Choisissons Nous Notre Existence

liberté n’est donc pas une notion vague, mais une réalité susceptible d'être concrètement vécue. Et la définir permet de mieux saisir les enjeux de nos choix, de nos combats, la portée de nos lâchetés aussi, et enfin, peut-être, le prix de notre existence. Sommaire * Descartes: « L’indifférence est le plus bas degré de la liberté. » * Spinoza: « Telle est cette liberté humaine que tous les hommes se vantent d’avoir et qui consiste en cela seul que les hommes sont conscients de leurs désirs

paradoxalement, cela ne signifie-t-il pas que nous n'avons pas choisi d'être libres? Comme le soulignait Rousseau, « renoncer à sa liberté, c'est renoncer à sa qualité d'homme, aux droits de l'humanité, même à ses devoirs ». Ainsi, nous ne choisissons pas la liberté : nous avons à être libres, ce qui est bien différent. Il existe des tyrannies, où les sujets sont privés de liberté. Mais s'ils en sont privés, c'est parce qu'ils ont accepté librement de s'en défaire, par exemple en échange de la

d’autre que ce qu’il se fait. En fait, l’homme sera d’abord ce qu’il aura projeté d’être et non pas ce qu’il voudra être. Il est responsable de lui-même. Autrement dit, on choisit ce que l’on veut être et cela se définit par la morale que nous choisissons. « L’homme se fait ; il n’est pas tout fait d’abord, il se fait en choisissant sa morale […] ». Chacun d’entre nous se choisit. Sartre dit aussi que l’homme est liberté et qu’il est condamné à être libre. « Condamné parce qu’il ne s’est pas créé

bien une chose à la quels tous les Hommes s'accordent c'est la recherche du Bonheur, personne ne voudrais être malheureux. Chacun cherche le bonheur, une fois dans sa vie que le bonheur soit matériels où humain,En effet tous les hommes passent leur existence à combler leur bonheur. L’étymologie du mot Bonheur à pour origine Chance. Et vouloir à pour définition avoir l'intention, la volonté de faire quelque chose, vouloir n'est pas avoir, donc peut-on être heureux seulement en le voulant? Nous expliquerons

par l’étymologique du mot «  bon-heur  » (la bonne fortune) condamne l’homme à la passivité c’est-à-dire à l’attente que «  le hasard fasse bien les choses  » ce qui implique que l’homme se détourne du projet d’avoir à conquérir lui-même sa propre existence. Paradoxe : en voulant se déculpabiliser des risques éventuels de son propre malheur, en voulant nier la part de responsabilité qui est la sienne dans l’incapacité où il se trouve d’être contenté, l’homme risque, avec un telle théorie, de se détourner

de prise. phrase de transition: Dire que le bonheur n’est qu’une affaire de chance c’est au fond penser que notre existence dépend uniquement des bonnes et des mauvaises rencontres que nous faisons. Cela revient à brader notre capacité d’agir et de nous maîtriser nous-mêmes. La particularité de l’homme n’est-il pas de prétendre par sa liberté produire lui-même son existence, de s’opposer à la force même des choses et à retirer par la même son vrai bonheur que la chance à elle seule peine à produire

I-Sartre : La liberté est absolue car l’homme est pro-jet Sartre, L’Etre et le Néant (1943) : “L’homme est condamné à être libre” “En fait, nous sommes une liberté qui choisit, mais nous ne choisissons pas d’être libre : nous sommes condamnés à la liberté” Introduction souligne la vision absolue de la liberté acceptée communément =absence de contraintes. C’est aussi la vision que Sartre a de la liberté, celle d’une liberté absolue, sans aucune limite. (cf citation). D’arès Sartre nous

Tout être humain se trouve un jour ou l'autre confronté à l'autre au cours de son existence. Il est nécessaire pour lui de faire face à cet autre en entretenant avec lui toutes sortes de rapport. Parmi ces différents rapports à autrui, l'un d'eux semble particulièrement important pour l'homme: l'amitié, qui est souvent perçue comme la relation « idéale » à autrui. Pour Hervé Lauwick, « un ami c'est quelqu'un qui vous connaît bien et qui vous aime quand même » Nous allons essayer de démontrer

continuellement en compétition les uns avec les autres : ‘…le sauvage vit en lui-même; l’homme sociable toujours hors de lui ne fait vivre que dans l’opinion des autres, et c’est, pour ainsi dire, de leur seul jugement qu’il tire le sentiment de sa propre existence. (p.14)’2 Ce qui fait que nous ne sommes pas libre de faire ce que l’on veut car on veut ressembler aux autres personnes de la société en ce comparant à eux. Les êtres humains à l’état de nature sont authentiques mais quand ils vivent dans la société

Pour choisir d'être ce que l'on est, il faut d'abord déterminé ce que nous sommes, nos sentiments, nos désirs et ce que nous voulons être. Dans un sens, avant tout il faut prendre conscience de de soi-même pour cela il faut reconnaître sa propre existence, de plus il faut être capable de dire « je ». En effet notre identité se détermine de part notre manière d'être et notre conscience. Par exemple, nous sommes conscient de notre prénom, notre nom, d'appartenir à une espèce et de toutes les choses