Civ 1er 21 Juillet 1987

partie des travaux. Maître de l'ouvrage souffre d'un préjudice peut-il agir contre le sous-traitant sur le terrain de la responsabilité contractuelle ? -Cour de Cassation avait répondu oui (21 juin 1988, 1C) ( 3° chambre civile -AP a tranché dans l'arrêt Besse et écarte la solution de la 1° chambre (12 juillet 1991) (sous traitant n'est pas contractuellement lié au maître de l'ouvrage donc responsabilité délictuelle Ce qu'il faut retenir -question de la nature de la responsabilité ne se pose

pleinement efficace que s’il revêt une forme déterminée. Le principe du consensualisme. En droit français, il n’est exprimé par aucun texte. Traditionnellement, on le déduit de l’art. 1108 (aucune exigence de forme). L’introduction par la loi du 21 juin 2004 de l’art. 1108-1 conforte cette analyse (Lorsqu’un écrit est exigé par la validité d’un acte…). - Négativement, cela veut dire qu’aucune formalité n’est exigée. - Positivement, cela veut dire que les divers modes d’extériorisation du consentement

du Conseil d'État (CC, 22 juillet 1980, Loi de validation, Rec.46, AJDA 1980.602, note Carcassonne, RD publ. 1980.1658, D 1981.IR.356, obs. Hamon). En 1889, le Conseil d'État lui-même, par l'arrêt Cadot, se déclare juge de droit commun en premier et dernier ressort de l'ensemble du contentieux administratif. Cette qualité lui est ôtée par la réforme de 1953. En 1987, la première loi à intervenir pour la réforme d'un contentieux administratif (loi du 31 décembre 1987) décharge, toujours pour

p.360 (+ lire Doc 7 ) . Un auteur pourra légitimement protéger la forme dans laquelle il a exprimé son idée mais ne pourra prétendre s’arroger des droits sur le genre artistique dans le cadre duquel il s’est exprimé. Doc 5 : TGI Paris , 26 Mai 1987 , D.1988, Som.Com.,p.201. De même, chacun doit pouvoir reprendre librement les éléments qualifiés de libre parcours tels que les idées, situations ou thème , informations ou faits historiques pour en donner sa propre vision dans une forme personnelle

le premier sera payé le premier par priorité sur tous les autres créanciers du débiteur. Ex : un débiteur qui a des biens d'une valeur de 100. Il a contracté des dettes auprès de deux créanciers (A pour 50, B pour 70). Si le créancier A exerce le 1er son droit de gage général sur le patrimoine de son débiteur, le créancier A sera payé de 50. Il ne restera que 50 pour B. On dit que le paiement est le prix de la course. C'est une façon de dire que le créancier qui court le plus vite sera payé le plus

art 4, 6 et 7 du dct). Dct 6 mars 2008 consacre en droit la séparation entre les fonctions consultatives et ses attributions juridictionnelles pour augmenter l’efficacité de l’activité consultative du CE. Mb du CE : Le 1er gd corps de l’Etat Pdé en titre par le 1er min ms pdce effective / le vice pdt du CE  (nomination par dct en cl des min et choisis parmi les conseillers d’Etat ou les vices pdts de section. Vice pdt pde l’ass du Ctx (formation la + solennelle du CE), l’ass gale et la commission

L'HYPOTHEQUE ARRÊTS : Civ 3eme 15 février 2006 : l'H conventionnelle ne peut être consentie que par un acte passé en forme authentique. Civ 3eme 10 juillet 2002 : le délai demeure une condition d'opposabilité qui conditionne l'efficacité de l'H et non sa validité. Dés lors ni la loi ni la convention ne fixe de délais à l'inscription. Civ 1ére 1er février 2005 : l'H prend rang à compter de l'inscription et devient opposable à tous à compter de sa publication. Civ 2eme 4 mars 1999 : en

trois critères juridiques : le critère du vivant, pour la conception étroite, le critère de vie, s’agissant de la conception large et enfin, le critère de la viabilité. 1 Dans sa dernière formulation issue de la loi n° 2000-64710 juillet 2000, JO 11 juillet 2000, p. 10844 ; JCP G 2000, III, 20330 2 infra, note 16 et 17 3 Tout au plus peut-on remarquer à la suite de Mes. ROUJOU de BOUBEE G. et M. de LAMY B., Contribution supplémentaire à l’étude de la protection pénale du foetus, D. 2000, Chr

cause discutable 2 Table des abréviations ALJB Association luxembourgeoise des juristes de banque AFB Association française des banques AFEC Association française des établissements de crédit APB Association professionnelle des banques Bull. civ. Bulletin civil des arrêts de la Cour de cassation CEDH Cour européenne des droits de l’homme CES Conseil économique et social CJCE Cour de justice des communautés européennes CNC Conseil national du crédit D. Recueil Dalloz DH Dalloz hebdomadaire

exceptions). C) La force obligatoire du contrat Les parties sont libres de s’engager mais si elles s’engagent, elles doivent se tenir à leur engagement, la loi y contribuant en conférant une force à l’engagement valablement formé (art. 1134 al 1er - Les conventions légalement formées [« une brèves histoire politique des interprétations de l’article 1134 du code civil » Dalloz 2002, partie chroniques p. 901] tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites). Ceci a pour conséquence que seules les