Champ Lexical école

Lebrument a besoin d’argent pour payer une étude de notaire. Or Mlle Jeanne Cordier dispose d’une importante somme. Dans ces quelques lignes alors, le lecteur reste partagé entre une charmante idée de mariage et un soucis d’endettement soutenu par le champ lexical de l’argent « acheter, argent, payer, trois cent mille francs liquides, billets de banque, titres au porteur ». Aussi le titre de la nouvelle La Dot accentue ce thème difficilement conciliable avec la douce image du mariage, laissant alors supposer

Pour la fortune d’Eugénie. La Maison de Grandet 10) Quels adjectifs (caractéristiques) qualifient la maison de Grandet (cinq)? Pâle, froid, silencieuse, trou inégaux et nombreux, porte molle 11) Relevez le champ lexical de la décrépitude de la salle à manger des Grandet. Moulures antiques, poutres jaunis, vieux cartel, mal sculpté, acier damasquiné, roses servant de bobèches, vieux cuivre, couleurs passées, figures criblées, crasseuse étagère, vieille

souffrance : Le champ lexical de souffrance est présent dans le texte : « souffert ma souffrance », « éprouvé » (deux fois) : on a une insistance. Le mot « malheurs » apparait au pluriel et ce pluriel marque encore une insistance. Hugo évoque le siège de cette souffrance : l’âme, le cœur. On a des manifestations physiques de la souffrance, comme au vers deux ou on note encore une fois une insistance avec les deux compléments du verbe « pleurer ». On a des hyperboles et le champ lexical de l’insoutenable

reprendra sa forme après qu’elle soit pressée. Mais sans odeur contrairement à l’orange. Pépins ressemble a de mini citrons. L’huître : Les plaisirs de la porte : Bonheur de pousser une porte. Champs lexical du corps. Les arbres se défont à l’intérieur d’une sphère de brouillard : Champ lexical de la nature. Le pain : Comparaison du pain avec les montagnes. Début du 2eme paragraphe : Forme du pain lors de la cuisson. Mollesse ignoble = mie de pain comparé à des sœurs siamoises. Mangeons

utilise le champ lexical de l’armée, de la guerre, ce qui met l’accent sur le combat entre l’auteur et les critiques. C’est une isotopie, mais aussi une métaphore filée. A la ligne 2 le mot « charger » rend déjà compte du champ lexical du combat. A la ligne 16 « comme une armée qui se tire d’un mauvais pas entre deux combats d’avant postes et d’arrière garde ». Les mots « boucliers », « bataille », « soldat » font aussi parti du champ lexical de la guerre et du combat. Il y a ensuite le champs lexical

importantes: le travail qui permet de transformer la société, la liberté à maintenir et à défendre et la justice. Dans un premier temps Zola évoque le travail qui renvoie à la vie sociale, puis il place la liberté qui renvoie à la citoyenneté et au champ lexical de la politique. Enfin, il évoque la justice de la conscience, une notion à ses yeux plus importante que les cadres sociaux et politiques. Emile Zola s’adresse à la jeunesse avec passion et conviction pour ainsi l’inciter à une prise de conscience

b) Le rejet de son statut de femme - champ lexical du malheur « douleur » ligne 13 « indignais » ligne 18 et « contre ma volonté » ligne 19. Ce champ lexical montre un rejet de sa vie de femme, elle a vécu son enfance dans le silence, et la douleur et en subit les conséquences a vie. Elle rejette entièrement le statut de femme qui n’était à l’époque pas valorisant. - champ lexical de l’apparence « ma figure » « physionomie » « regard ». Ce champ lexical montre à quel point la Marquise est dure

en utilisant la personnification dans le vers : «L’étoile la comprend, l’étoile qui s’endort» (v.7) Cette phrase suggère que seul un objet céleste, pur et divin pourrait saisir la poésie du poète. Puis, nous pouvons retrouver dans le poème le champ lexical du paradis qui vient soutenir la thèse selon laquelle un poète est une personne candide : les mots «angélique» (v.3), «espace» (v.3), «ciel» (v.4), «étoile» (v.7), «céleste» (v.8) et «Dieu» (v.13), décrivent un univers lointain, un paradis, accessible

voisin ; il était en cendres : c’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé », l.11-12). En effet, il fait une description de la massacre et la violence mortelle en utilisant le champ lexical des parts et organes du corps : « mamelles » (l.13), « bras », «  jambes » et « cervelles » (l.16) ; et le champ lexical de la violence : « brûlées » (l.12), « criblés de coups », « égorgées »(l.13), « sanglantes » et « éventrées »(l.14), dans un style d’oxymore « boucherie héroïque » (l.7-8) qui décrit

Diderot, dans son Supplément au voyage de bougainville, qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical dénonce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot donne le champ lexical de la violence : " funeste avenir ", " fureurs inconnues ", " folles ", " féroces ", " esclaves " et " teintes de sang ". Les mots sont