Code moral

règles qui régissent la vie en société. C’est ce qu’on appel le droit objectif, aussi épelé « le Droit ». La morale, la bienséance et la religion sont d’autres règles qui régissent elles aussi la vie en société. La question se pose donc de savoir si une règle est juridique ou non. Par exemple, la règle édictant « tu ne tueras pas » contient des aspects religieux, juridiques et moraux. Qu’est qui fait donc la singularité des règles de droit ? SECTION 1 : LA SINGULARITE DES REGLES DE DROIT

titre particulier mais à titre général". Par exemple, le Code Civil est composé de nombreuses règles générales et abstraites. Le Code Civil (datant de 1804, donc de Napoléon) a la vocation de s'appliquer à tous les citoyens français. Par exemple, art. 1382 du Code Civil (étudié en L2) sur la responsabilité du fait personnel : "Tout fait quelconque de l'Homme qui cause un dommage à autrui, oblige à celui qui l'a fait de le réparer". Le Code Civil a donc la vocation de régir des situations variées

alLa morale professionnelle Émile Durkheim PREMIÈRE LEÇON LA MORALE PROFESSIONNELLE La physique des mœurs et du droit a pour objet l'étude des faits moraux et juridiques. Ces faits consistent en des règles de conduite sanctionnée. Le problème que se pose la science est de rechercher : 1° Comment ces règles se sont constituées historiquement, c'est-à-dire quelles sont les causes qui les ont suscitées et les fins utiles qu'elles remplissent. 2° La manière dont elles fonctionnent dans

générale du droit à une vision beaucoup plus particulière du droit privé français d’aujourd’hui . Chapitre I : La règle de droit Définition: La règle de droit est une règle de conduite en société, au même titre que les mœurs, la religion ou la morale , plus précisément c’est une règle de conduite humaine, à l’observation de laquelle la société peut nous contraindre par une pression extérieure plus ou moins intense . La règle de droit est une règle générale abstraite et la sanction est assumée

droit et la morale Introduction : Toute vie en société suppose des règles qui s’imposent à tous afin d’éviter que ne règne la loi du plus fort. Toutefois, comme l’écrit Cornu, « Le droit n’est pas le seul régulateur de la vie en société » ; d’autres facteurs entrent en effet en jeu pour organiser une société harmonieuse et les individus qui composent cette société se plient également à des règles de bonne conduite, de courtoisie, de bienséance, qui leur sont dictées par leur morale personnelle

est une norme, un commandement qui vient d’une autorité supérieure. En principe, elle ne désigne aucun individu en particulier, elle s’applique à tout le monde sans exception. Ex : art. 8 du Code Civil : « Tout français jouira des droits civils ». = tout français a le droit de jouir du code civil. La généralité des règles de droit permet une égalité pour toutes les personnes qui se trouvent dans une même situation. Elle permet de prévenir la subjectivité du juge. Cependant les règles

veut te citer en justice, et te prendre ta tunique, laisse encore ton manteau" (St. Matthieu, V,44). Comme l’enonce St. Matthieu dans le verset 44du nouveau testament , cette règle transcendantale prêche le pardon, la bonne conduite ( la conduite morale) et délaisse la loi du talion. Parallèlement, l’article 2 de la CEDH, à travers le principe du droit à la vie, encadre la légitime défense et permet le recours à la force meurtrière sous certaines conditions. Ces deux règles semblent mettre en exergue

science du crime, des comportements criminels. Cette époque est aussi marquée par l'éclosion du courant naturaliste (Balzac, Zola, Flaubert et ???). Ces auteurs (dont Lombroso) mettent le doigt sur l'environnement des criminels, ils incluent la part morale dans la criminologie, ainsi, la sanction n'a plus lieu d'être, il faut soigner. On parle plus du droit de sûreté que de droit pénal. Ces mesures de sûreté se définissent alors plus comme un ensemble de soins, de thérapies destinées à soigner l'individu

du droit même si des divergences existent sur le sens et la voie du progrès à suivre. Mais le droit n’est pas le seul à poursuivre cette finalité. Le Droit entretient des rapports étroits et ambigus tout à la fois avec la règle religieuse, la règle morale et l'équité car le Droit n'a pas seulement pour finalité de faire régner l'ordre, il a aussi pour ambition de faire régner un idéal de Justice. Envisageons, à partir de cette idée, ce qui oppose la règle de droit à d’autres règles qui peuvent aussi

Crozat Saline. L1 Droit. G9 DISSERTATION La règle de droit et la morale. Introduction. Accroche : « La morale n'est légitime qu'à la première personne. La morale ne vaut que pour soi ; pour les autres, la miséricorde et le droit suffisent ». [André Comte-Sponville, écrivain et professeur de philosophie français né en 1952] Extrait de Pensées sur la morale. Définition et contenu du sujet : Une société est régie par un certain nombre de règles. Il y a des règles religieuses que l’on