Civ 1ère 12 Novembre 2009 Le Divorce Pour Faute

donc publicisé, mais la tendance va s'inverser. Le jeu concurrentiel du marché a retrouvé sa place: -L'ordonnance du 1 décembre 1986 sur la liberté de la concurrence qui rétablit par exemple la liberté des prix-vagues successives de privatisation , 1ere vague en 1982 secteur audiovisuel, 1996 secteur de télécommunication, 2004 secteur de l'énergie) -assouplissement des règles, des formalités, conditions d'exercice de l'activité commerciale. §2. le droit positif 1°/les sources écrites. Le

à la société. L’adultère, jusqu’en 1975 était un délit punissable différemment selon qu’on était un homme ou une femme (pour la femme, en quelque endroit que ce soit, pour l’homme uniquement au domicile conjugal). Aujourd’hui, c’est une cause de divorce. En 1975, c’est aussi la suppression du délit d’avortement. Jusqu’à la vingtième semaine, il est autorisé. En 1994, le délit de mendicité est supprimé. En 2003, un nouveau délit est créé, la mendicité agressive. L’ordre social reflète les valeurs

déterminées. 2) Les actions attitrées (la restriction du droit d’agir) Idée qu’il arrive que la loi restreigne le cercle des titulaires du droit d’action en deçà de celui des personnes qui ont un intérêt personnel à agir. Ex : L’action en divorce, la loi dit que l’enfant a un intérêt à agir mais pas qualité pour agir. On appel ces actions en doctrine, les actions attitrées car réservées à certaines personnes qualifiées par la loi. Mouvement corolaire d’exclusion. On oppose à cela les actions

Civil S1 Les obligations sont d’une importance pratique, elles sont omniprésentes dans la vie des hommes en sociétés. Exemple : obligation de payer le prix du journal, de la baguette de pain, ou encore l’obligation pour un parent lors d’un divorce de verser chaque mois une pension alimentaire, ou l’obligation de sécurité du transporteur maritime et l’obligation pour l’état de payer les 2000 Milliard de dettes publiques etc … La palette des obligations est d’une infinie variété. I - Notion

le droit objectif qui crée les droits subjectifs, qui en garantit l'exercice. Il les dé/nit et détermine leur contenu. Exemples : – Art. 1382 du Code civil : « Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. » Cet article exprime une règle de droit objectif. En même temps, il confère un droit subjectif à une personne : la victime a une prérogative, celle de demander réparation à celui qui lui a causé un dommage, si

seraient illicites. Cette distinction entre faits licites et illicites était valable tant que la responsabilité civile impliquée une faute de l’auteur. L’évolution a permis de découvrir des hypothèses de responsabilité sans faute, c'est-à-dire qu’aujourd’hui on peut nous rendre responsable mais sans qu’on ait commis une faute (le dommage peut ne pas provenir de notre faute). En tout état de cause, que se soit les quasi-contrats, les délits ou les quasi-délits, le droit commun de ces faits juridiques

prouver que le débiteur à commis une faute (attentions, surveillance ...). Dans l'obligations de résultats, si le résultat n'est pas atteint constitue déjà une faute, pas de preuve neccésaire. A partir du moment ou il y a force majeur, on n'est plus tenu de payer sa dette. Dans le cas du moyen renforcé, on va se trouver dans une catégorie intermédiaire. C'est au débiteur, qui était tenu d'une obligation de moyen renforcé qui doit prouver son absence de faute (dans le résultat atténué, c'est au

anormaux du voisinage Le fait d’user de son droit de propriété peut entrainer des troubles dans le voisinage (bruits…). Il s’agit donc de délimiter les droits respectifs des personnes. ( Dans ce cas, la personne pourra ne pas avoir commis de faute ; l’acte peut donc être légal. Mais c’est l’anormalité de l’acte qui va être prise en compte. Ainsi, il faut que l’acte soit important, inhabituel et répétitif ; il convient se s’attacher à déterminer si le comportement est excessif. ( Il faut en

Pacto ; Européenne (CEDH) : Arrêt HORNSBIR C/ GRECE du 19 mars 1997 consécration sur l'article 6 de la CESDH du droit à l'exécution forcée des décision de justice ; logique : s'il n'y a pas d'exécution des jugements, il n'y a pas de justice. Arrêt 5 novembre 1999, THALLYA C/ GRECE, sur le fondement de l'article 1er du 1er Protocole ; La créance est protégé donc le créancier a droit à l'effectivité de l'exécution de son droit. L'Union Européenne : But : Le droit de l'exécution forcée est un droit fondamental ;

Introduction au Droit, Dalloz. * Jean Carbonnier : Introduction au Droit, Puff. * Cornu : Introduction au Droit, Monchrétien. * Malaurie & Morvan, Introduction auDroit, Defrénois (2009) * Malinvaud, Introduction au Droit, Lexis Nexis (2008) * François Terré, Introduction général au Droit, Dalloz (2009). Section 1 : La Notion de Droit. Droit : le phénomène juridique dans son ensemble / droit = prérogatives. Il y a deux manières d’envisager le Droit : * Approche extrinsèque :