Charles de Freycinet

Jules Francois Camille Ferry, né le 5 avril 1832 à Saint-Dié et mort le 17 mars 1893 à Paris, est un homme politique français. Jules Ferry est le fils de Charles-Edouard Ferry, avocat, et d’Adèle Jamelot. D’abord élève au collège de Saint-Dié jusqu’en 1846, puis au lycée impérial de Strasbourg (actuellement lycée Fustel de Coulanges), il est ensuite étudiant à la faculté de droit de Paris. Il devient avocat réputé, passionné par la politique. Il est vite spécialisé dans la défense juridique

répression). Sur le plan économique c’est donné (concédé) certain avantage économique dans le chemin de fer, soit dans l’équipement de la métropole et des colonies. Exemple : de cette politique de relance on peut retrouver le plan Freycinet du nom de Charles de Freycinet, polytechnicien et ministre des travaux publiques et du commerce à partir de 1877. L’idée est de stimuler la reprise économique par les commandes massives assurées par les emprunts d’Etat pour un montant de 10 milliards de franc.

avait d’ailleurs habillement fait la publicité lorsqu’il commandait les troupes françaises en Tunisie en 1884-5. Son ascension fulgurante connue son apogée lors qu’il fut nommé, le 7 janvier 1886 ministre de la Guerre dans les gouvernements Freycinet et Goblet, et ce, grâce à l’influence de Clemenceau. Des mesures pour rendre l’armée populaire : Boulanger fut un soldat valeureux brillant et son ambition le mena à la tête du ministère de la Guerre. Une fois parvenu à ce poste, il fut l’acteur

clivages entre ceux qui peuvent investir et les autres (Christophe Charle parle d'une France intégrée à l'économie d'échange et d'une France prisonnière d'un « Ancien Régime économique») d'autant que concurrence se met en place avec apparition d'un marché national. En effet, 1 phénomène majeur lié à industrialisation = apparition du chemin de fer => début = loi Guizot de 1842, tracé national fixé de 17 000 km, puis plan Freycinet 1878 permet extension et réelle pénétration ds monde rural, ac réelle

politique va discerner une progression régulière. En étant adepte du groupe de la gauche radicale, sa carrière politique sera successivement en évolution car, de 1888 à 1889, il sera nommé à titre de sous-secrétaire d’Etat dans l’institution de Charles Floquet, au mois de septembre 1889, il sera nommé député de la ville de Reims, et cette succession de sa carrière continuera à s’améliorer, car dès 1890, il présidera des fonctions ministérielles considérables. C’est alors, il sera encore renommé

célébrations du centenaire de l’indépendance américaine. L’année suivante il est nommé directeur de l’infanterie c'est-à-dire chargé au ministère de la guerre des questions relevant de l’infanterie. En 1886 il devient ministre de la guerre sous le cabinet Freycinet. Il apporte des modifications au système par des réformes populaires et peu chères (port de la barbe autorisé, guérites tricolores, les soldats peuvent manger dans une salle sur une table…). Toutefois, pour expliquer l’apparition de l’agitation

parlementaires s'est déplacé vers les commissions, et en particulier celles qui concernent tout particulièrement les préoccupations essentielles en période de guerre : celle de l'Armée, évidemment, mais aussi celle du Budget. Il n'est qu'à voir l'influence de Charles Humbert, par exemple, membre de la commission sénatoriale de l'Armée, dans les débats portant sur l'accroissement quantitatif et l'amélioration qualitative des munitions et des armes destinées aux soldats. Cette puissance des commissions et leur poids

traité de libre échange en 1860 avec l’Angleterre stimule le commerce extérieur. Aussi, la politique de grands travaux va urbaniser encore un peu plus les villes en les développant, mais aussi aménager les ports. Ensuite, la République avec le plan Freycinet prolonge la politique menée par le 2nd Empire, ce qui permet de fidéliser la population au nouveau régime qui appréciait l’Empire pour la promotion sociale qu’entrainait la construction d’une gare, d’une route. D’autre part, la révolution industrielle

lesquelles le souffle démocratique peut s’exercer à volonté – il n’est de devoir pour le politique que d’entretenir la tache pour laquelle il a été élu – faire perdurer et les braises et un souffle. Héphaïstos es-tu là ?. On peut être un Charles de Freycinet, plusieurs fois Président du Conseil, Polytechnicien, mais aussi être considéré par Gambetta comme de caractère inconsistant, une « nolonté », On peut être un Louis-Nathaniel Rossel, Breton de St Brieuc, Colonel de l’armée française, mais

gouvernement en place. En 1830, la majorité libérale défiait le gouvernement de Polignac, en 1877 la majorité républicaine défie le gouvernement de Broglie. Mac-Mahon prend la décision de dissoudre la Chambre des députés le 16 juin tout comme l’avait prise Charles X le 16 mai 1830. Suite à cette décision, Gambetta prononce un discours véhément à l’égard du gouvernement dans lequel il dit : « Nous partons trois cents soixante trois, nous reviendrons quatre cents. ». Le Sénat autorise tout de même cette dissolution