Civil 2ème 5 Juin 1991

plusieurs possibilités : il a le choix de recourir à plusieurs critères. Il peut recourir au lien du sang (au lien de filiation, au « jus sanguinis »), au droit du sol (lieu de naissance, le « jus soli »), le double droit du sol (Art 19-3 du code civil : est français l’enfant né en France lorsque l’un de ses parents est né en France). Le législateur peut recourir à la combinaison des deux critères. C’est l’Etat qui fixe les critères d’octroi de la nationalité. En cours d’existence : Par acquisition

Csq : il n’existe pas de personne sans patrimoine (toute personne a vocation a avoir un actif et un actif) il n’y a pas de patrimoine sans une personne à sa tête toute personne ne peut avoir qu’un seul patrimoine (=> changement depuis la loi du 15 juin 2010 qui créer l’EIRL qui introduit l’art L 526- 6 et suivant du code du commerce : distinction entre le patrimoine personnel de l’entrepreneur et un patrimoine professionnel => du point de vie du DGG les créanciers professionnel ont pour assiette

------------------------------------------------- Le droit à la vie La CEDH, conseil de l’Europe. C’est une protection juridictionnelle. La cour européenne des dts de l’homme est chargée de son exécution. Pacte international relatif aux droits civils et politiques dans le cadre de l’ONU, opposable aux Etats qui l’ont ratifié. Le comité des droits de l’homme est chargé de son application. C’est un organe conventionnel. Il rend des recommandations non obligatoires. La convention américaine relative

ressens. Il n’est pas rare que le législateur doit obliger d’intervenir de nouveau pour corriger une loi adopté trop précipitamment. Exemple, la loi du 4 mars 2002 sur le nom, cette loi sera modifiée avant même son entrée en vigueur par une loi du 18 juin 2003. Autre exemple l’ordonnance article 38 du 4 juillet 2005 relative à la filiation, cette ordonnance a été modifier par sa loi de ratification. Dans toutes ces hypothèses l’évolution des mentalités va fréquemment se traduire par une transformation

UNIVERSITE DE MONTPELLIER I FACULTE DE DROIT Droit Civil, 1ère année de droit (L1) 2009–2010 Les personnes, la famille Volume I Les personnes physiques D. Mainguy Professeur à la faculté de droit de Montpellier, Directeur du Centre de droit de la consommation et du marché Illustration de Lucien Solanet, « Le Droit s’amuse », Les éditions des Arceaux, 1958. : E. Morin, éminent professeur à la faculté de Droit de Montpellier ici croqué avait publié en 1938 un ouvrage resté célèbre : La

pas adhérer. 3 règles : Chacun est libre d’adhérer au syndicat de son choix L 2141-1 CT Chacun peut adhérer à un syndicat et à un syndicat de son choix. A condition de payer des cotisations. C’est une adhésion individuelle. Principe : L2141-5 du CT l’employeur ne peut pas prendre en considération l’appartenance d’un travailleur à un syndicat ou l’exercice d’une activité syndicale pour arrêter ses décisions. Renvoie au principe de non discrimination syndicale : L1132-1 du CT  Chacun est

Partie I les relations internationales de 1945 à nos jours Thème 1: « La guerre froide de 1947 à 1991» PBK : « Pourquoi l’émergence de deux superpuissances a-t-elle provoqué la bipolarisation, puis la multi polarisation du monde ? » Séquence 1 : I « Une paix impossible » de 1945 à 1962 La Grande Alliance avait vaincu le nazisme, mais, en fait, c’était une alliance de circonstance, contre nature, puisqu’elle unissait les Etats-Unis capitaliste à l’URSS communiste. Il était donc logique

international et européen 1er exemple : Cadre dont le siège de l’entreprise est à Nanterre. Envoyé à Riad. Cadre mobile. Quelle est son horaire de travail ? Quelle est la loi applicable à la détermination de la durée du travail de ce cadre mobile ? 2ème exemple : un établissement (un centre de travail) situé dans une sous préfecture du sud. Cet établissement relève d’un groupe international qui décide de délocaliser l’activité de cet établissement français en Roumanie. Y a-t-il une capacité des salariés

l'assemblée générale ou le conseil d'administration, alors il existe une forte présomption que cette personne soit un mandataire social. Il ne fait aucun doute que le Président nommé par le conseil d'administration est un mandataire social. * Le 2ème critère est celui de la nature de l'étendue des attributions conférées. Exemple : un DG qui jouit de prérogatives étendues, qu'il exerce sans adopter l'attitude d'un subordonné mais avec une certaine liberté sera considéré comme étant un mandataire

comme le droit des obligations (2ème année), le droit des biens ou des contrats (3ème année), des sûretés, des régimes matrimoniaux ou des successions (4ème année). Cette progression sera étayée par un cours polycopié, diffusé en ligne. Chacun de ces polycopiés (il y en aura vraisemblablement six) sera présenté au fur et à mesure de l’avancée du cours, sous un format pdf. En termes de méthode, si les personnes reçoivent une certaine considération dans le Code civil, il n’en est pas de même de la famille