Civ 1 19 Mars 2002

Sujet 1.- Votre réputation de spécialiste de droit international privé est arrivée aux oreilles de votre ami Phidias, artiste de grand talent, qui vous confie la résolution de ses difficultés juridiques. Phidias, qui est domicilié à Paris (boulevard du Montparnasse), a reçu une très importante commande de la ville de Rio, au Brésil. Il s’agit de sculpter une gigantesque statue de marbre, d’ivoire et d’or, à l’occasion de la coupe du monde de football de 2014. Or voici que, sur Internet, il

de cette opération à la cession de l’entreprise : la cession de toutes les parts ou actions d’une société est une cession de droits sociaux et non une cession de fonds de commerce6, qui est soumise à un régime spécifique défini par les articles L141-1 et suivants du Code de commerce. Cette interprétation est également valable en matière fiscale : l’administration fiscale avait pendant longtemps assimilé la cession de contrôle, qu’elle qualifiait de « cession massive de droits sociaux », à une cession

qualification certains groupements et donc en droit civil il existe deux catégories de personnes, les personnes physiques (les êtres humains) et les personnes morales (les groupements de personnes). C’est la distinction majeure du droit des personnes. Partie 1: Les personnes physiques. Tout être humain a nécessairement la personnalité juridique, quel que soit son sexe, sa religion, sa race… Sur le plan juridique tous les êtres humains sont semblables. Ce sont des personnes dotés des mêmes droits fondamentaux

y a une tendance du législateur à limiter l'activité de l'entreprise. Loi du 1 août 2003: permet a un entrepreneur individuel de déclarer insaisissables les droits qu'il a sur un immeuble. Au départ c'était limité à l'immeuble qui constituaient la résidence principale du débiteur, mais depuis 2008, cette déclaration d'insaisissabilité peut concerner tous les droits sur un immeuble (même terrain non bâti). Articles L526-1 et suivants du C. de Commerce. Loi du 15 juin 2010: créer le statut d'entrepreneur

compétence internationale pour les litiges intracommunautaires sont prévues, comme chacun sait, par la Convention de Bruxelles du 27 septembre 1968 et le règlement 44/2001 du 22 décembre 2000, dit règlement « Bruxelles I », entré en vigueur le 1er mars 2003, qui lui a succédé sans pour autant l'abroger, puisque la Convention continue à s'appliquer dans les rapports avec les plaideurs établis au Danemark. Principes La Convention de Bruxelles, qui constitue avec la Convention de Rome l'autre texte

la loi SECTION II : RELATIVITE ET ABUS DANS LES CONTRATS D’EXCLUSIVITE A- De la relativité des contrats d’exclusivité B- Abus d’exclusivité et résiliation abusive d’un contrat d’exclusivité Conclusion Liste des références Annexe Table des matières 1 INTRODUCTION Il ne fait pas de doute que l’exercice de l’activité commerciale de nos jours prend des formes aussi diverses que variées. Les commerçants, soucieux de maximiser leurs profits à long terme, s’évertuent à emprunter la piste la plus sure

droit | | | | | | | | | | | | | |Section 1 : La loi | | | | | | |

constructions 1. Principe GÉNÉRAL (art.555 du code civil) 2. Gestion des constructions durant le bail B. Révision du loyer II. Relations des parties en fin de bail A. renouvellement du bail 1. Incidence de l’accession des constructions

depuis un arrêt de la Cour de Cassation du 25 mai 1870, le silence ne vaut pas acceptation. Cependant, le silence peut valoir acceptation lorsqu'il est circonstancié, entouré de circonstances qui lui donnent la signification d'une acceptation (Cass, civ. 1re, 24 mai 2005). En l'espèce, l'écrivain donne un délai et s'impose donc une exclusivité, ce n'est pas un silence. Ainsi, la lettre émise par l'éditeur le 1er décembre 2010 et reçue le lendemain par Monsieur E.G. vaut acceptation puisqu'elle

procédure suivie voir les articles L518-1 et R518-1 et s. du Code de l'organisation judiciaire et 341 et suivants du Nouveau Code de procédure civile. Quant à la forme, la recevabilité de la demande en récusation, elle est subordonnée à ce que la requête, qui ne peut être demandée que par unavocat aux Conseils, développe avec précision les motifs pour lesquels cette procédure a été engagée (2ème Chambre civile 24 janvier 2002, BICC n° 553, 1er avril 2002, n° 327). Au surplus la demande de récusation