Clostridium perfringens

laitue, choux de cresson, coriandre. | Salmonelles | Tomate, les choux, piments, aubergines, épinards, fenouil, persil, les fraises, les pastèques, les cantaloups, etc. | Bacillus cereus | Concombres, les choux de moutarde, pousses de soja. | Clostridium | Choux, les champignons, le poivre. | Campylobacter | Les oignons verts, la laitue, champignons, pommes de terre, persil, poivre | Listeria monocytogènes | Germes de soja, chou, chicorée, concombre, salade d'aubergines, radis, champignons,

pratique ainsi: - répartir dans des tubes un nombre égal de bactéries (ou de spores). Par ex: un million/tube - chauffer tous les tubes à la même température, létale (par ex. 60°C pour des salmonelles, non sporulées. Ou bien 121°C pour des spores de Clostridium). Mais les tubes sont chauffés des temps croissants (par ex: 0, 15, 30, 45, 60 min). - refroidir et compter les germes vivants dans chaque tube (par dilution décimale, étalement sur boite de pétri des dilutions, incubation, et comptage des colonies)

// (nécrose, ulcération) Clostridium perfringens • Inflammation lympho-histiocytaire: Salmonella typhi • Désorganisation architecturale: Salmonella typhi Shigella • Colite granulomateuse: Yersinia Tuberculose Dg différentiel des colites bactériennes RCH - Crohn (1ère poussée évolutive) +++ : en faveur colite bactérienne: architecture cryptes préservée, inflammation superficielle lésions parcellaires + critère évolutif +++ Colite pseudo-membraneuse post-AB/ Clostridium difficile Colite ischémique

du temps de passage en zone critrique (zone tempérée). La zone critique correspond à la frange de température qui implique un risque bactériologique maximum, avec une prolifération optimale des bactéries à l'origine des TIAC ( Salmonella, clostridium perfringens, staphylicoccus aureus, listéria...). En l'occurence, le facteur le plus pour la prévention des TIAC est de maintenir les aliments hors de la zone critique. Une grande partie des TIAC tire sont origine d'un mauvais contrôle de la température

aérobies-anaérobies facultatifs, qui peuvent vivre en présence d'O2 mais aussi en son absence. Exemple : les entérobactéries, - les microbes anaérobies stricts, qui sont incapables de vivre en présence d'O2. Pour eux, l'O2 est un poison. Exemple : clostridium perfringens, agent de la gangrène gazeuse. 2.3. CONDITIONS DE VIE Des conditions de vie spéciales sont nécessaires au métabolisme de base de tous les microbes (vie et reproduction). Certains microbes ont la propriété, quand le milieu ambiant devient

Comité scientifique se pose des questions au sujet de la gravité attribuée à certains dangers (p.148). Le Comité scientifique pense qu’une estimation avec mention ‘modérée’ est insuffisante pour les micro-organismes tels que Bacillus spp., Clostridium perfringens et Staphylococcus aureus. La gravité des mycotoxines par exemple, est également sous-estimée. Une fréquence de 1 (fréquence moindre que une fois tous les 10 ans) sur une échelle de 1 à 6 a été attribuée pour les contaminations suite à des

jejuni : souvent négliger a tord, nombreux foyer de TIAC, (eau, volailles, lait non pasteurisé) incubation 2 a 5 jours, tableau clinique se rapproche de la salmonellose, possibilité d'artérite réactionnelle et de syndrome de Guillain-Barré Clostridium perfringens : (plat en sauce, aliment mixé, viandes préparées et refroidies) incubation 9-15h , douleur abdominales, apyrexie habituellement, pas de nausées, vomissements rare, les souches de type C pouvant donner des entérocolites nécrosante (diarrhée

Peptostreptococcus Gemella Leuconostoc Pediococcus Bactéries Aspect au Gram : Cocci Gram‐ Isolés ou en diplocoques : Neisseria Moraxella Veillonella Bactéries Aspect au Gram : Bacilles Gram+ Gros bacilles à bout carré : Bacillus Clostridium Lactobacillus Taille moyenne : Lactobacillus Corynebacterium Bifidobacterium Eubacterium Propionibacterium Listeria Bactéries Aspect au Gram : Bacilles Gram+ Petits, en pallissade : Corynebacterium Propionibacterium Listeria Rhodococcus

heure, auto dégradation. Ce qu’il faut faire : laisser mijoter ou mettre dans le frigo 15 minutes après la cuisson. Les maladies TIA (Toxi-infection alimentaire) • salmonelle : Œufs. • staphylocoque : Nez ou la gorge. • clostridium perfringens : Légumes sales, viandes et sauces mal refroidies. • Botulisme : Conserves cabossées ou bombées. MIA (maladie infectieuses alimentaires) • Hépatite A  • Fièvre typhoïde ou paratyphoïde • Intoxication par des moisissures

bactériennes du milieu extérieur Flore bactérienne de l’air extérieur Bactéries saprophytes, rarement pathogènes Variations fonction des conditions atmosphériques Principales : Bacillus, Micrococcus et Staphylococcus (SCN) Origine tellurique : Clostridium perfringens et C. tetani Exemple : Bacillus (B. cereus) Ubiquitaires, spores thermorésistantes Réservoir : sol++, eau de mer et douce, plantes Contamination des produits « stérilisés » possible Dr I. Joly EOH - CHD - Serptembre 2009 Sources bactériennes