Champ Lexical Mélioratif

» ; anaphore au 5° vers des strophes 2, 3, 4 et 5. Pour Napoléon III : 2° personne du singulier « toi » v.7, 23 et 39 : tutoiement méprisant, apostrophe. Emploi de l’impératif v.7, 15 et 31. Pour Napoléon Ier : vocabulaire mélioratif et hyperbolique : champs lexicaux de la divinité et de la conquête militaire. Il apparaît comme un être surhumain, un héros épique à la manière de César et d’Alexandre. Il connaît d’ailleurs une fin de titan : v.33 « lâchant le monde », v.35 « chute profonde »,

- Solitude évoquée de manière positive. - Univers du rêve et de l’enfance (cf : Petit Poucet) Pauvreté : - Champ lexical de la pauvreté - Aspect de clochard : Il dort dehors, n’a pas beaucoup d’habits.

Tout d'abord, on peut constater des points communs entre les deux premiers poèmes du corpus. En effet, on remarque dans ces deux textes des champs lexicaux relativement marqués comme celui de la mort, avec “je mourais”, “s'éteindrait”, et “meurt” et celui de la guerre, avec “le front de l'armée” et “un obus”, dans le second. On a ensuite le champs lexical de la décomposition dans le poème de RONSARD avec, “les os”, “un squelette”, et “décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé”. Dans le premier texte

réconcilie avec le monde naturel - quiétude intérieure cf champ lexical - paix reposante cf le champ lexical de la fatigue et du sommeil - lien avec la nature cf le champ lexical des sens et synesthésie 3. M atteint le bonheur - bonheur présent cf emploi du pqpf et imparfait - acceptation du destin par une nouvelle renaissance cf départ , prêt à revivre , recommencer - découvre sa place dans l’univers même s’ il est coupable cf les adjs mélioratifs merveilleuse paix , trève mélancolique Conclusion

Un vagabond heureuxDeux champs lexicaux peuvent être facilement repérés dans ce poème : le champ lexical de l’errance d’une part, et le champ lexical de la pauvreté d’autre part. Les termes «je m’en allais», «J’allais», «j’égrenais dans ma course», «assis au bord des routes» appartiennent au champ lexical de l’errance sur les routes. On peut d’ailleurs ajouter la périphrase poétique «Mon auberge était à la Grande-Ourse», ce qui est une façon de dire que le poète dort à la belle étoile. Enfin, le

montre la vision du bonheur selon Cadou II. Analyse A. Problématique et plan Comment le poète parvient-il à faire d'un thème lyrique une réflexion sur la condition humaine ? I- La maison sous l'emprise du règne végétal A. Une Nature vivante champ lexical des animaux « agneaux » »bêtes » »chiens-bergers » ; des plantes « lierres » « fleurs » « forêts » référence aux minéraux « pierre » → la Nature entière est concernée lierre qui monte aux parois de la maison : la nature apprivoise la maison → on

adjectifs mélioratifs décrivant « sa Chrysler  épatante »L7, « avec des reprises foudroyantes »L7 et les adjectifs complétant les verbes d’action qui suggère de façon explicites ce bonheur ; en effet, Adrien « considéra sa voiture avec tendresse »L6 puis « s’en fut d’un pas guilleret »L10. Devant le tableau d’affichage, Adrien est « ébloui et transpercé », « mystique devant une présence sacrée, restant pendant plusieurs minutes à s’en pénétrer, les fixant jusqu’au vertige » : le champ lexical de la religion

relever une grande profusion artistique (...) les splendeurs des Vénitiens, la vie grasse et belle des lumieres de Hollandais (...) . ++ enumeration renforcement vaste = submerge De plus il utilise un vocabulaire mélioratif pour décrire les oeuvres, nous pouvons en relever le champ lexical “ fine, splendeurs, grasse, belle ” Nous pouvons voir à travers ces différents procédés l'admiration que Zola porte à l'art. Par ailleurs avec les mots la propreté nue et recueillie des salles l'auteur compare

l'existence d'un esclavage un peu plus décent pour l'époque. Nous allons tout d'abord étudier en quoi Ziméo est un esclave révolté, en effet il nous est décrit physiquement. Saint-Lambert souligne sa beauté en s'appuyant sur le champs lexical de la beauté et sur un lexique mélioratif : "Jeune homme de vingt deux ans"(l.173). Zimeo est ensuite comparé au "statues d'Apollon et de l'Antinoüs"(l.174), d'après George Filmer "même le dieu de la beauté chez les grecs [n'a] pas des traits plus régulier et de plus

devenant un « moi » à la fin du texte. L’alexandrin considéré comme un vers noble permet de mettre en valeur le moi qui devient souverain. -Le poème devient le miroir de l’âme du poète : chacun des huit quatrains évoque les états d’âme du poète. Champ lexical des sentiments « douleur » « pleurant » « espoir » « j’aime »… -La ponctuation très expressive lui permet de mettre ses sentiments en exergue. -La régularité du poème, composé de 8 quatrains isométriques permet de chanter la douleur, de mimer