Civ 1ere 16 Juin 1993

lors de la résiliation ou de l'expiration du contrat de travail (C. trav. art. L 122-17 Ø 129). Ainsi, dans le cas d'un contrat à durée déterminée, le reçu doit être signé le dernier jour, lors de la fin des relations contractuelles (Cass. soc. 17 juin 1997, nº 2607 D, Andy c/ Verdis Vendée Ø 172). Les modalités de délivrance du reçu ont été interprétées par la jurisprudence, notamment à l'effet de déterminer si, en cas de dispense d'exécution du préavis, le reçu pour solde de tout compte peut valablement

GENERAL ET OBLIGATOIRE DE LA DECISION DE JUSTICE ___________________________________________________________ 2  1.  L’ABSENCE DE CARACTERE OBLIGATOIRE ______________________________ 2  Civ.1ère, 8 novembre 1982 ............................................................................................. 3  Civ.1ère, 3 février 1999 .................................................................................................. 4  2.  L’ABSENCE DE CARACTERE GENERAL DE LA DECISION DE JUSTICE ___________

L’arrêt rendu par la Cour de cassation le 8 février 2010 confirme l’arrêt de la Cour d’appel de Mons rendu le 16 juin 2008 en ce que la nullité de la vente de la chose d’autrui énoncée par l’article 1599 du Code civil n’est pas couverte par la possibilité qu’aurait l’acheteur d’opposer l’article 2279 du Code civil, alinéa 2, à l’action en revendication susceptible d’être intentée contre lui par le véritable propriétaire de la chose vendue. Une partie de la doctrine considère que si le verus dominus

habiles ou grossières, comprenant toujours des actes combinés en vue de la tromperie, la jurisprudence de la deuxième moitié du vingtième siècle a assimilé le simple mensonge, non appuyé d'actes extérieurs (Civ. 3ème, 6 novembre 1970, Bull. n° 587) et le silence coupable, la réticence (Civ. 1ère, 19 mai 1958, Bull. n° 251). Selon la formule de Planiol, le dol atteint le consentement dans son élément d'intelligence car il agit sur lui au moyen de l'erreur qu'il engendre. Appréhendé ainsi dans son résultat

conclure qu’à défaut d’une pareille offre la cession eût été critiquable ? Dans le même domaine jurisprudentiel, il est également possible de retenir un arrêt de la Cour d’Appel de Paris du 21 décembre 2001, SA Banque de Vizille c/ Société MGP Finance 16 où la Cour a décidé qu’il n’y a pas de rupture apportée à l’égalité des actionnaires dans la mise en oeuvre du rachat de titres, chacune des deux catégories d’actionnaires signataires d’un pacte ayant fait l’objet d’un même traitement, et les conditions

cause discutable 2 Table des abréviations ALJB Association luxembourgeoise des juristes de banque AFB Association française des banques AFEC Association française des établissements de crédit APB Association professionnelle des banques Bull. civ. Bulletin civil des arrêts de la Cour de cassation CEDH Cour européenne des droits de l’homme CES Conseil économique et social CJCE Cour de justice des communautés européennes CNC Conseil national du crédit D. Recueil Dalloz DH Dalloz hebdomadaire

CFPN LES BAUX DEROGATOIRES AU STATUT DES BAUX COMMERCIAUX JMR Soutenance du 21 juin 2006 Composition du Jury TABLE DES MATIERES INTRODUCTION PREMIERE PARTIE : LA CONCLUSION DU BAIL DÉROGATOIRE : QUALIFICATION ET FORME A/ Qualification du bail dérogatoire : a) Qualification du bail et durée stipulée au contrat b) Qualification du bail et intention présumée des parties c) Qualification du bail et usage commercial

l'indu ne doit pas trouver son irigine dans le contrat indu objectif lié à l'existence même de la dette : l 'erreur sur la dette peut-elle provenir d'une erreur du solvens : la personne réclame une créance qu'elle n'as pas Ass Plen 2 avril 1993 : condition pas nécessaire : pas besoin de rechercher une erreur de la part de celui qui recoit Art 1964: l'indu objectif ne peut pas porter sur une dette de jeu : contrat annulé pour cause d'immoralité : pas de restitution On est à la limite

- Loi du 26 mai 2004 sur le divorce, libéralisation forte - Ordonnance du 4 Juillet 2005 qui fait disparaître une partie de la distinction entre filiation naturelle et légitime. - Prise en compte de l’évolution scientifique  Loi du 8 Janvier 1993, ouvre plus largement aux actions en recherche de paternité naturelle (ADN, empreinte dans cadre d‘un litige)  Loi du 29 Juillet 1994, réglemente la recherche génétique CCL : Le droit de la famille a été extrêmement modifié, en constante évolution

mariage figure l’obligation de fidélité prévue à l’article 212 du Code civil, si bien qu’un adultère peut, s’il satisfait aux conditions légales, motiver un divorce pour faute. Cependant ces conditions ne sont plus contrôlées par la Cour de cassation (Civ 2ème 30 novembre 2000), et l’on peut observer chez les juges du fond que l’adultère n’est pas toujours considéré comme fautif au sens de l’article 242 du Code civil. L’appréciation concrète à laquelle se livrent les juges du fond conduit parfois à excuser