Co Branding Bancaire

automatiquement ». Il est donc normal que ce consommateur ait envie de jouer un rôle actif, d’interagir avec le système de consommation et de faire entendre sa voix. Il veut collaborer et participer à la définition des produits et services, et en tente ainsi une Co-appropriation ; ceci à la fois par participation immédiate à la conception et à la production ou par différenciation différée mais exhibée aux yeux de l’entreprise et des autres consommateurs. Dans la vision marketing dominante des relations entreprise/consommateur

Les stimulants financiers : Les deux stimulants les plus couramment pratiqués sont les programmes de fidélisation et les clubs. - Les programmes de fidélisation sont destinés à récompenser les clients qui souscrivent aux services d'une entreprise bancaire souvent et beaucoup ; - Les clubs : de nombreuses entreprises ont créé des clubs autour de leurs activités. L'appartenance au club est obtenu dès l'achat du premier produit ou contre paiement d'un droit d'entrée (BIAO Club Prestige). Lorsqu'un

intégrée aux produits pour rassurer, sécuriser, personnaliser, combiner puces & aliments, … 7. Plus Humain : le lien avant le bien. Le client recherche des rapports de confiance et attend toujours plus de proximité dans les services proposés… 8. Plus Co-produit : le client final sera impliqué en amont pour designer son offre personnalisée, dont il sera autant le dépositaire que l’ambassadeur… 9. Plus Multi-brandé : le partenariat inter-entreprises sera la clé de l’amélioration de la valeur ajoutée

marque 6 La gestion des noms de marque 6.1 6.2 6.3 6.4 6.5 Les stratégies de marques de fabricants La gestion des marques de distributeurs Les stratégies de réplique des fabricants Les stratégies d’extension et d’expansion de marque Le co-branding 395 396 398 398 399 400 403 403 403 405 406 407 408 408 409 410 412 416 417 418 Table des matières 13 LA DISTRIBUTION 423 1 Le rôle économique de la distribution 424 Les fonctions de la distribution

syndicats professionnels - presse spécialisée - organismes officiels : Ministères, INSEE, Greffes des tribunaux de commerce, les C.C.I. - salons professionnels - clients - sites web et les catalogues des concurrents - organismes financiers et bancaires ... Recueil et traitement des données : - recherche sur internet : -Avantages = avoir accès tout de suite à l’information + recherche par mots clés sur les moteurs de recherches : nom de produit, noms de l’entreprise... - Inconvénients=

d’une marque 6 La gestion des noms de marque 6.1 6.2 6.3 6.4 6.5 Les stratégies de marques de fabricants La gestion des marques de distributeurs Les stratégies de réplique des fabricants Les stratégies d’extension et d’expansion de marque Le co-branding Table des matières XIII 13 LA DISTRIBUTION 1 Le rôle économique de la distribution 1.1 1.2 1.3 1.4 Les fonctions de la distribution Les flux de distribution Les raisons d’être des intermédiaires Le coût de la distribution 423 424

La prime directe : La prime directe sera le café offert, les parties de Page | 41 Université Ibn Zohr Ecole nationale de commerce et de gestion - Agadir billard ou autres. Nous avons envisagé de communiquer sur ces primes directes. - Le co−branding : notre cible étant jeune, il serait intéressant de trouver un partenaire afin d’organiser des animations et des promotions croisées. Nous avons pensé par exemple à la diffusion de tracts en échange de redirection des clients de notre bowling

relatives à la construction de ces marchés captifs : a) La première s'articule sur l'idée de la coévolution, b) la deuxième sur la construction de communautés virtuelles, c) la troisième revient sur l'idée des communautés stratégiques. a) Le terme de co-évolution : Dans ce contexte, les externalités du réseau jouent un rôle important. Il y a des externalités du réseau lorsque la valeur qu’un consommateur accorde au bien dépend du nombre d’utilisateurs ou partenaires. Ramenées à la problématique des

dernières années a modifié sensiblement le paysage bancaire mondial et nécessite un contrôle accru et dynamique du risque de contrepartie auquel le Groupe est exposé. La diversification des risques est un objectif important. Une attention particulière est portée aux expositions de nos contreparties bancaires aux risques financiers et souverains, ainsi qu’à leur notation qui doit refléter une signature de première catégorie. Le risque de contrepartie bancaire est suivi de façon régulière et globale au niveau

aucun doute sur le fait qu’ils soient tous concernés. En 1997 déjà, Booz Allen & Hamilton présentait les 148 LA DÉMARCHE MARKETING DE LA FIDÉLISATION résultats d’une étude comparative particulièrement révélatrice à ce sujet. Dans le secteur bancaire une opération réalisée par un particulier au guichet de l’établissement dont il est client coûtait en moyenne 1,07 $, la même opération traitée par voie postale coûtait en moyenne 73 cents, la même opération réalisée à l’aide d’un guichet automatique