Classique des rites

rationalisation du travail (Taylor), • la rationalisation de la direction (Fayol), • la rationalisation de la structure (Weber). Rationalisation = méthodes scientifiques qui permettent d’aboutir à un « one best way » TAYLOR, l’OST (Ecole classique) -Amélioration de la productivité en supprimant les gestes inutiles Découpage des opérations en tâches élémentaires (qui sont répertoriées et chronométrées) A chaque tâche correspond une seule meilleure méthode, the one best way -L’homme

un ballet en deux actes. Le premier tableau représente l’adoration de la terre : C’est le printemps. La terre est couverte de fleur et d’herbe. Une grande joie règne sur la terre. Les hommes se livrent à la danse et interrogent l’avenir selon les rites païens . L'aïeul de tout les sages prend par lui même à la glorification du printemps . On l'amène pour l’unir à la terre abondante et superbe . Chacun piétine la terre avec extase. Le deuxième tableau symbolise le sacrifice : c’est la nuit. Les

dans la pensée de certains, il s’agisse vraiment d’une communication avec les états supérieurs ; cela sera encore bien loin de suffire à caractériser l’initiation. En effet, une telle communication est établie aussi par des rites d’ordre purement exotérique, notamment par les rites religieux ; il ne faut pas oublier que, dans ce cas également, des influences spirituelles, et non plus simplement psychiques, entrent réellement en jeu, bien que pour des fins toutes différentes de celles qui se rapportent

Indo-européenne, les arya = les nobles. Ensemble de vaste texte : le Veda « le Savoir » offre les bases de la civilisation indienne : la langue du sanscrit, polythéisme et une structure sociale hiérarchisée (brahmane –possèdent le savoirs, exécutent les rites). Hymnes du Veda, louange des divinités notamment : Indra (dieu de l’orage) et Agni (dieu du feu). On y voit apparaître la notion de transmigration : réincarnation des êtres vivant, renaissance conditionnée par le karman (karma), conséquence des bonnes

manifeste dans le processus de colonisation, mais également à l’intérieur d’une même société. Les membres des groupes minoritaires doivent adopter ces valeurs jugées ‘’ normales’’. La culture nationale englobe l’ensemble des valeurs, des mythes, des rites et des signes partagés par la majorité du corps social. Les valeurs représentent les idées, les croyances fondamentales, la morale(le sacré, le profane) qui sont transmises d’une génération à l’autre. Les valeurs conditionnent les comportements admis

quelque sorte renforcé les bases du multilinguisme et le multilinguisme déjà existant au Maroc. L'histoire coloniale française a traité de façon inégale les langues nationales, notamment l'arabe classique et le berbère qui étaient marginalisés pendant toute la période de colonisation. En fait, l'arabe classique était enseigné en tant que langue secondaire dans seulement quelques lycées dans les villes impériales comme Fès, Rabat et Casablanca ; le berbère, lui était enseigné uniquement au lycée franco-berbère

grands auteurs de tragédies grecques ont continués dans cette lignée en donnant vie à des personnages voués à leurs destins: la mort. Ces tragédies seront reprises au XVIIème siècle par des auteurs tels que Racine ou Corneille qui respecteront les rites de la tragédie antique. Phèdre de Jean Racine en est l’exemple parfait : Phèdre meurt à la fin de la pièce et respecte donc sa destiné, ce qui provoque immédiatement chez le lecteur une admiration envers cette dernière au vue de son courage. Afin de

et n'apprend rien sur Dieu. Il introduit ainsi une séparation fondamentale entre la foi et le savoir. En écrivant "Dieu c'est-à-dire la nature" Spinoza identifie la divinité au tout du monde réel, contrairement à l'anthropomorphisme religieux classique qui fait de Dieu un créateur, distinct du monde, agissant selon un objectif. Le Dieu de Spinoza est impersonnel, ni créateur, ni bienveillant, ni malveillant, sans dessein particulier pour l'homme, sans morale (la morale est faite par les hommes

français et l'allemand). Le latin d'Église (parfois appelé latin ecclésiastique) est la forme de la langue latine utilisée dans les documents de l'Église catholique romaine et dans sa liturgie (l'ensemble de ses rites et de ses prières). Sa prononciation n'est pas tout à fait celle du latin classique. Elle n'a été fixée que sous Charlemagne. Le grec a été la langue primitive de la liturgie, et celle dans laquelle les premiers papes écrivaient. En fait, à Rome, à la fin de la République et au début de

éléments linguistiques confirment par ailleurs les influences de la Péninsule Arabique comme : _ L’utilisation de la calligraphie et de l’alphabet arabes pour écrire le « COMORIEN ». _ L’emprunt de près de 30% de vocabulaire à l’Arabe. _ L’Arabe classique, avec le Français, représente la langue officielle de la République Islamique des Comores. Le Comorien étant essentiellement la langue parlée. • Absence d’influence austronésienne sur le Comorien. Contrairement à Madagascar, on ne retrouve pas