Civ 2e 12 Mai 1993

71 - signature, 20, 21 - suppléance, 15 - tarif, 18 Indisponibilité : - de biens, 18 - de créances, 18 Inscription de faux,4, 9 et s. Interdiction de signification,37 Lettre : - recommandée avec accusé de réception, 53 - simple, 51 Ministère public,12 Mise en demeure de payer,18 Notification : - entre avocats, 31 - définition, 37 Nullité : - effet, 71 et s. - pour vice de fond, 64 et s. - pour vice de forme, 56 et s. Obligation : - de faire, 18 - de ne pas faire, 18 - de moyen, 40 Original,7 Permission

justice engage sa responsabilité contractuelle à l'égard de son mandant, et les dommages qu'il peut causer dans l'exécution de son contrat peuvent être réparés sur le fondement des règles du mandat des articles 1991 et suivants du Code civil (V. n° 7 à 12) : à ce titre, il doit répondre envers son client, de l'inexécution ou l'exécution défectueuse du mandat (V. n° 8), de sa passivité (V. n° 9), ou de ses négligences (V. n° 10) et doit accomplir les diligences nécessaires à une obligation de résultat

sur le marchepied du train, du côté de la voie, n’était pas de nature à exonérer entièrement la SNCF dès lors qu’une telle attitude n’était ni imprévisible ni irrésistible. III. - Identification du ou des points de droit faisant difficulté à juger 12 • Le moyen pose la question des conditions auxquelles est soumise l’exonération totale de la SNCF par la faute de la victime. Plus précisément, le moyen pose la question de savoir si le comportement aberrant du voyageur refusant délibérément de respecter

obligatoires et autres règles de formes. Ce formalisme source de sécurité peut apparaître excessif de nos jours (V. C. Malecki, Regards sur le formalisme cambiaire à l'heure de la signature électronique : JCP E 2000, 2036. - D. Houtcieff, Droit commercial : 2e éd., Sirey 2008, n° 1209). C'est lui toutefois qui a permis de donner la plus grande sécurité juridique dont avait besoin la pratique et permis le développement de cet instrument de base de la vie financière des entreprises. L'analyse de ce formalisme

des effets imposés de manière impérative par la loi. La liberté nuptiale, c’est-à-dire la liberté de se marier, de refuser le mariage et de choisir son conjoint, a été reconnue par le Conseil constitutionnel (CC, 13 août 1993) et affirmé par la Cour de cassation (Ass. plén., 19 mai 1978) même si elle n’est prévue que par les textes internationaux. On considère que le mariage est à la fois un contrat et une institution. En effet, la volonté est importante, comme dans un contrat, mais l’intervention

D’un côté, par le travail, on entend l’industrie personnelle ainsi que toute richesse qui découle de la force du travail des époux, ce qui comprend les gains et salaires (Cass., civ. 1e, 8 février 1978) et les éléments du patrimoine professionnel qui se sont réalisés au cours du mariage (Indemnités de licenciement : Cass., civ. 1e, 29 juin 2011). De l’autre côté, le capital entre en communauté, bien qu’il faille distinguer les transformations des accroissements. Tout bien acquis à titre onéreux est

mixte c’est l’aspect professionnel qui l’emporte. Il en va autrement si l’usage prof n’est que négligeable (difficile à prouver). CJCE 14 mai 2009 : Lotterie par courrier (promesses de gains). Contrat? 1ier hypoth : le consommateur a commandé des biens, il y a bien eu un contrat. Dans ce cas la réclamation du consommateur est de nature contractuelle. 2e hypoth : on est en présence d’un consommateur qui ne veut rien commander, mais ne veut recevoir que son gain. Il faut une promesse suffisamment

comme le « non-accomplissement qui peut être total ou partiel, et qui peut résulter d’une omission ou d’une initiative ». Selon LABBE, la faute est « un manquement à la prudence, à l’attention, à la vigilance que l’homme doit apporter dans sa conduite »[12]. La définition la plus souvent retenue de la faute est celle de PLANIOL qui y voit « un manquement d’une obligation préexistante ». En matière d’inexécution contractuelle, ce n’est pas tant le comportement du débiteur qui est apprécié pour déterminer

effet, à la différence des concubins, les époux séparés de biens se voient | |appliquer certaines règles d'association patrimoniale, au premier chef desquelles figurent la contribution aux charges du mariage | |(art. 214 c. civ.) et la solidarité ménagère (art. 220 c. civ.). C'est donc, non par le biais du régime matrimonial proprement dit, | |mais par celui du régime primaire que se réalise à titre principal une association patrimoniale minimale entre époux séparés de biens.| |L'ampleur de

R.L. Fidulex est responsable. La question de droit est donc la suivante: la S.A. AGF peut-elle, avant même d’avoir remboursé la victime, intenter une action en garantie contre la codébiteur in solidum, la S.A. Fortis Banque? Dans son arrêt du 16 mai 2011, la Cour de Cassation le permet. Elle trouve le fondement d’une telle action dans la subrogation légale, l’assureur étant subrogé dans les droits de son assurée. La validité de cet accueil sera abordée au cœur du chapitre sur la subrogation