Chromosome homologue

1. Cycle cellulaire Déjà aux environs de 1870, le microscope donnait suffisamment de détails sur le déplacement des chromosomes durant la mitose. Mais les techniques microscopiques demeuraient inadéquates pour étudier en détails l'activité d'une cellule lors de la période qui séparait deux mitoses successives. Comme il ne semblait y avoir aucune activité entre deux divisions, on délaissa cette période qu'on considérait comme une phase de repos et on la baptisa interphase. Lorsqu'on s'aperçut

contenu dans les 46 chromosomes du noyau de chaque cellule. Comment peut-on définir l’information génétique ? I° Le Support moléculaire de l’Information génétique (cf. tpADN) L’extraction de l4ADN à partir de kiwi, de l’oignon ou bien d’un animal montre qu’il se colore en rose-violacé lors du test de Feulgen. Dans les cellules animales et végétales, seuls les chromosomes des noyaux cellulaires sont colorés. L’ADN est donc le constituant principal des chromosomes. Un chromosome est une molécule

les 2 autosomes homologues. Chaque individu, Χ ou Ξ porte 2 allèles du gène. Pour être de phénotype [a] c’est à dire [récessif] il faut donc être homozygote pour l’allèle récessif : a // a Par contre un individu de phénotype [A] c’est à dire [dominant] peut être homozygote A // A ou hétérozygote A // a. Chaque gamète contient 1 chromosome de chaque paire et donc 1 seul allèle de chaque gène → il y a séparation des allèles du gène lors de la disjonction des chromosomes homologues lors de la méiose

génétique. Les travaux novateurs de Mendel, à la fin du xixe siècle, mettent en évidence une hérédité particulaire par opposition aux idées anciennes d'hérédité par mélange. L'établissement des mécanismes de la reproduction sexuée, la découverte des chromosomes, de la mitose et de la méiose permettent de mettre en place la théorie chromosomique de l'hérédité, corroborée par les travaux de Morgan. La biologie moléculaire se développe à partir des années 1940 avec des découvertes fondamentales comme l'établissement

dimorphisme sexuel mais également par leurs chromosomes et par quelques gènes. • Les mâles possèdent deux hétérochromosomes X et Y, tandis que les femelles possèdent une paire XX. Il en résulte que les mâles produisent des spermatozoïdes X ou Y en proportions égales tandis que les femelles produisent uniquement des ovocytesX . Le sexe génétique est donc déterminé à la fécondation en fonction du chromosome sexuel apporté par le spermatozoïde. Le chromosome Y a une région qui n'a pas d'homologue sur

d’une seule chaîne polypeptidique Rappels de seconde sur la molécule d’ADN (non exigible, mais nécessaire pour comprendre la suite) : L’ADN est la molécule qui porte l’information génétique d’une cellule. L’ADN est l’un des constituants des chromosomes. Dans les cellules eucaryotes (cellules qui ont un noyau), il est situé dans le noyau. Dans les cellules procaryotes (cellules qui n’ont pas de noyau), il est situé dans le cytoplasme. L’ADN est composé de deux brins (ou chaînes) de nucléotides

connaît de nombreuses variétés issues de mutations. L’une d’elle se caractérise par l’absence de nervures transversales au niveau des ailes ( mutation « cross veinless »). On cherche à localiser le gène impliqué dans ce phénotype. Document 1 : chromosomes d’une drosophile femelle (a) et mâle (b) Document 2 : résultats expérimentaux 1er croisement. On croise entre elles des drosophiles qui diffèrent par le caractère »nervures des ailes ». Ce phénotype est noté cv+ et cv Les parents sont de lignées

LE DALTONISME 2. Origine Le daltonisme est une maladie héréditaire récessive liée au chromosome X (ou chromosome 7 : explication plus loin). Ce sont donc principalement les hommes qui en souffrent, car si la mère est porteuse de la maladie, un garçon a une chance sur deux d’être malade. En revanche, pour qu’une femme soit atteinte de daltonisme, les deux parents doivent être porteurs du gène récessif. Elle doit donc avoir un père daltonien, et sa mère doit être porteuse du gène responsable de

gamète de la femme. B. a achevé sa méiose. C. possède n chromosomes. D. a autant d’ADN que le globule polaire 5. La méiose : A. B. C. D. est constituée de deux mitoses successives. a un effet chromosomique opposé à celui de la fécondation. permet l’innovation génétique. nécessite une phase de synthèse d’AD 6. La deuxième division de la méiose : A. assure la séparation des deux chromatides de chaque chromosome. B. est caractérisée par la réduction chromatique. C. aboutit

En effet cette maladie est autosomique et récessive Père (agacé) : En clair ça donne ? Docteur : Cela veut dire que la maladie concerne les 22 paires de chromosomes homologues et qu’en plus elle est héréditaire. Cela signifie que le père et la mère doivent porter la maladie et transmettre lors de la reproduction chacun leur parti de chromosome portant cet allèle pour la donnée à l’enfant. Cette maladie résulte de 2 copies d’un gène différent cela créant une délation de nucléotide (3) (delta F508)