de l’astre du mystère », vers 15 ; « Une voix à l’esprit parle dans son silence », vers 19) mais également en employant le champ lexical de l’air (« ciel », vers 13 ; « céleste », vers 12 ; « vole », vers 14), endroit où vit le Divin Créateur. Le poète creuse le contraste entre une nature rayonnante, pleine de vie, et la condition sordide et sinistre de l’Homme. En effet, les

Notamment lorsque Bérénice évoque la liberté « libre de penser à sa guise, et ravie de l’être, sans surveillance, sans craindre ». La ville est ici représentée comme un endroit de liberté totale avec ni loi ni devoirs. On relève aussi le vocabulaire mélioratif lorsqu’il est dit «  Que c’est beau Paris » ; « de si forts aliments pour le rêve d’une jeune femme ». La capitale est aussi une ville avec des architectures rigoureuses comme dans le texte C où il est question de « l’Arc de Triomphe ».