Civ 3ème 29 Mars 2000

la 3ème république qui a été initié lors de la révolution de 48, donc la 3ème république a entrepris une politique législative ancré dans la politique sociale. Le rapport Villerme sur l’état de santé des ouvriers en France dressait un tableau catastrophiques or quand la population est en mauvaise santé le problème est la fécondité des femmes, elles peuvent mourir en couche et quand l’enfant né il faut qu’il survive or la démographie est un élément de défense de l’Etat très important. La 3ème république

t-elle un logement familial. La jurisprudence maintient la qualification du logement familial au sens de l'article 215 malgré la séparation de fait des époux. Cela est important pour protéger le conjoint qui continu de résider dans le logement. Arrêt 22 mars 1972 civ1. Le conjoint qui est propriétaire du logement ne peut pas en disposer seul tant que le mariage existe. ! ! ! II) l'obligation de gestion conjointe du logement de la famille. Article 215 alinéa 3. !4 ! la protection du logement de la

risque. 2) 2ème type : Acte conservatoire : permette de sauvegarder son patrimoine (ex : interruption d’une prescription, hypothèque sur le patrimoine d’un tiers, réparation urgente…) Le majeur sous curatelle peut passer ces actes seuls 3) 3ème type d’acte : Acte de disposition: engage le patrimoine de la personne (car importance du contenu). Il peut donc y avoir dépréciation en valeur du patrimoine et altération durable des prérogatives du titulaire. (Le majeur sous curatelle ne peut pas

qu’on appelait le principe d’identité de la faute pénale non- intentionnelle et de la faute civile d’imprudence. Or, la solution étant critiquable, le législateur a du coût modifié l’article 4-1 du Code de procédure pénale par l’effet du 10 juillet 2000. Désormais, il y a « divorce » entre la faute pénale et la faute civile. («il est prévu maintenant que l’absence de faute pénale non- intentionnelle ne fait pas obstacle à l’exercice d’une action devant les juridictions civiles afin d’obtenir la réparation

notamment des règles supplétives la plupart des règles que le Code civil consacre aux contrats. Il en est ainsi, parmi beaucoup d’autres, de celle qui, dans la vente, attache le transfert de propriété au seul échange des consentements (art. 1583, c. civ.) : les parties sont libres de convenir que ce transfert sera retardé, par exemple jusqu’au paiement de l’intégralité du prix.) La sanction de l’autorité publique intervient en cas de violation de la règle. Possibilité d’en obtenir l’exécution par le

libre administration. En 1838, le législateur les supprimera pour mettre fin à cette fièvre. Dans l’ensemble c’est la liberté contractuelle qui domine, la liberté sociétaire, car il y a peu de règles impératives. C- La période de 1807 aux années 2000 Des lois ont été adoptées en dehors de ces grands codes. Une des caractéristiques du droit commercial tout au long du 19ème siècle a été sa décodification. Le code de commerce s’est vidé de sa substance petit à petit. Il va de moins en moins refléter

qui rétracterai son offre avant l’expiration de ce délai engage sa responsabilité (civile délictuelle). L’offre est caduque à l’expiration du délai fixé ou lorsque l’incapacité ou le décès de l’offrant intervient avant l’acceptation. Arrêt ambigüe 3ème cham 7/05.08 cet arrêt a décidé, si une offre d’achat ou de vente peut en principe être rétractée tant qu’elle n’a pas était accepté il en est autrement au cas où celui de qui elle émane s’est engagé à ne pas la retirer avant une certaine époque.

Deuxième source capital surtout en matière délictuelle : la jurisprudence. Elle a un rôle plus important qu’en matière contractuelle. Elle a crée des régimes entier de responsabilité : la responsabilité du fait des choses et du fait d’autrui par exemple. 3ème source : la coutume mais elle s’applique peu. Et enfin, un apport très important de la doctrine. Les auteurs influencent la jurisprudence et aussi le législateur. Les droits de Common Law ne fonctionnent pas comme cela : la 1ère source est la jurisprudence

ABRÉVIATIONS Al. : Alinéa Art. : Article AUA : Acte Uniforme sur l’Arbitrage BULL : Bulletin CCJA : Cour Commune de Justice et d’Arbitrage de l’OHADA C. Cass. / Cour de cassation CEMAC. : Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale Civ. : Chambre civile COMESA : Le Marché Commun de l'Afrique de l'Est de l'Afrique Australe CPI : Cour Pénale Internationale Crim : Criminel D. : Dalloz Éd. : édition J.O : Journal Officiel L.G.D.J : Librairie Générale de Droit et de Jurisprudence

inverse le droit civil s’inspire lui aussi parfois des solutions du droit commercial. Exemple : Les clientèles n’était pas en droit commun susceptibles d’être cédés alors qu’en droit commercial depuis toujours cela est possible . Par un arrêt du 7 nov. 2000 la 1er chambre civile de la cour de Cassation a reconnu la cessation de clientèle même dans les professions autre que commerciales. Les droits se rapprochent donc de plus en plus entre civil et commercial. D’ailleurs un certains nombre de lois