Champs Lexicaux Les Chatiments

nombre de victimes innocentes ( Les 4 condamnés – si l’on compte la fausse mort de Pangloss ( mal pendu ) – et les victimes des deux tremblements de terre ). I. L’autodafé comme spectacle rituel : 1. La mise en scène : a) Un spectacle : -Champs lexical du spectacle -Cadre spatial fonctionnant comme un décor -Concentration des effets et rapidité des actions/rythme de la narration -Absence d’analyse psychologique -Narrateur spectateur et spectateur lecteur -Les variations d’éclairage : les

question : refuse de capituler, → insistance avec répétition de « Non, non ». Épée : symbole de son orgueil *dernière provocation, Image traditionnelle de l'enfer : champ lexical du feu Interjections, ponctuation dense : dramatisation de la souffrance. → Les didascalie insistent sur le caractère spectaculaire de la scène. Le châtiment : pas tant pour ses différents méfaits que pour son refus de la miséricorde du Ciel → ultime provocation : volonté de vivre et vaincre en libertin. 2) Sganarelle :

et les maires ; C'est pour cela qu'il faut que les vieilles grand-mères, De leurs pauvres doigts gris que fait trembler le temps, Cousent dans le linceul des enfants de sept ans. Jersey, 2 décembre 1853. Victor Hugo (1802-1885) , Châtiments (1853), II, 3 SENSATION Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je

grand écrivain romantique du XIXe siècle mais également poète et même homme politique, dénonçant la misère du peuple : tout d’abord son Discours à l’Assemblée du 30 juin 1850, puis un poème « Joyeuse vie » issu de son recueil Les Châtiments et finalement un extrait de son roman L’Homme qui rit. Il s’agira ici d’expliquer pourquoi on peut dire que ces textes sont le témoignage de l’engagement de l’auteur sous des formes différentes. Pour ce faire nous distinguerons deux groupes

car colère froide. Elle calcule comment lui faire le plus de mal. 2 champs lexicaux* : -souffrance : « frayeur » ; « misère » ; « ennui » ; « supplice ». -crime/châtiment : « perfide » ; « bourreau » ; « trahi » ; « offenser » ; « fortraits ». Ces champs lexicaux s'appliquent toujours à Jason, elle veut que Jason souffre autant qu'elle. Dans un texte qui suit la rupture, il est étonnant de voir ces champs lexicaux. Dès le vers 1 : elle n'a plus le sens commun, elle perd toutes mesures.

bien méritées, mais on ne les possède pas effectivement et, au moment de les employer, elles manquent toujours… ». De même que le terme «tremblants devant les dangers» de la ligne 7 est repris ligne 19-20 par : « …la crainte résulte de la menace du châtiment et cette peur de ne s’évanouit jamais… ». Ces défauts ne fond référence qu’à des valeurs morales, Machiavel présente donc l’être humain comme immoral par nature (c'est-à-dire qu’il connait la morale mais qu’il la transgresse) ce qu’il va qualifier

plus raides plumets3 de la cour et de l'armée, et leur percer des boutonnières pour tous les boutons inutiles dont la mode surchargeait alors leurs vêtements. I/ Un achat singulier 1. Qu’a de particulier ce qu’achète Eustache ? Relevez le champ lexical de la magie. 2. Quelles sont les diverses étapes qui scandent cet achat ? Relevez des indices temporels. 3. Qu’arrive-t-il à la main ? Relevez une comparaison et expliquez ce qu’elle peut avoir d’inquiétant. II/ Un rituel magique 1. Avec

| |- lecture du 2nd texte : | | | | |l’enfermement physique : champ lexical de la prison. | | | | |l’enfermement moral : | | |

Lecture méthodique La situation du texte Ce texte est une poésie, un extrait inspiré de la Bible et que l'on peut trouver au début du recueil de poèmes épiques Les Châtiments, de 1853. Cette poésie écrite le 19 mars 1853, à Jersey durant l'exil de V.Hugo, retrace un épisode de la vie des Hébreux, raconté dans l'Ancien Testament. Le plan du texte Le texte est découpé en sept moments, marqués par "au premier tour", "au second tour", etc, qui correspondent à chacun des passages que font les

caractère morale de cet âge. Le champ lexical en est d'ailleurs un témoin parce qu'on note des expressions tels que « rectumque » - « lege » - « poena ». « Rectum » témoigne de la morale puisque son sens indique « la droiture » et implique donc une distinction du juste et de l'injuste. De même, « lege » est un terme qui se rapporte à la morale dans la mesure où les « lois » sont supposées être juste. Enfin, « poena » a trait à la morale. En effet, cela signifie « le châtiment », et comme pour les termes